Alioune Badara DIAGNE president de la FSBB et du COCAN
A part le match d’ouverture qui s’est joué dans l’après-midi du jeudi 20 septembre, à 17h, avec à l’affiche Sénégal-Côte d’Ivoire, tous les autres matches des Lionnes dans cette Can de basket se sont joués le soir, à 20h 30. Une mesure qui, à la première lecture, semble participer d’un souci des membres du Cocan de faire bénéficier les Lionnes d’une certaine fraîcheur physique les faisant jouer le soir, bien après la canicule.
Mais c’était une fausse idée, car en fait le but recherché par l’équipe du président Alioune Badara Diagne c’était de capter le plus de spectateurs à une heure d’après-jeûne, à forte affluence, où le rush devenait inévitable. Et pire, à force de vouloir vaille que vaille réaliser des recettes «historiques», le Cocan s’est amusé à vendre plus de billets que de places disponibles. Le vendredi, jour des quarts de finale, en est une illustration. Lors du match Sénégal-Rdc, beaucoup de spectateurs ont été laissés en rade, pour s’être vu refuser l’accès au stadium, bien qu’ayant acheté des billets, pour la plupart à 2 000 F.
D’ailleurs les membres du Cocan, toujours dans le souci de renflouer leur caisse, sont même allés plus loin en exigeant deux entrées, pour la même journée. Le public étant prié à chaque fois de vider les lieux avant le match des Lionnes, calé à 20h 30. Ce qui n’est rien d’autre qu’une forme d’arnaque. Car, comment expliquer qu’on paye pour la même manifestation, un billet pour deux matches et un autre pour un match, celui du Sénégal.
Mais apparemment rien ne pouvait arrêter la boulimie des membres du Cocan, plus préoccupés par l’aspect financier que sportif. Un choix qui va s’avérer fatal à l’arrivée pour les filles de Maguette Diop. Surtout lors des demi-finales, où les Maliennes pour avoir joué deux heures plus tôt, ont eu plus de temps de récupération que la bande à Anta Sy.
A l’arrivée, les Lionnes, qui ont joué la finale sous une heure inhabituelle (17h 30) vont craquer physiquement dans la dernière droite face à des Maliennes qui ont su bien s’adapter à toutes les formules et heures de la programmation. Les coéquipières de Hamchétou Maïga au moins avaient pensé à l’aspect sportif. Contrairement aux responsables sénégalais qui n’avaient qu’une seule préoccupation : réaliser des recettes au-dessus du panier. On connaît la suite…
Mais c’était une fausse idée, car en fait le but recherché par l’équipe du président Alioune Badara Diagne c’était de capter le plus de spectateurs à une heure d’après-jeûne, à forte affluence, où le rush devenait inévitable. Et pire, à force de vouloir vaille que vaille réaliser des recettes «historiques», le Cocan s’est amusé à vendre plus de billets que de places disponibles. Le vendredi, jour des quarts de finale, en est une illustration. Lors du match Sénégal-Rdc, beaucoup de spectateurs ont été laissés en rade, pour s’être vu refuser l’accès au stadium, bien qu’ayant acheté des billets, pour la plupart à 2 000 F.
D’ailleurs les membres du Cocan, toujours dans le souci de renflouer leur caisse, sont même allés plus loin en exigeant deux entrées, pour la même journée. Le public étant prié à chaque fois de vider les lieux avant le match des Lionnes, calé à 20h 30. Ce qui n’est rien d’autre qu’une forme d’arnaque. Car, comment expliquer qu’on paye pour la même manifestation, un billet pour deux matches et un autre pour un match, celui du Sénégal.
Mais apparemment rien ne pouvait arrêter la boulimie des membres du Cocan, plus préoccupés par l’aspect financier que sportif. Un choix qui va s’avérer fatal à l’arrivée pour les filles de Maguette Diop. Surtout lors des demi-finales, où les Maliennes pour avoir joué deux heures plus tôt, ont eu plus de temps de récupération que la bande à Anta Sy.
A l’arrivée, les Lionnes, qui ont joué la finale sous une heure inhabituelle (17h 30) vont craquer physiquement dans la dernière droite face à des Maliennes qui ont su bien s’adapter à toutes les formules et heures de la programmation. Les coéquipières de Hamchétou Maïga au moins avaient pensé à l’aspect sportif. Contrairement aux responsables sénégalais qui n’avaient qu’une seule préoccupation : réaliser des recettes au-dessus du panier. On connaît la suite…