Alioune Badara Diagne
''C'est le Sénégal qui est demandeur, jamais la FIBA Afrique ne nous a imposé notre candidature et ne nous a jamais demandé d'abriter la compétition'', a déclaré Alioune Badara Diagne, au cours d'un point de presse.
''C'est nous-mêmes qui avons demandé à organiser. J'ai été devant le comité exécutif de la FIBA Afrique défendre le dossier du Sénégal avec l'accord du ministère des Sports du Sénégal qui s'est engagé devant la FIBA à appuyer la fédération sénégalaise de basket pour l'organisation de cette compétition'', a ajouté M. Diagne, soulignant qu'il ne comprend pas que la tutelle qui a pourtant avalisé cette candidature puisse déclarer que le Sénégal n'était pas demandeur.
Le ministre de Sports, Daouda Faye, avait, au cours d'un point de presse donné lundi dernier à Kaolack, attribué à la FIBA Afrique l'initiative de la tenue à Dakar du championnat d'Afrique des nations de basket-ball.
Soulignant qu'il mesure les risques qu'encourt son pays à ne pas respecter le cahier de charges de la FIBA Afrique pour organiser cette compétition au mois de septembre prochain, le président de la Fédération sénégalaise de basket-ball a prévenu qu'en plus de perdre de son aura ‘'le Sénégal pourrait être condamné à payer une très forte amende'', si on lui retire l'organisation des joutes.
Le président de la fédération de basket s'est dit, toutefois, convaincu que ‘'le coup est encore jouable''. ''Toutes les conditions peuvent être remplies'' et ''la seule inquiétude aujourd'hui est la non disponibilité des infrastructures'', a-t-il affirmé.
''Le Sénégal est un pays sûr, n'a pas de problèmes de transmission, ni d'hôtellerie et la capacité managériale des gens n'est pas à démontrer. La seule difficulté que nous avons, ce sont les infrastructures, si c'est réglé il n'y a aucune raison que la Fiba nous retire l'organisation de cette manifestation'', a insisté Alioune Badara Diagne qui doit diriger la mission de la FIBA Afrique, en visite au Sénégal depuis mardi dernier.
Le président de la Fédération sénégalaise de basket-ball a souligné que ''ce serait une première dans l'histoire du basket au Sénégal que l'on nous retire une manifestation. Jamais cela ne s'est fait et il y va du prestige et de la notoriété de notre pays''.
''C'est nous-mêmes qui avons demandé à organiser. J'ai été devant le comité exécutif de la FIBA Afrique défendre le dossier du Sénégal avec l'accord du ministère des Sports du Sénégal qui s'est engagé devant la FIBA à appuyer la fédération sénégalaise de basket pour l'organisation de cette compétition'', a ajouté M. Diagne, soulignant qu'il ne comprend pas que la tutelle qui a pourtant avalisé cette candidature puisse déclarer que le Sénégal n'était pas demandeur.
Le ministre de Sports, Daouda Faye, avait, au cours d'un point de presse donné lundi dernier à Kaolack, attribué à la FIBA Afrique l'initiative de la tenue à Dakar du championnat d'Afrique des nations de basket-ball.
Soulignant qu'il mesure les risques qu'encourt son pays à ne pas respecter le cahier de charges de la FIBA Afrique pour organiser cette compétition au mois de septembre prochain, le président de la Fédération sénégalaise de basket-ball a prévenu qu'en plus de perdre de son aura ‘'le Sénégal pourrait être condamné à payer une très forte amende'', si on lui retire l'organisation des joutes.
Le président de la fédération de basket s'est dit, toutefois, convaincu que ‘'le coup est encore jouable''. ''Toutes les conditions peuvent être remplies'' et ''la seule inquiétude aujourd'hui est la non disponibilité des infrastructures'', a-t-il affirmé.
''Le Sénégal est un pays sûr, n'a pas de problèmes de transmission, ni d'hôtellerie et la capacité managériale des gens n'est pas à démontrer. La seule difficulté que nous avons, ce sont les infrastructures, si c'est réglé il n'y a aucune raison que la Fiba nous retire l'organisation de cette manifestation'', a insisté Alioune Badara Diagne qui doit diriger la mission de la FIBA Afrique, en visite au Sénégal depuis mardi dernier.
Le président de la Fédération sénégalaise de basket-ball a souligné que ''ce serait une première dans l'histoire du basket au Sénégal que l'on nous retire une manifestation. Jamais cela ne s'est fait et il y va du prestige et de la notoriété de notre pays''.
Le COCAN fait le bilan du 20e Can : « Une bonne organisation malgré des couacs » 
