Début janvier sonne la fin du cumul de Magatte Diop. Le super Directeur technique et entraîneur national des Lionnes de basket se donne comme date butoir la réunion du Comité directeur pour faire son choix.
Maguette DIOP DTN
Déterminer la prochaine assemblée générale de la Fsbb, mais aussi, entériner un choix gigantesque. Telle sera la quintessence du rapport du Cd. La réunion va mettre un terme au cumul de poste de Magatte Diop.
Le Directeur technique national et entraîneur national des filles, qui s’est essoufflé en 2007, se sépare d’une de ses casquettes. Laquelle ? «Je ne ferais pas de déclaration sans l’aval de la fédération. Il faut réfléchir sur comment réussir la continuité», bloque Magatte Diop. Va-t-il se débarrasser de l’encombrant Dtn ou de ses filles chéries : «J’attends le Comité directeur pour avaliser mon choix, à ce moment je pourrais évacuer une fonction.» Soit la Direction technique, soit le banc de l’Equipe nationale. Magatte Diop ne veut point flancher d’un côté. Pourtant, au lendemain de sa nomination en remplacement de Ado Sano, limogé, l’ancien coach du Duc criait à hue et à dia : «Si j’ai à choisir, je reste avec les Lionnes.» Mais, depuis octobre 2006, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts oranges. Désormais, il conjugue la prudence : «Je me fixe comme deadline, la réunion du Comité directeur pour faire mon choix.» Un choix qui va redéfinir les contours de «l’orange» technique même si ces deux responsabilités ont des attraits différents.
L’encadrement technique est décrit comme un terrain ingrat. Sans avantage, ni motivation. En témoigne ces propos : «Le poste de Dtn n’est pas motivant. Tu as l’impression d’être un syndicaliste. Tu es entre le marteau et l’enclume.» Défenseur des intérêts des techniciens et exécutant des décisions fédérales ou ministérielles.
Quant au poste de Directeur technique, il est associé à la note ingrate. Beaucoup de boulot, sans compensation. Le métier n’est pas motivant pour un sou. Exceptées la notoriété et la science qui accompagne ce vocable. Les futurs candidats à la tête de la Direction technique doivent être rassembleurs et coordonnateurs des actions des coachs locaux. Critère non négligeable, avoir une forte adhésion autour de sa personne et de son programme. Tout le contraire du banc qui peut-être juteux si la baraka est avec l’équipe. Per diem et primes sont au rendez-vous des jours heureux. Le coach national est courtisé de toutes parts.
Mais en attendant, ce jour heureux, où sa charge va s’alléger, Magatte Diop, le Directeur technique exprime ses souhaits : «Nous voudrions bien que le championnat débute dans la deuxième quinzaine du mois de janvier.» Avis aux clubs pour parfaire leurs effectifs. Des équipes qui croisent le doigt pour un calendrier national non tronqué, ni escamoté à l’image de la saison 2007 quand le «Sénégal de la balle orange» était asphyxié par le respect du calendrier international. Pour l’heure, «Max» peaufine son plan quadriennal, la feuille de route orange pour les prochaines années. Vivement le 6 janvier 2008.
Le Directeur technique national et entraîneur national des filles, qui s’est essoufflé en 2007, se sépare d’une de ses casquettes. Laquelle ? «Je ne ferais pas de déclaration sans l’aval de la fédération. Il faut réfléchir sur comment réussir la continuité», bloque Magatte Diop. Va-t-il se débarrasser de l’encombrant Dtn ou de ses filles chéries : «J’attends le Comité directeur pour avaliser mon choix, à ce moment je pourrais évacuer une fonction.» Soit la Direction technique, soit le banc de l’Equipe nationale. Magatte Diop ne veut point flancher d’un côté. Pourtant, au lendemain de sa nomination en remplacement de Ado Sano, limogé, l’ancien coach du Duc criait à hue et à dia : «Si j’ai à choisir, je reste avec les Lionnes.» Mais, depuis octobre 2006, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts oranges. Désormais, il conjugue la prudence : «Je me fixe comme deadline, la réunion du Comité directeur pour faire mon choix.» Un choix qui va redéfinir les contours de «l’orange» technique même si ces deux responsabilités ont des attraits différents.
L’encadrement technique est décrit comme un terrain ingrat. Sans avantage, ni motivation. En témoigne ces propos : «Le poste de Dtn n’est pas motivant. Tu as l’impression d’être un syndicaliste. Tu es entre le marteau et l’enclume.» Défenseur des intérêts des techniciens et exécutant des décisions fédérales ou ministérielles.
Quant au poste de Directeur technique, il est associé à la note ingrate. Beaucoup de boulot, sans compensation. Le métier n’est pas motivant pour un sou. Exceptées la notoriété et la science qui accompagne ce vocable. Les futurs candidats à la tête de la Direction technique doivent être rassembleurs et coordonnateurs des actions des coachs locaux. Critère non négligeable, avoir une forte adhésion autour de sa personne et de son programme. Tout le contraire du banc qui peut-être juteux si la baraka est avec l’équipe. Per diem et primes sont au rendez-vous des jours heureux. Le coach national est courtisé de toutes parts.
Mais en attendant, ce jour heureux, où sa charge va s’alléger, Magatte Diop, le Directeur technique exprime ses souhaits : «Nous voudrions bien que le championnat débute dans la deuxième quinzaine du mois de janvier.» Avis aux clubs pour parfaire leurs effectifs. Des équipes qui croisent le doigt pour un calendrier national non tronqué, ni escamoté à l’image de la saison 2007 quand le «Sénégal de la balle orange» était asphyxié par le respect du calendrier international. Pour l’heure, «Max» peaufine son plan quadriennal, la feuille de route orange pour les prochaines années. Vivement le 6 janvier 2008.