Vous avez finalement décidé de rejoindre l’Equipe nationale du Sénégal pour les besoins de l’Afrobasket à Abidjan. Pourquoi avoir attendu tout ce temps ?
C’est vrai que j’ai beaucoup attendu avant de prendre la décision de rejoindre le groupe. Ce qu’il faut comprendre, c’est que j’avais des choses très importantes à régler et qui m’empêchaient de répondre à l’appel du sélectionneur. Ce n’est nullement de ma volonté. Je n’avais pas le choix. Je suis un professionnel. Je connais l’importance de la sélection. Mais, il y a des obligations que nous devons remplir quand on arrive à un certain niveau. Pendant tout ce temps, j’étais en contact permanent avec mon agent. Je devais signer mon contrat pour rejoindre le club d’Antibes. Aujourd’hui, c’est chose faite. Donc, j’ai le feu vert de mon agent pour rejoindre la sélection. J’aurais pu faire autrement. Mais ce sont des risques à prendre et dans toute chose, il y a également des règles à respecter. C’est ce que j’ai essayé de faire du mieux possible. Malheureusement, beaucoup de gens ne l’ont pas compris. C’est dommage. Mais je crois qu’aujourd’hui, la page est tournée. Le plus important, c’est de rejoindre le groupe et de commencer le travail pour réaliser une bonne campagne avec le Sénégal.
On vous reproche de ne pas être un patriote. D’autant plus que ce n’était pas la première fois que vous refusiez de rejoindre la sélection. C’était le cas en 2007 et 2009. Est-ce le cas ?
Non (ferme) ! Ce n’est pas le cas. Je suis un patriote. Je connais l’importance de la sélection. J’adore jouer pour mon pays. J’ai toujours eu l’amour du maillot national. Malheureusement, lors de la dernière campagne, je traînais une blessure de six mois. J’avais connu une saison difficile. Il y a eu beaucoup d’événements que les gens ne maîtrisent pas et qu’on ne peut tout le temps évoquer sur la place publique. Que les gens sachent que je suis vrai patriote et que je suis à 200 % motivé pour disputer la Can avec le Sénégal. C’est un défi personnel. D’ailleurs, si j’ai décidé de venir, ce n’est pas pour jouer simplement, mais c’est surtout pour gagner la Can avec cette équipe du Sénégal. C’est mon rêve le plus fou. Je suis Sénégalais. Je n’ai que mon pays. J’ai ma famille, mes amis, les gens qui m’admirent dans ce pays. Dans cette équipe, j’ai que des potes. Ça me fait mal d’entendre les gens dirent que je n’aime pas la sélection. Ce n’est pas le cas.
Vous serez forcément attendu. Pensez-vous pouvoir vous intégrer facilement le groupe ?
Je ne pense pas que cela puisse être un problème. Comme je vous l’ai dit, je connais tous les joueurs qui sont là. Ensuite, nous sommes des professionnels. Dès fois, on arrive deux jours dans un club et le troisième on joue. Cela ne sera pas un problème. Si j’ai la confiance du coach, je crois qu’il n’y aura aucun problème. Je n’ai pas eu le temps de beaucoup discuter avec lui, mais je crois qu’on va pouvoir s’entendre et se comprendre.
C’est vrai que j’ai beaucoup attendu avant de prendre la décision de rejoindre le groupe. Ce qu’il faut comprendre, c’est que j’avais des choses très importantes à régler et qui m’empêchaient de répondre à l’appel du sélectionneur. Ce n’est nullement de ma volonté. Je n’avais pas le choix. Je suis un professionnel. Je connais l’importance de la sélection. Mais, il y a des obligations que nous devons remplir quand on arrive à un certain niveau. Pendant tout ce temps, j’étais en contact permanent avec mon agent. Je devais signer mon contrat pour rejoindre le club d’Antibes. Aujourd’hui, c’est chose faite. Donc, j’ai le feu vert de mon agent pour rejoindre la sélection. J’aurais pu faire autrement. Mais ce sont des risques à prendre et dans toute chose, il y a également des règles à respecter. C’est ce que j’ai essayé de faire du mieux possible. Malheureusement, beaucoup de gens ne l’ont pas compris. C’est dommage. Mais je crois qu’aujourd’hui, la page est tournée. Le plus important, c’est de rejoindre le groupe et de commencer le travail pour réaliser une bonne campagne avec le Sénégal.
On vous reproche de ne pas être un patriote. D’autant plus que ce n’était pas la première fois que vous refusiez de rejoindre la sélection. C’était le cas en 2007 et 2009. Est-ce le cas ?
Non (ferme) ! Ce n’est pas le cas. Je suis un patriote. Je connais l’importance de la sélection. J’adore jouer pour mon pays. J’ai toujours eu l’amour du maillot national. Malheureusement, lors de la dernière campagne, je traînais une blessure de six mois. J’avais connu une saison difficile. Il y a eu beaucoup d’événements que les gens ne maîtrisent pas et qu’on ne peut tout le temps évoquer sur la place publique. Que les gens sachent que je suis vrai patriote et que je suis à 200 % motivé pour disputer la Can avec le Sénégal. C’est un défi personnel. D’ailleurs, si j’ai décidé de venir, ce n’est pas pour jouer simplement, mais c’est surtout pour gagner la Can avec cette équipe du Sénégal. C’est mon rêve le plus fou. Je suis Sénégalais. Je n’ai que mon pays. J’ai ma famille, mes amis, les gens qui m’admirent dans ce pays. Dans cette équipe, j’ai que des potes. Ça me fait mal d’entendre les gens dirent que je n’aime pas la sélection. Ce n’est pas le cas.
Vous serez forcément attendu. Pensez-vous pouvoir vous intégrer facilement le groupe ?
Je ne pense pas que cela puisse être un problème. Comme je vous l’ai dit, je connais tous les joueurs qui sont là. Ensuite, nous sommes des professionnels. Dès fois, on arrive deux jours dans un club et le troisième on joue. Cela ne sera pas un problème. Si j’ai la confiance du coach, je crois qu’il n’y aura aucun problème. Je n’ai pas eu le temps de beaucoup discuter avec lui, mais je crois qu’on va pouvoir s’entendre et se comprendre.