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AFROBASKET U18 FEMININ : Adja Fatou Ndiaye libére le Sénégal

Que de regrets dans le camp maliens, avoir mené au score de 22 points , le Mali s'est vu rattraper et dépasser par les lioncelles du Sénégal à la derniére seconde du match.



AFROBASKET U18 FEMININ : Adja Fatou Ndiaye libére le Sénégal
   Les maliennes ont bien entamé le match avec un excellent jeu intérieur  grâce avec une bonne Aminata Traoré toujours bien servie par Fanta Guindo et aussi une Mariam Koné trés adroite à 3 pts. Les aiglonnes vont dés le premier infliger un écart de 10 pts aux sénégalaises (18-8) pour le doubler à la mi-temps avec un score de 40-20.
  Au retour des vestiaires les sénégalaises vont tenter de revenir avec l'entrée en jeu de Adja Fatou Ndiaye ( 6 pts, 10 rbds et 5 contres ) que le staff technique avait laissé sur le banc, pendant toute la premiére mi-temps. Elle va beaucoup géner les intérieures maliennes que' elle va même contraindre à sortir pour 5 fautes, reignant en mettre dans la raquette, alternant contres et rebonds, malgré son genou qui la dérange dans ses mouvements. Le Sénégal va réduire l'écart de 14 pts pour finir le 3 éme 1/4 temps sur le score 49-35 toujours en faveur vdes maliennes.
  Dans le quatriéme quart temps , le Sénégal va toujours continuer son travail de sape en défense tandis que les petites  Ndeye Fatou Diop du SLBC et Aminata Kamara de Bopp chacune 15 pts,trés agressives en attaque vont  pousser la défense malienne à encore faire des fautes occasionnant la sortie de Penda Touré et Madjan Camara pour 5 fautes. Les sénégalaises arriveront à hauteur des maliennes à 50-50, puis les maliennes reprenne l'avantage 52-50 avant que les sénégalaises n'égalisent à 52-52 et dans la derniére seconde du match , un malienne va faire faute sur Adja Fatou Ndiaye aprés un éniéme rebond offensif de cette derniére qui se présentera sur la ligne des lancers francs alors que le temps réglementaire était déja fini, la MVP du match ne tremblera et marquera ses deux lancers malgré toute la pression sur ses jeunes épaules, et ce fut le délire dans les travées de Marius Ndiaye.


Article rédigé par le Dimanche 23 Septembre 2012




1.Posté par grand frere le 24/09/2012 12:12
Bravo les miss.
Cette victoire est vraiment bonne pour le moral.
Ca va peut etre leur enlever cette pression qu'elles ont en début de match.
Tiakanam.

2.Posté par pape le 25/09/2012 18:39
Organisation Championnat d’Afrique U18, Mali vs Angola. La honte. Peut on imaginer un quart temps qui a tiré en longueur juste á cause d'une toiture défectueuse où l'eau de pluie outrepassait pour submerger le parquet de Marius Ndiaye lors de la 3éme journée. La préparation á une compétition implique la prise en compte de plusieurs facteurs de performances incluant les risques liés aux conditions de pratique. Durant cette rencontre, un réel danger planait sur le terrain. Le premier souci du coach c'est d'assurer la sécurité de ses joueurs. Pour des joueurs expérimentés, la prise en charge émotionnelle est moins importante car ils sont capables d’identifier les dangers et n'accepteraient jamais de jouer dans ces conditions dramatiques. Chez les moins de 18 ans par contre, puisque novice et confrontées à une maturité encore vacillante, le coach doit calibrer le risque et prendre toutes ces responsabilités. Les jeunes filles n'arrivaient pas à dominer la frayeur et la crainte de tomber et de contracter une blessure malgré l'entêtement du commissaire de match de continuer cette mise-en- danger… la fédération est partiellement responsable de cette situation. En organisant le championnat des U18 filles, elle avait pleine conscience de la vétusté de ses infrastructures ayant elle même expérimenté á plusieurs reprises l'arrêt d'un match de championnat á cause de la pluie. Pour rappel, le Gala de basketball lors de la visite de l’Université de Washington ou joue notre compatriote Aziz NDIAYE, n’a pas eu lieu à cause de cela. La honte ne tue pas. Vers 17h30, le match de Mali vs Angola a été interrompu plusieurs fois pour permettre aux nettoyeurs de rentrer sur le terrain pour évacuer l'eau. Ces derniers avec un matériel rudimentaire (serre pierres au lieu de serviettes) ne pouvaient absolument pas gérer la situation au damne des coaches angolais et malien. Finalement le match fut « sauvagement » interrompu pour ne reprendre que vers 19h40 exactement à 5mn10 de la mi-temps. L'ambition de la fédération de pousser ses équipes nationales, toutes catégories confondues, à jouer les premiers rôles ne correspond nullement au leadership jusqu'ici montré par le bureau fédéral. Avant le début de la partie, le match a accusé 50mn de retard á cause d'un cerceau trop incliné vers le bas. Tout le monde avait vu cela mais l'incapacité des organisateurs á réagir spontanément mais surtout á anticiper sur les couacs est encore mise á nue. Je me demande si les capacités d’un bon manageur ne devaient pas être une exigence fondamentale de sélection ou de proposition de membres du bureau fédéral. En choisissant leur candidat à la présidence d’une fédération, une attention particulière doit être portée au leadership avec tous ses attributs. De mémoire, aucun championnat d’Afrique de quelque catégorie que ce soit n'ai eu a montré de si grandes limites dans le secteur organisationnel. A ce titre, une démarche critique et de remise en cause mais aussi d'évaluation des principes qui doivent guider une gestion optimale d’évènement sportif de portée internationale s'impose. Pourquoi s'émouvoir d'ailleurs quand on sait que le même cas s'est produit une tonne de fois sans que cela ne dérange aucun membre de la fédération. • Fautes techniques donc á la fédération sénégalaise de basketball • Faute antisportive à FIBA qui se la joue facile en autorisant l'organisation de ce tournoi sans mener une enquête préalable par une visite de prospection sérieuse. • Faute disqualifiante à l’état du Senegal, à travers son ministère des sports. Le laxisme est une vertu au Sénégal et le ridicule fait vivre. La DHC doit jouer pleinement son rôle en anticipant sur toutes les difficultés qui pourraient fragiliser les équipes nationales au lieu de les « gérer » une fois sur place. Le sport africain, surtout celui qui se déroule en Afrique de l'ouest et du centre peine á se développer á cause d'un de ses nombreux facteurs bloquant : la rareté d'infrastructure digne de ce nom! GOMOU NAWETT, il faut le soigner avant nawett. :jumpy:

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