Les Lionnes abordent leur dernier virage européen cet après-midi à Cergy (France). Face au Racing club de Paris, Anta Sy et ses coéquipières bouclent leur tournée européenne. A 17h (Gmt), les Lionnes jouent leur dernier match de préparation en Europe. Magatte Diop, le coach national en béquille, et ses filles, rentrent le 8 courant au bercail, après un mois de stage externe.
Magatte respire la forme. Il a la voix joyeuse au bout du fil. Il est comblé par la réactivité de ses filles face à leur coriace adversaire, Dunkerque. De plus, la concurrence se fait rage dans la tanière. Car, «chaque fille cherche à être sélectionnée». La bataille est rude car les fatidiques épreuves d’entrée en sélection vont bientôt débuter. Déjà, avant de quitter l’Hexagone, Magatte Diop va réduire son groupe de 19 à 15 Lionnes. En montant dans le vol Paris-Dakar, quatre candidates verront leur rêve africain brisé, avant que trois autres ne connaissent la même déception, à quelques jours du démarrage des championnats d’Afrique à Dakar (21 au 30 septembre), quand le coach national composera ses 12 sénégalaises qui doivent baliser la route qui mène à Beijing 2008.
Seulement, pour l’heure, la pression est reléguée au second plan. Et les 19 filles présentes en France, qui vont finir la traversée européenne, ont le cœur à l’ouvrage. Heureuses d’avoir livré, samedi dernier, leur match-référence. Dunkerque a été un sacré sparring-partner pour des Lionnes assoiffées de titre. Les Sénégalaises qui ont pour mission de se qualifier en Chine, l’été prochain, ont fait une belle prestation face à cette équipe classée deuxième en National 1. De quoi rendre Magatte Diop enthousiaste : «L’équipe de Dunkerque est une très bonne équipe de haut niveau pour avoir terminé deuxième au National. C’est l’une de nos meilleurs matches, on a eu une bonne résistance », s’émerveille-t-il.
C’est dire que les Lionnes ont bien drivé le match, puisqu’elles s’en sortent avec une victoire (75-60) qui booste leur confiance. De quoi rassurer Magatte Diop qui est persuadé que seule «la préparation est importante. Personne n’est indispensable».
Devant sa lourde charge de sélectionner les meilleures, pour avoir les pieds en Chine, il se libère de la pression en déclarant : «Nous avons fait notre programme préparatoire normalement, nous sommes en train de les évaluer positivement.» Dur, dur d’être coach national !
Magatte respire la forme. Il a la voix joyeuse au bout du fil. Il est comblé par la réactivité de ses filles face à leur coriace adversaire, Dunkerque. De plus, la concurrence se fait rage dans la tanière. Car, «chaque fille cherche à être sélectionnée». La bataille est rude car les fatidiques épreuves d’entrée en sélection vont bientôt débuter. Déjà, avant de quitter l’Hexagone, Magatte Diop va réduire son groupe de 19 à 15 Lionnes. En montant dans le vol Paris-Dakar, quatre candidates verront leur rêve africain brisé, avant que trois autres ne connaissent la même déception, à quelques jours du démarrage des championnats d’Afrique à Dakar (21 au 30 septembre), quand le coach national composera ses 12 sénégalaises qui doivent baliser la route qui mène à Beijing 2008.
Seulement, pour l’heure, la pression est reléguée au second plan. Et les 19 filles présentes en France, qui vont finir la traversée européenne, ont le cœur à l’ouvrage. Heureuses d’avoir livré, samedi dernier, leur match-référence. Dunkerque a été un sacré sparring-partner pour des Lionnes assoiffées de titre. Les Sénégalaises qui ont pour mission de se qualifier en Chine, l’été prochain, ont fait une belle prestation face à cette équipe classée deuxième en National 1. De quoi rendre Magatte Diop enthousiaste : «L’équipe de Dunkerque est une très bonne équipe de haut niveau pour avoir terminé deuxième au National. C’est l’une de nos meilleurs matches, on a eu une bonne résistance », s’émerveille-t-il.
C’est dire que les Lionnes ont bien drivé le match, puisqu’elles s’en sortent avec une victoire (75-60) qui booste leur confiance. De quoi rassurer Magatte Diop qui est persuadé que seule «la préparation est importante. Personne n’est indispensable».
Devant sa lourde charge de sélectionner les meilleures, pour avoir les pieds en Chine, il se libère de la pression en déclarant : «Nous avons fait notre programme préparatoire normalement, nous sommes en train de les évaluer positivement.» Dur, dur d’être coach national !