En fait, selon Adidas, «il ne fallait pas mettre trop de pression sur l’équipe qui n’avait pas beaucoup de vécu. Plusieurs joueurs n’avaient pas l’expérience internationale», souligne le technicien sénégalais qui juge qu’il fallait faire en sorte que le stress qui est important permette aux joueurs d’être bien dans leur peau.
«On a construit une équipe tant au niveau de l’esprit que du jeu. Une équipe est née par rapport à un engagement, un état d’esprit et une solidarité. Une équipe composée de joueurs méconnus et qui avaient envie de prouver. On a senti que cet enthousiasme a été important. Les jeunes qui ont fait le tournoi ont montré qu’ils étaient valeureux», se félicite Adidas qui, tout en louant la qualité des joueurs d’avenir comme Gorgui Sy Dieng et Mouhamed Faye, reconnaît que «cette équipe a besoin de temps, il y a de la jeunesse, il y a de l’esprit. Une base de construction pour le futur s’est dégagée au terme du tournoi de la Zone 2 auquel il va falloir faire une ouverture avec l’intégration d’autres joueurs, comme Moussa Badiane ou Pape Sy qui vient d’être drafté aux Usa», juge le coach
Pour les perspectives, Adidas dit se fixer comme objectif l’horizon 2013 pour bâtir une équipe qui aura suffisamment de vécu et d’expérience même s’il n’en demeure pas moins que «les chances de voir l’équipe réussir une bonne performance lors de l’Afrobasket 2011 et des Jeux africains de la même année soient possibles» laisse-t-il entendre. Avant de déclarer vouloir élargir le groupe pour constituer un noyau dur. Une transition vite trouvée pour parler de l’avenir des deux expatriés Malèye Ndoye et Saër Sène qui ont boudé la sélection. «Il ne faut pas rejeter ce que l’on a aimé», a-t-il affirmé au sujet d’une possible réintégration des deux joueurs. La seule condition exigée par le technicien est d’imprimer une rupture s’il lui arrive de poursuivre l’idylle avec l’Equipe nationale. «Il n’y aura plus de marchandage par rapport aux compétitions. L’Equipe nationale, c’est quelque chose qui doit vous interpeler. Ça doit vous toucher au plus profond de vous-même. Qui doit faire honneur. On doit courir pour venir. On doit être fier de porter les couleurs nationales. On ne peut plus continuer à marchander l’Equipe nationale. J’ai pris mes dispositions pour dire stop, on arrête ça. Il faut que tout le monde accepte les conditions qu’on met sur place», avertit Adidas qui souhaite la mise en place d’un plan-programme avec notamment un tournoi international à Dakar au mois de décembre et une participation au Summer League aux Etats-Unis.
«On a construit une équipe tant au niveau de l’esprit que du jeu. Une équipe est née par rapport à un engagement, un état d’esprit et une solidarité. Une équipe composée de joueurs méconnus et qui avaient envie de prouver. On a senti que cet enthousiasme a été important. Les jeunes qui ont fait le tournoi ont montré qu’ils étaient valeureux», se félicite Adidas qui, tout en louant la qualité des joueurs d’avenir comme Gorgui Sy Dieng et Mouhamed Faye, reconnaît que «cette équipe a besoin de temps, il y a de la jeunesse, il y a de l’esprit. Une base de construction pour le futur s’est dégagée au terme du tournoi de la Zone 2 auquel il va falloir faire une ouverture avec l’intégration d’autres joueurs, comme Moussa Badiane ou Pape Sy qui vient d’être drafté aux Usa», juge le coach
Pour les perspectives, Adidas dit se fixer comme objectif l’horizon 2013 pour bâtir une équipe qui aura suffisamment de vécu et d’expérience même s’il n’en demeure pas moins que «les chances de voir l’équipe réussir une bonne performance lors de l’Afrobasket 2011 et des Jeux africains de la même année soient possibles» laisse-t-il entendre. Avant de déclarer vouloir élargir le groupe pour constituer un noyau dur. Une transition vite trouvée pour parler de l’avenir des deux expatriés Malèye Ndoye et Saër Sène qui ont boudé la sélection. «Il ne faut pas rejeter ce que l’on a aimé», a-t-il affirmé au sujet d’une possible réintégration des deux joueurs. La seule condition exigée par le technicien est d’imprimer une rupture s’il lui arrive de poursuivre l’idylle avec l’Equipe nationale. «Il n’y aura plus de marchandage par rapport aux compétitions. L’Equipe nationale, c’est quelque chose qui doit vous interpeler. Ça doit vous toucher au plus profond de vous-même. Qui doit faire honneur. On doit courir pour venir. On doit être fier de porter les couleurs nationales. On ne peut plus continuer à marchander l’Equipe nationale. J’ai pris mes dispositions pour dire stop, on arrête ça. Il faut que tout le monde accepte les conditions qu’on met sur place», avertit Adidas qui souhaite la mise en place d’un plan-programme avec notamment un tournoi international à Dakar au mois de décembre et une participation au Summer League aux Etats-Unis.