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Boniface Ndong : ‘’Il n’est plus question de venir en sélection pour perdre du temps’’

Meilleur joueur du championnat d’Afrique de basket en 2005 en Algérie, Boniface Ndong s’est ensuite relancé en Espagne où avec Malaga, il a joué cette saison l’Euroligue. Malgré une blessure qui l’avait éloigné de l’équipe nationale, Boniface Ndong continue de suivre l’actualité des Lions. Il analyse la situation après la débâcle de l’équipe nationale en Angola et aborde quelques autres questions.


Ahmadou Bamba Kassé APS



Boniface Ndong : ‘’Il n’est plus question de venir en sélection pour perdre du temps’’

Est-ce que Boniface suit l'actualité du basket sénégalais ?



Oui je suis ce qui se passe à travers les sites spécialisés. Cela me permet de savoir ce que font les Sénégalais de l'étranger et d'avoir une idée de ce qui se passe au niveau du championnat. J'ai connaissance de tous les problèmes qui s'y passent. Et je trouve que c'est dommage que le basket sénégalais au niveau des équipes nationales n'ait pas fait de bonds en avant et recule plutôt. Vu le potentiel que le Sénégal a, le problème est d'ordre organisationnel. C'est à ce niveau que ça pêche, en plus des difficultés qu'il y a eu avec l'ancien ministre des Sports Daouda Faye qui n'a pas facilité la tache à la fédération.











Qu'est-ce qui explique la défection de Boniface Ndong lors du dernier championnat d'Afrique ?



Vous savez, au Sénégal il y a toujours des spéculations, et les gens aiment ça. Il y a deux ans, je me suis fait opérer avant le championnat du monde et c'était la même chose. Les spéculations allaient bon train et d'aucuns juraient la main sur le cœur que je n'avais pas subi d'opération. La vérité, c'est que pour le dernier championnat d'Afrique, si je ne suis pas venu défendre les couleurs de mon pays, c'est que j'avais un problème au genou. Avant d'aller jouer l'année dernière en Russie, je m'étais fait opérer mais je n'avais pas eu le temps de subir la rééducation comme il fallait, parce que j'avais des obligations professionnelles que je devais honorer. Je n'avais pas terminé la rééducation et il était prévu que je retourne aux Etats-Unis l'été dernier pour continuer mon traitement. C'est la seule raison pour laquelle je n'ai pas pu venir cet été et j'en ai parlé avec les responsables de l'équipe comme Gallo qui l'avaient bien compris ainsi qu'avec certains joueurs comme Mactar Ndiaye, Malèye Ndoye…maintenant je ne peux pas empêcher les gens qui n'avaient aucun contact avec moi, qui ne m'ont pas parlé de faire des supputations.











Qu'est-ce que cela t'a fait de voir le Sénégal qui était deuxième en Algérie terminer 9e en Angola, alors que les observateurs les plus pessimistes le voyait au moins en finale ?



C'était un grand choc pour moi qui ai suivi tous les matchs de l'équipe nationale à la télé. J'étais très déçu parce que c'est quelque chose qui ne devait jamais nous arriver, mais ce n'est pas surprenant vu qu'au Sénégal on ne se donne jamais les moyens de bien nous préparer pour ces genres d'échéances. C'est toujours les mêmes problèmes d'organisation qui produisent les mêmes effets, ce qui fait qu'il est difficile d'avoir l'esprit de groupe et l'état de forme idoine pour bien se comporter en championnat d'Afrique. En plus, l'absence de l'entraîneur qui n'a pas lui aussi bénéficié de conditions de travail a été la goutte d'eau de trop. Je crois que dans les conditions très mauvaises de préparation, c'était rêver que de parler de finale. Mais il n'empêche que je voyais l'équipe du Sénégal au moins en quart ou demi-finale. La leçon à en tirer est qu'il faut que les gens sachent que pour pouvoir gagner au championnat d'Afrique, il faut mettre en place une très bonne organisation pour se donner les moyens de réussir. Les Angolais ne sont pas plus forts que les autres sauf sur le plan de l'organisation et de la préparation. Il faut que les gens comprennent qu'il ne s'agit pas de nommer Gallo comme manager de l'équipe pour qu'on gagne, si en retour on ne lui donne pas les moyens de bien faire une planification et qu'on respecte le minimum de délais que l'on s'impose dans notre plan.











Le Sénégal a pourtant de grands joueurs, a choisi un manager général, a déroulé un plan de préparation. Au finish il a terminé neuvième, commentanalyses-tu cette contre-performance ?



La première raison c'est que la Fédération sénégalaise n'est pas indépendante financièrement parlant. C'est le principal problème. D'après l'expérience que j'ai eue, il y a toujours des problèmes de mise en place du budget parce que l'équipe nationale dépend du ministère des Sports. Ou bien les gens font des plans de préparation que le ministère trouve trop cher, ou bien le ministère accepte le plan que la fédération propose, mais ne fait pas les décaissements à temps. Cela fait que les programmes ne sont pas respectés parce que l'équipe nationale n'a pas d'argent à sa disposition et la fédération ne contrôle pas cet aspect. Donc, tant que le ministre en place n'a pas la volonté de mettre en place le budget au moins un an avant le début des compétitions pour permettre à la fédération de financer les opérations de préparation, on ne va jamais réussir. Gallo avait fait un bon plan de préparation avec des stages, des matchs amicaux, mais si tout cela n'a pas marché c'est pour des problèmes budgétaires.



L'autre problème qu'il faut résoudre et qui est lié aux raisons budgétaires dont j'ai fait cas, c'est celui de la motivation des joueurs. S'il y a chaque année des problèmes dans la préparation pour des raisons de budget ou d'organisation, les joueurs ne viendront pas parce qu'ils sont habitués à une organisation parfaite, alors que là, on a l'impression de perdre notre temps. Parce qu'il faut qu'ils comprennent que nous les joueurs, on profite souvent de l'été pour travailler, augmenter notre rendement physique et technique parce que nous sommes appelés à nous perfectionner pour notre carrière professionnelle. Alors si au lieu de cela on vient en équipe nationale et qu'on trouve des conditions de préparation dérisoires, on a l'impression de perdre notre temps. Quand les joueurs viennent en équipe nationale, ce n'est pas pour passer des vacances, mais pour nous préparer convenablement et aller gagner. Il faut que les dirigeants sachent qu'on est plus fort que les Angolais, on a les moyens techniques de les battre mais il faut que la fédération et le ministère sachent que si on vient en équipe nationale, on ne doit s'occuper que de basket. Il faut que le ministère et la fédération mettent tout en place pour qu'on se concentre sur notre jeu pour pouvoir aller gagner le championnat.











Tu veux dire que les deux fois où tu étais venu au championnat d'Afrique les choses n'étaient pas en place ?



J'étais là en 2003 pour le championnat d'Afrique en Egypte et pour celui de 2005 en Algérie, mais il y avait tout le temps des problèmes que j'ai honte d'énumérer. Il faut que le ministère et la fédération changent de mentalité et nous proposent un bon plan de préparation s'ils veulent que nous gagnions enfin.











Quel est l'avis des joueurs sur le débat concernant la nationalité de l'entraîneur de la sélection ?



Je n'ai rien contre les entraîneurs locaux. Si aujourd'hui on a pu aller dans d'autres championnats, c'est parce que les entraîneurs locaux nous ont façonné et cela prouve qu'ils font du très bon travail. Mais aujourd'hui il faut reconnaître que s'ils peuvent enseigner les bases du basket, ils sont en rade du haut niveau. En championnat du monde et en championnat d'Afrique, il faut des coachs de très haut niveau qui peuvent régler les problèmes tactiques. Donc il nous faut encore un entraîneur étranger, pas forcément un américain mais un entraîneur qui a un vécu qui lui permet de bien de se comporter face à des systèmes de jeu au niveau international. Par exemple avec Abddou Ndiaye, c'était le cas, parce que non seulement il faisait bien fonctionner l'équipe, mais en plus il avait imposé le respect aux joueurs. Après, il est clair que des entraîneurs locaux mis dans le bain et qui évoluent à côté des entraîneurs de haut niveau peuvent reprendre le flambeau très bientôt parce qu'ils auront appris aux côtés de ces techniciens. Mon opinion définitive sur cette question, c'est que si on veut avancer, il nous faut un entraîneur étranger à côté de qui on mettra un entraîneur local qui pourra prendre le relais dans une période de 4 ans par exemple.











Aujourd'hui Boniface à 30 ans, pense t-il toujours à l'équipe nationale ?



J'y pense même très sérieusement. Aujourd'hui, mon plus grand souhait est de remporter la coupe d'Afrique. Sincèrement mon plus grand objectif en tant que basketteur est de remporter cette coupe. Je sais qu'on en est capable parce qu'on a été très proche de le réaliser et cela montre qu'on peut le faire. Si toutes les conditions sont réunies, si la fédération montre sa volonté de mettre en place une équipe qui bénéficiera des meilleures conditions, ce serait un plaisir pour nous tous de venir en équipe nationale et de tenter de gagner le trophée, parce que ce sera l'objectif de départ qu'on se sera fixé tous. Mais si l'objectif est de reconstruire dans le long terme avec les mêmes procédés utilisés jusqu'ici, je ne serais pas de la partie parce que j'ai la trentaine et mon objectif est de gagner le championnat d'Afrique et non de perdre du temps à me dépenser physiquement pour rien. J'ai des matchs de très haut niveau qui m'attendent dans ma carrière, je joue au moins deux fois par semaine, alors je n'aurais pas le temps de faire partie des projets à long terme.











Justement que faut il pour que le Sénégal remporte le prochain championnat d'Afrique en 2009 au Nigeria ?



Si aujourd'hui j'étais le ministre des Sports du Sénégal, j'appelle la fédération et je leur demande de me faire un plan. Le premier objectif est de chercher un entraîneur de haut niveau, ensuite un plan de préparation comportant des stages, des matchs de préparations…ensuite je demanderais qu'on me fasse les simulations pour savoir combien tout cela va coûter et je mets à disposition un budget. Une telle démarche permet déjà d'être sûr qu'on n'aura pas de problème de budget et on pourra commencer le travail. On peut donc à partir de ce moment contacter les joueurs qui se sentent concernés et mettre en place le plan de travail. En clair, et cela tous les joueurs avec qui je discute le disent, il n'est plus question de venir en sélection pour perdre du temps. Si toutes les conditions sont réunies, tous les joueurs viendront et il n y aura pas de raison de ne pas aller gagner au Nigeria, même si en sport on ne peut pas garantir à 100% un résultat.




Article rédigé par le Vendredi 9 Mai 2008




1.Posté par NUMBER TEN le 09/05/2008 14:15
"Si aujourd'hui j'étais le ministre des Sports du Sénégal, j'appelle la fédération et je leur demande de me faire un plan. Le premier objectif est de chercher un entraîneur de haut niveau, ensuite un plan de préparation comportant des stages, des matchs de préparations…ensuite je demanderais qu'on me fasse les simulations pour savoir combien tout cela va coûter et je mets à disposition un budget"
On vous que le problème est un problème de Management...

2.Posté par zal le 09/05/2008 15:10
IL YA UN PIVOT QUI PEUT MEME DEFIER SHAQUILLE , SON NOM EST THIERNO GUEYE , SURNOMER TITI, IL A JOUAIT A CHALON, A SABLE, A TOURCOING, A MONTCEAUX, A ORLEANS, A LISIEUX, A NEVERS ACTUELLEMENT SUR UN PROJET DE MONTE A LELITE, C'EST UN JOUEUR QUI A BEAUCOUP D'EXPERIENCE , CALME , QUI EST ENTRAIN DE FAIRE SA CARRIERE EN FRANCE DIGNEMENT, ET JE PENSES QU'IL PEUT BEAUCOUP APPORTER A L'EQUIPE NATIONALE, L'EQUIPE MANQUE UN PIVOT DE METIER , ET JE VOUS ASSURES TITI PEUT FAIRE LA DIFFERENCE , POUR LE CONTACTER t_gueye@hotmail.fr , ou contacter son manager A LONDRES 00447939009143

3.Posté par fonde le 09/05/2008 15:22
Le Probleme du Basket Masculin nest pas un Pblm D'Entraineur ..........Un Entraineur Local peut tres bien nous conduire au titre
Les Joueurs comme Boniface et tous ce ki parlent doivent arreter le Bavardage et Prouver dans le terrain ...........Un point c tout
Il faut preciser ke le basket n'a pas de secret et les gens savent et peuvent dechiffer le jeu
Je Prie nos soi disants talents de nous epargner ............Je commence a me fatiguer du Bavardage de Gallo et Co
Si vous ne pouvez pas nous donner des resultats ,laissez nous avec notre selection Nationale .....On a pas besoin de votre bavardage et de vos menaces si vous ne voulez pas venir en selection on trouvera toujours des joueurs
Sam vincent a ete choisi par Gallo ki la impose tout en sachant kune fois kil a eu le job a Charlotte kil nallait plus avoir notre temps ,Cessons de nous leurrer .........Ngagne ne marque pas 2 points a Dallas comment peut il par une tour de magie devenir notre sauveur en Selection ma ni Lo Nekkoul Talibe Wam meunou Lo Done Serigne Ngam ............. Il faut ke nos joueurs reviennent sur terre et kils arretent le bavardage ,il n'y a qu'une seule verite et c celle du terrain .L'angola ne fait rien dextraordinaire mais c une equipe ki gagne sans bruit
Ceci est juste une petite Contribution !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

4.Posté par mimi le 09/05/2008 15:36
Fonde je pense que c'est a ton tour de te taire. TU pourras reprendre la parole le jour ou tu coprendra le basket comme sport collectif, et comme une antite dans la kel chake individu a un role precis. Presente nous une grande contribution si tu pense que celui ci ne l'est pas.

5.Posté par Lamine Sarr (cissé) le 09/05/2008 15:36
Je pense que Boniface à raison , il nous faut un coach de TRES HAUT NIVEAU ( de préférence un europeen ) pour gagner en afrique .Mais il faut noter aussi qu'il nous faut un voir deux MENEURS qui peuvent assurer . Franchement les meneurs qu'on avaient envoyé en Angola n'ont pas le niveau .Donc il faut aller en chercher partout dans le monde et s'il faut même essayer de convaincre certains Français d'origine Sénégalaise à venir jouer pour le Sénégal
Boniface du courage pour les Playoffs , le Réal de Madrid est un gros morceau

6.Posté par lax le 09/05/2008 16:03
Mais THIERNO GUEYE est en National 3 ou 2 . Nous on a pas de probléme de pivot .On a déjà nos pivots : Boniface , Mamadou Ndiaye , Pape Sow , Yamar Diéne et Saer Séne

7.Posté par Lamine Sarr (cissé) le 09/05/2008 16:06
Ah , il ne faut surtout pas oublier Malick Badiane qui a fait de bonnes choses avec Saint Vallier cette année . Il a beaucoup progressé malgré un début de saison dificile

8.Posté par zal le 09/05/2008 16:09
MAIS ILS SONT PAS MEILLEURS QUE THIERNO, DEMANDE A MAMADOU NDIAYE C'EST PRESQUE THIERNO QUIL LA FORMER A L A PATTE D'OIE BUILDERS DANS LES ANNEES 92 -93

9.Posté par Mundo le 09/05/2008 16:40
Salut à tous,

Je trouve l'analyse de Boniface tout à fait pertinente. Sans organisation, on ne peut rien réussir. Le Sénégal, c'est comme le Nigéria, deux pays à fort potentiel de basketteurs mais leur problème principal face à l'Angola, l'orgre actuel du basket-ball africain, c'est le manque d'organisation, l'improvisation. Comment le Sénégal pense t-il revenir sur le toit de l'Afrique sans un minimum d'organisation alors que des pays comme l'Angola mettent de gros moyens et une excellente organisation pour s'y maintenir ? Réveillez- vous chers compratriotes, on ne récolte que ce qu'on a semé. La 9 ème place du Sénégal lors des derniers championnats d'Afrique de basket-ball masculin m'avait beaucoup déçul mais au fond en analysant, je me suis dis qu'on a eu que ce que l'on méritait vu la préparation catastrophique et les mauvaises conditions auxquelles a été soumise l'équipe. Si le Sénégal était bien placé, je trouverais cette situation bien injuste car seuls ceux qui travaillent sérieusement doivent être récompensés, ce qui n'a point été le cas pour notre sélection où beaucoup d'insuffisances dans la préparation ont été notées. Inutile de revenir sur le non respect du calendrier de préparation, le bras de fer avec M. Ndiaye, l'ancien entraîneur, qui, pourtant, avait fait ses preuves lors du championnat précédent. C'est comme si le sabotage avait été errigé en règle et avec ça on voulait gagner ? Mes amis réveillez-vous une fois de plus, nous ne sommes pas au-dessus des autres, seul le travail paie. L'Angola l'a compris d'autres pays émergents en basket en Afrique, aussi. Je pense que le débâcle des lions en Afrique du Sud doit servir de leçon à tous. Je suis sûr que si les lions avaient été aux places d'honneur, les autorités ne feraient rien pour aider davantage le basket car ils se diraient peut être que nous sommes les meilleurs car que nous travaillons ou pas nous sommes toujours dans les premières places. Donc, il faut revoir notre manière de préparer les championnats d'Afrique mais aussi toutes les compétitions internationales comme le dit Boniface et tous ceux qui aiment le basket si nous voulons reconquérir l'Afrique.
Par ailleurs, je voudrai encourager et remercier tous ceux qui travaillent avec les petites catégories car je sens que ça bouge beaucoup maintenant et cela me réjouit beaucoup. Donc bravo à vous tous qui accomplissaient cette tâche exaltante mais très noble car comme vous le savez, la jeunesse constitue l'avenir de notre basket.
J'ai été un peu long, je m'en excuse. Merci à tous, vive le basket-ball, vive le Sénégal.

10.Posté par fonde le 09/05/2008 17:03
@mimi
je ne vais pas personnaliser ce debat et je suis sur ke je connais le basket mieux ke toi car je suis ne dans le basket ..........Je connais Boniface personnellement pour avoir joue avec lui et je vis le basket .............Je ne cherche pas a critiquer ki ke ce soit jai juste donne mon avis ,peux tu respecter cela si ou tant mieux sinon ..................
Il faut ke lon se dise la verite et ke lon dise la verite aux joueurs ....................sil y a des gens comme toi on ira jamais de lavant car vous etes la a jeter des fleurs aux joueurs au lieu de leur dire ce kils doivent entendre

11.Posté par tsam le 11/05/2008 13:58
mé baye boniface fi dou states on a pa dé miliar motakh mouy démé nonou
gnou ngi nii pers ne mang asa fin ndakh price you cher
li nge wakh deugu le mé de ngéne siy djap
ay angola gnou war ko méy 15mil points decar
vs etes plus hot keu 20fois
mm boléne done wor la wakh pendan tt le champona et ke ts lé meyeur viene ay yow saer ect.. ngéne dego sibir ground bi de ngéne di win.djap léne si rek té ngéne gneuw eskanté gni 2009 té yalla takh
peace out

12.Posté par papis le 11/05/2008 16:02
le véritable a été soulevé par certains mais il faut qu'on ne se voile pas la face y'a des joueurs qui ne sont pas bon en équipe nationale on a l'impression qu'il y'a du favoritisme.....il ya de bons joeurs qu'est ce qu'on attend pour les chercher par exemple Matar Mbaye qui est le mailleur meneur du maroc et sa tout le monde le sait donc pourquoi le laisser derrière alors qu'on a as de meneur de métier , je sais que d'autre me diront kabir Pène mé on le sait tous il n'a pas de compétion donc faut qu'on prenne des joueurs capables de jouer mais pas des gignoles qui nous font perdre du temps ..... Et également un détail important il faut que matar ndiaye laisse l'équipe tranquil il n'a aucune utilité il ne fait que gêner.....

13.Posté par melo le 11/05/2008 16:05
le sénégal na pa de bons meneurs ils sont mauvais dans ce domaine yavé k babou aprés lui je voi personne aux postes de 2 et 3 on a maleye et ki encore peu tétre jule mouha faye c tout

14.Posté par dikh le 12/05/2008 14:50
matar mbaye fait un tres bon parcours au maroc

15.Posté par NUMBER TEN le 13/05/2008 13:38
il y a pas un problème de ressources...

les joueurs sénégalais talentueux il y a en à la pelle...

le problème c'est au niveau de l'organisation et des relations entre les organisations qui font le basket senegalais. IL faut des reformes et des reformes de taille...

16.Posté par Edu Sumper le 13/05/2008 17:44
Une autre petite Contribution!

Si mes souvenirs sont exacts, Boniface était le meilleur joueur de la CAN 2005 à Alger, et je crois que les techniciens ne l'ont pas élu pour faire plaisir à Sanekh. Pour un joueur qui n'avait pas une super préparation dans les petites catégories, chapeau bas au parcours réalisé jusque là, so keep expressing yourself.
Au football, Salif Diao avait bien "gueulé" sur l'environnement et la gestion de la Tanière durant la CAN 2004 à Tunis pour récolter le frigo, comme Aliou Cissé. Il faut comprendre que l'athlète de haut niveau, aujourd'hui, est un manager de son talent, de sa condition physique physique, de ses performances et résultats, de son image, par conséquent de sa valeur marchande (dans le bon sens) et finalement son patrimoine. Pour tout ce qui précède, les joueurs "bavards" sont bien vus des grands entraîneurs puisqu'ils nourrissent la réflexion, permettent de valider les schémas tactiques et organisationnels avec leur feedback. Faut plutôt se méfier des "moumeuh" qui ne font que "lu serigne bi wah" pour rigoler en cachette!!

17.Posté par Lamine Sarr (cissé) le 19/05/2008 13:18
Boniface Ndong et Unicaja Malaga se sont qualifiés aux 1/2 finales des play off de l'ACB . Ils ont éliminé le vainqueur de la saison réguliére le Réal de Madrid

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