Les “Lions“ du Sénégal n’iront pas plus loin dans la 24e Coupe d’Afrique des nations (Can) de basket dont la troisième journée a été disputée hier, dimanche 19 août.
Après avoir soufflé le chaud et le froid dans les deux premières journées, les Sénégalais ont essuyé la défaite de trop face aux quintuples champions d’Afrique.
Absence d’un véritable stratège et meneur de son jeu, faisant montre de laxisme en défense, et surtout d’incapacité chronique à gérer leur avance, les “Lions“ allaient d’abord faire les frais du réalisme ivoirien qui signait du coup leur première victoire (65-63).
Malgré cet avertissement, Malèye Ndoye et ses partenaires n’ont pas su hisser leur niveau de jeu et surprendre L’Egypte leur dernier adversaire de la poule B. Ils ont en effet fait illusion que lors des premiers échanges en infligeant un 8 à 0 après deux minutes de jeu. Ils ne tarderont cependant pas à tomber dans leurs travers.
Les espaces laissés en défense et une certaine fébrilité dans les attaques placers profitent largement aux Egyptiens qui vont se détacher à la fin du premier quart temps (14-17). Ils s’adosseront sur leur pivot Tarek Gannan pour accentuer leur avance qui passe à dix points à 6 minutes de la pause (16-26.4e).
Les apports de Pape Laye Sow et d’un Issa Konaré, très combatif dans les phases offensives et défensives, apporteront un léger mieux mais n’aura pas un écho favorable au tableau d’affichage ni dans le jeu des “Lions“. Ils accèdent à la mi-temps avec un handicap de 8 longueurs (27-35). S’ils n’ont pas jusque-là réussi à résoudre l’équation du puissant pivot Tarek Guenan qui continuait de plus belle son festival sous le cerceau, les « Lions » allaient, en faveur d’une pression exercée sur leurs adversaires, à l’entame du troisième quart-temps combler une bonne partie de leur retard (34-41. 6e ).
La sortie de Tarek Guenan pour un cumul de quatre fautes va certes enlever une épine à leur pied mais elle n’empêchait pas les « Pharaons » de maintenir à bonne distance les « Lions » qui accusent encore un retard de 13 points au terme du 3e quart-temps (40-53). Le quatrième et dernier quart-temps allait toutefois sonner le début de la révolte chez les « Lions ».
En faveur d’une défense homme-à-homme assez agressive, le jeune Mohamed Faye et ses coéquipiers Malick Badiane, Kabir Pène et autres Mamadou Seck retrouvent quelques sensations offensives et résorbe du coup une bonne partie du déficit.
Discret jusqu’ici Malèye Ndoye en bon capitaine retrouve la main et entretient l’espoir. Il va ainsi alimenter le compteur des “Lions“ grâce à une bonne réussite sur les tirs en longue distance. Au même moment, le doute changeait de camp . Les Egyptiens n’inscrivent que quatre petits points en huit minutes de jeu ( 50-55.8e).
En réussite et loin de laisser l’initiative du jeu à l’adversaire, les « Pharaons » parvenaient à gérer malgré tout leur maigre pécule et clôturait la rencontre sur la marque de 66 à 63. Cette défaite était de trop pour les Sénégalais qui voient ainsi leur rêve de reconquérir le titre remporté il y a dix ans et d’acquérir du coup une place qualificative aux prochains JO de 2008 en Beijing s’évanouir sur le parquet de Lubango.
Cette mission leur était ainsi assignée à la veille de la Coupe d’Afrique d’Alger 2005 à l’issue duquel le Sénégal terminait à une deuxième place synonyme de qualification au Mondial. Mais force est de constater que cette dynamique enclenchée sous l’ère de l’ex-entraîneur Abdourahmane Ndiaye “Adidas“, a été vite brisée par la résiliation du contrat d’Adidas et plus tard par son remplacement par le Coach américain, Sam Vincent.
L’absence prolongée et jusqu’ici injustifiée du nouveau coach américain tout au long du tournoi ont fini de fragiliser l’équipe nationale masculine. Au point d’entraîner l’élimination prématurée du Sénégal, un des favoris du tournoi.
Après avoir soufflé le chaud et le froid dans les deux premières journées, les Sénégalais ont essuyé la défaite de trop face aux quintuples champions d’Afrique.
Absence d’un véritable stratège et meneur de son jeu, faisant montre de laxisme en défense, et surtout d’incapacité chronique à gérer leur avance, les “Lions“ allaient d’abord faire les frais du réalisme ivoirien qui signait du coup leur première victoire (65-63).
Malgré cet avertissement, Malèye Ndoye et ses partenaires n’ont pas su hisser leur niveau de jeu et surprendre L’Egypte leur dernier adversaire de la poule B. Ils ont en effet fait illusion que lors des premiers échanges en infligeant un 8 à 0 après deux minutes de jeu. Ils ne tarderont cependant pas à tomber dans leurs travers.
Les espaces laissés en défense et une certaine fébrilité dans les attaques placers profitent largement aux Egyptiens qui vont se détacher à la fin du premier quart temps (14-17). Ils s’adosseront sur leur pivot Tarek Gannan pour accentuer leur avance qui passe à dix points à 6 minutes de la pause (16-26.4e).
Les apports de Pape Laye Sow et d’un Issa Konaré, très combatif dans les phases offensives et défensives, apporteront un léger mieux mais n’aura pas un écho favorable au tableau d’affichage ni dans le jeu des “Lions“. Ils accèdent à la mi-temps avec un handicap de 8 longueurs (27-35). S’ils n’ont pas jusque-là réussi à résoudre l’équation du puissant pivot Tarek Guenan qui continuait de plus belle son festival sous le cerceau, les « Lions » allaient, en faveur d’une pression exercée sur leurs adversaires, à l’entame du troisième quart-temps combler une bonne partie de leur retard (34-41. 6e ).
La sortie de Tarek Guenan pour un cumul de quatre fautes va certes enlever une épine à leur pied mais elle n’empêchait pas les « Pharaons » de maintenir à bonne distance les « Lions » qui accusent encore un retard de 13 points au terme du 3e quart-temps (40-53). Le quatrième et dernier quart-temps allait toutefois sonner le début de la révolte chez les « Lions ».
En faveur d’une défense homme-à-homme assez agressive, le jeune Mohamed Faye et ses coéquipiers Malick Badiane, Kabir Pène et autres Mamadou Seck retrouvent quelques sensations offensives et résorbe du coup une bonne partie du déficit.
Discret jusqu’ici Malèye Ndoye en bon capitaine retrouve la main et entretient l’espoir. Il va ainsi alimenter le compteur des “Lions“ grâce à une bonne réussite sur les tirs en longue distance. Au même moment, le doute changeait de camp . Les Egyptiens n’inscrivent que quatre petits points en huit minutes de jeu ( 50-55.8e).
En réussite et loin de laisser l’initiative du jeu à l’adversaire, les « Pharaons » parvenaient à gérer malgré tout leur maigre pécule et clôturait la rencontre sur la marque de 66 à 63. Cette défaite était de trop pour les Sénégalais qui voient ainsi leur rêve de reconquérir le titre remporté il y a dix ans et d’acquérir du coup une place qualificative aux prochains JO de 2008 en Beijing s’évanouir sur le parquet de Lubango.
Cette mission leur était ainsi assignée à la veille de la Coupe d’Afrique d’Alger 2005 à l’issue duquel le Sénégal terminait à une deuxième place synonyme de qualification au Mondial. Mais force est de constater que cette dynamique enclenchée sous l’ère de l’ex-entraîneur Abdourahmane Ndiaye “Adidas“, a été vite brisée par la résiliation du contrat d’Adidas et plus tard par son remplacement par le Coach américain, Sam Vincent.
L’absence prolongée et jusqu’ici injustifiée du nouveau coach américain tout au long du tournoi ont fini de fragiliser l’équipe nationale masculine. Au point d’entraîner l’élimination prématurée du Sénégal, un des favoris du tournoi.