Quand le maitre retourne dans la cours après avoir « sifflé la fin de la récréation », il pose problème dans sa classe.
Apres plusieurs mois de xuloo, de teesante et de communication cacophonique, c’est baba himself qui avait « sifflé la fin de la récréation ». Depuis lors, rien n’a changé, la récréation a juste changé de visage.
Les xuloo ou teesante d’hier ainsi que le tâtonnement communicationnel intervenu dernièrement avec l’affaire TOUPANE sont deux signes différents d’une même pathologie : le management baana baana ou l’anti-management.
Il est communément admis que la communication est la clef de la gestion. Je ne demande pas à la fédé de se référer aux grandes structures spécialistes du sport. Sur ce fait, ils ont l’excuse de l’ignorance. Je leur demande juste de s’inspirer des kilifa de la société sénégalaise. Une information n’est révélée au grand public que lorsqu’elle est vérifiée, complète, intégrale et avérée. Toute information remise en question influe négativement sur l’image du kilifa en question. Si c’est une structure ou une entité qui a porté cette nouvelle à la connaissance du public, il en reste de même et la règle reste valable.
Je comprends baba qui a voulu donner une nouvelle image de la fédé en signifiant qu’ils sont maintenant au travail. Le cas TOUPANE ne faisait qu’office d’indicateur objectivement vérifiable de cette « nouvelle situation ». Si vraiment la fédé veut soigner son image, alors qu’elle aseptise sa communication. C’est la seule voie
Apres plusieurs mois de xuloo, de teesante et de communication cacophonique, c’est baba himself qui avait « sifflé la fin de la récréation ». Depuis lors, rien n’a changé, la récréation a juste changé de visage.
Les xuloo ou teesante d’hier ainsi que le tâtonnement communicationnel intervenu dernièrement avec l’affaire TOUPANE sont deux signes différents d’une même pathologie : le management baana baana ou l’anti-management.
Il est communément admis que la communication est la clef de la gestion. Je ne demande pas à la fédé de se référer aux grandes structures spécialistes du sport. Sur ce fait, ils ont l’excuse de l’ignorance. Je leur demande juste de s’inspirer des kilifa de la société sénégalaise. Une information n’est révélée au grand public que lorsqu’elle est vérifiée, complète, intégrale et avérée. Toute information remise en question influe négativement sur l’image du kilifa en question. Si c’est une structure ou une entité qui a porté cette nouvelle à la connaissance du public, il en reste de même et la règle reste valable.
Je comprends baba qui a voulu donner une nouvelle image de la fédé en signifiant qu’ils sont maintenant au travail. Le cas TOUPANE ne faisait qu’office d’indicateur objectivement vérifiable de cette « nouvelle situation ». Si vraiment la fédé veut soigner son image, alors qu’elle aseptise sa communication. C’est la seule voie