Un énième écueil puisque dès le début du stage, des problèmes se sont amoncelés en commençant par le paiement des assurances.
La presse a glosé sur les difficultés du sélectionneur national Cheikh Sarr à disposer de tout son monde à cause du non-paiement des assurances nécessaires pour des basketteurs évoluant en NBA (la ligue de basket nord-américaine).
Arrivé un peu plus tôt au Sénégal, Gorgui Sy Dieng, qui a raté la Summer League, est resté longtemps terré dans son hôtel en attendant que le fameux sésame soit mis à sa disposition pour fouler le parquet de Marius Ndiaye.
Comme majeur de l’équipe nationale du Sénégal, Dieng a contribué largement au bon parcours des Lions à la dernière Coupe du monde.
Après, sa star qui évolue dans la plus grande ligue de basket au monde, il y a celle du capitaine Maleye Ndoye qui évolue en Pro A en France.
Heureusement, sur ce cas précis, le retard de paiement n’a pas occasionné son absence des entraînements.
On notera au passage que pour sa mise en place tactique, le staff technique national a pris du retard, parce que n’ayant pas pu disposer à temps de son équipe surtout de ses meilleurs joueurs.
On n’oublie pas que dans la feuille de route de l’entraîneur Cheikh Sarr, il était aussi prévu un tournoi à Paris (France) mais ce camp n’aura pas lieu.
Et en attendant la résolution de cette question des primes et quelques semaines après la fin de la normalisation, on se demande à quoi a servi cette pause qui devait remettre sur les rails le basket national.
La nouvelle Fédération de basket ne devrait-elle bénéficier d’un état de grâce, de la remise à zéro des compteurs pour réussir son entrée ?
Sans aller vite en besogne, on a comme l’impression d’un retour en zone pour une discipline qui, malgré son immense potentiel, peine à remonter sur le toit de l’Afrique depuis 17 ans.
A cause des mêmes écueils — assurances, primes — même si cette fois, il est notable de constater que la mise à disposition d’un hôtel fonctionnel, n’a pas posé de problèmes. Dans un passé récent, les sélections nationales risquaient souvent de se faire expulser des réceptifs hôteliers.
La presse a glosé sur les difficultés du sélectionneur national Cheikh Sarr à disposer de tout son monde à cause du non-paiement des assurances nécessaires pour des basketteurs évoluant en NBA (la ligue de basket nord-américaine).
Arrivé un peu plus tôt au Sénégal, Gorgui Sy Dieng, qui a raté la Summer League, est resté longtemps terré dans son hôtel en attendant que le fameux sésame soit mis à sa disposition pour fouler le parquet de Marius Ndiaye.
Comme majeur de l’équipe nationale du Sénégal, Dieng a contribué largement au bon parcours des Lions à la dernière Coupe du monde.
Après, sa star qui évolue dans la plus grande ligue de basket au monde, il y a celle du capitaine Maleye Ndoye qui évolue en Pro A en France.
Heureusement, sur ce cas précis, le retard de paiement n’a pas occasionné son absence des entraînements.
On notera au passage que pour sa mise en place tactique, le staff technique national a pris du retard, parce que n’ayant pas pu disposer à temps de son équipe surtout de ses meilleurs joueurs.
On n’oublie pas que dans la feuille de route de l’entraîneur Cheikh Sarr, il était aussi prévu un tournoi à Paris (France) mais ce camp n’aura pas lieu.
Et en attendant la résolution de cette question des primes et quelques semaines après la fin de la normalisation, on se demande à quoi a servi cette pause qui devait remettre sur les rails le basket national.
La nouvelle Fédération de basket ne devrait-elle bénéficier d’un état de grâce, de la remise à zéro des compteurs pour réussir son entrée ?
Sans aller vite en besogne, on a comme l’impression d’un retour en zone pour une discipline qui, malgré son immense potentiel, peine à remonter sur le toit de l’Afrique depuis 17 ans.
A cause des mêmes écueils — assurances, primes — même si cette fois, il est notable de constater que la mise à disposition d’un hôtel fonctionnel, n’a pas posé de problèmes. Dans un passé récent, les sélections nationales risquaient souvent de se faire expulser des réceptifs hôteliers.