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Bacar Dia invite la Fédération à s’appuyer sur toutes les forces pour relancer la discipline

(APS) - Le ministre des Sports Bacar Dia a invité le bureau de la Fédération sénégalaise de basketball, nouvellement installé, avec à sa tête El Hadji Amadou Gaye, à s’appuyer sur toutes les forces du basket pour la relance effective de cette discipline.




Bacar Dia invite la Fédération à s’appuyer sur toutes les forces pour relancer la discipline

M. Dia qui avait regroupé, lundi les journalistes, au sortir d'une rencontre avec les fédéraux, a dit que les principaux axes de leur discussion a reposé sur la relance du basket et il s'est agi ''de poser des diagnostics et de proposer des solutions''.


''Depuis mon arrivé il y a six mois, on a eu a poser des actes, et l'important c'était de tenir l'Assemblée générale et de renouveler le bureau'' a dit Bacar Dia ajoutant que ''maintenant, le président élu a pour rôle de fédérer toutes les forces du basket, mais aussi de trouver le financement pour le basket''.


Le financement, un sujet qu'il a jugé de ''problème récurrent'' qui ne cesse de resurgir pour toutes les fédérations.


''Il faut qu'on réfléchisse sur les moyens de financer le basket, de faire venir les sponsors pour les inciter à financer le basket. Les fédérations ont pour missions de chercher de l'argent chez les sponsors pour faire marcher leur structure, parce qu'ils sont délégataires de pouvoir et ils doivent pouvoir trouver les moyens de leur politique. L'Etat est là pour les accompagner''.


S'agissant des compétitions à venir, le ministre des Sports a indiqué ''que nul ne doit parler de compétitions internationales si au plan local rien n'est bon''.


Bacar Dia qui s'est dit ''décidé'' à accompagner la discipline, a toutefois souligné que ''l'on ne peut plus se permettre de colmater des équipes au niveau international alors qu'au niveau local il n'y a rien de concret''.


Selon lui, les fédérations doivent créer des conditions pour la tenue régulière de championnats, mais aussi, développer d'autre forme de tournois pour motiver les jeunes à s'intéresser au basket.


''Sur ce plan, a-t-il poursuivi, nous avons longuement discuter sur les infrastructures et nous y travaillons dans l'optique de faire de la proximité en revalorisant les terrains de quartiers afin que puissent s'y dérouler des tournois de rap'attacks ou autre.''


Il s'agira également pour la fédération de définir des stratégies à court, moyen et long terme, d'étaler des sessions de formation sur un certain nombre de mois d'en tenir informer à temps la tutelle pour ne pas la mettre devant le fait accompli, a indiqué le ministre.


Bacar Dia a révélé que son département s'est d'accordé avec la Direction technique nationale pour que la détection de talent se fasse au niveau local et pour l'organisation d'un stage de formation pour relancer le basket.


''Il parait aussi que les textes ont besoin de retoilettage et nous sommes en train de voir dans quelle mesure et de concert avec la Fédération internationale de basket, réfléchir sur un format pour refaire les textes et les adapter au niveau mondial'', a-t-il soutenu avant d'annoncer qu'un séminaire se prépare dans ce sens.


Il a également émis le souhait de voir le Sénégal se doter d'un basket nouveau, reposant sur la base d'un véritable projet et qui sous tend l'ensemble des actions et préoccupations de la discipline.


Pour le directeur technique national, Ousseynou Ndiaga Diop, présent à la rencontre, la DTN tiendra compte des objectifs assignés par la tutelle. Dans ce sens, ''nous voulons démocratiser la pratique du basket dans les contrées les plus reculées du Sénégal pour la détection de talents, en vue de relancer la discipline'', a-t-il dit.


M. Diop a par ailleurs indiqué que la structuration de la DTN permet de mettre à niveau tout cela et que si cela se fait, il n'y a pas de doute que d'ici quelques années, le basket sénégalais retrouvera son lustre d'antan.


''Le fait de permettre à la fédération de se réunir dès sa mise en place, avec l'implication permanente de la tutelle, permet d'espérer de lendemains meilleurs pour le développement du basket à la base'', a relevé Ousseynou Ndiaga Diop.



Article rédigé par le Mardi 16 Septembre 2008




1.Posté par sentinelle du Basket le 18/09/2008 12:08
excusé moi davoir prendr le train un peu en retar mais monsieur du basket en général et le ministr en partic ne nous leurron pa; on nen ka formé lé meilleurs entraineurs possible formé lé meilleurs éléments de l'Afrik si nou ne parvenon pa à arrété cette saignée des acteurs ces dernières années nou ne parvenon à rien et notr basket continuera de plu bél à reculé. et pwi à koi sa sér de formé une personne tout en sachant kan él part non pa tu ni gagn rien mé tu as tou lé chance du monde si él taverti mém.nou avion dé sélections fortes parce k nos acteurs été pour la majorité dan le pays, dan notre championat.

2.Posté par Jampass le 18/09/2008 21:32
Je reviens sur la réfection du stadiun Marius NDIAYE. Avec tout ce que le Sénégal a drainé de résultat, nous devrions en être au moins à un bon stadium dédié au basket dans chaque région. Il est inadmissible que des petits enfants puisent jouer dans une salle où ont joué leurs grands parents...Si certains me contredisent, patience on y arrivera. Le basket je pense n'a jamais eu ce qu'elle méritait dans ce pays depuis un jour de finale de semaine nationale de la jeunese nationale de football, où Issa DIAW franchissa les 2m en hauteur, une bande de "gamins"composée de Niada, Claude SADIO, Claude CONSTANTINO,TRA, Feu Daguit, Lucas, Doudou, FOWLER, Moussa SENE...nous ramener la coupe d'Afrique de RAbat. Il s'en suivit toute une génération de basketteurs grâce au travail de fourmi accompli par des hommes comme Lune, SOW, Busnel, Mbaye GUEYE, Bonan. Et l'apothéose fut cette fameuse rencontre Equipe nationale de SOW BUSNEL contre Cap VERT de Mbaye KONATE. Deux équipes qui pouvaient participer à une même coupe d'Afrique et se retrouver en finale. Parce que tout simplement à l'époque. Le lundi c'était à Demba DIOP pour les joueurs sélectionnables et le reste de la semaine en Club. S'en suivit une génération mature que nous perdîmes pour cause d'expatriation. Malgré tout cela à l'heure actuelle, nous n'avons qu'une salle.INADMISSIBLE !!!!!!!!.
J'ai mal à mon basket. Le Sénégal a perdu son jeu d'antan. Resaisissons nous. Le basket n'est pas mort. Mais en toute honnêteté il nous faudra au moins 10 ans pour retrouver le sommet. Et pour cela il faut un travail de longue haleine et nous aurons besoin de tous pas seulement en costume cravate mais en short sur le terrain. D'où une implication de ceux qui le veuillent bien. Traquons nos anciens soliicitons les pour une quinzaine basket je suis sûr qu'ils viendront de partout apporter leur pierre à l'édifice. Faisons d'eux des référents ja'i bien dit référents car nous compterons sur une certaine continuité et le basket en sortira grandi. Que de savoir en somnolence ailleurs que chez nous. Allez savoir que deviennent nos anciens talents. Si on ne les retrouve pas le dimanche à Iba MAR, ils sont en Europe ou ailleurs. Et dire que notre jeunesse sportive pourrait en bénéficier. Et Dieu sait que le basket a besoin de cela.

3.Posté par number 10 le 25/09/2008 13:37
Autant demander à un bébé de 2 mois de tenir sur ses propres jambes...

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