L’ailier phénomène de 18 ans Zion Williamson a été choisi jeudi à New York par La Nouvelle-Orléans en première position de la Draft, la bourse annuelle qui permet aux franchises NBA de recruter les meilleurs jeunes joueurs, où le Français Doumbouya a été retenu en 15e position par Detroit.
Tout indiquait que Williamson, qui vient de passer une saison à Duke, dans le Championnat universitaire (NCAA), allait être choisi le premier, tant ses mensurations (129 kg pour 2 m), ses qualités athlétiques et ses statistiques (22,6 points et 8,9 rebonds par match) font rêver la NBA depuis des mois.
Paré d’un costume entièrement blanc, Williamson a revêtu une casquette de son nouveau club, avant d’aller serrer la main du patron de la NBA, Adam Silver, sur le podium du Barclays Center, à Brooklyn, conformément au protocole de la draft.
Lui qui affiche toujours une décontraction saisissante sachant l’attention dont il est l’objet, a fini par craquer, à sa descente du podium, laissant échapper des larmes sous le coup de l’émotion, aux côtés de sa mère. « Mes émotions ont pris le dessus », a ensuite expliqué le meilleur joueur du dernier Championnat NCAA, que le monde du basket compare souvent à LeBron James.
Les Pelicans, qui viennent d’accepter le transfert de leur star Anthony Davis aux Los Angeles Lakers, vont rebâtir leur équipe autour de celui qu’il faudra apprendre à utiliser, car son registre est hors norme.
« Oui, je me vois essayer de prendre le rôle de leader » des Pelicans, a déclaré Williamson quelques minutes après son entrée dans le monde des professionnels. Après avoir perdu ses deux superstars, Chris Paul en 2011 puis Anthony Davis cette année, La Nouvelle-Orléans va devoir faire la preuve qu’elle peut construire une équipe compétitive à même de durer.
Le premier choix de la Draft 2019 s’est dit enthousiaste à l’idée de jouer avec une brochette de jeunes joueurs, notamment Lonzo Ball et Brandon Ingram, qui arrivent des Lakers dans le cadre du transfert d’Anthony Davis. « Ils ont un âge proche du mien donc ils peuvent bien mieux m’aider à négocier la transition » du basket universitaire à la NBA, a expliqué Williamson. « Je pense que nous pouvons bâtir quelque chose là-bas ».
Si Williamson a été acclamé, l’ovation de la soirée est venue quelques minutes plus tard, lorsque les New York Knicks ont choisi l’ailier R.J. Barrett (2 m) en troisième position. Ancien coéquipier de Williamson à Duke, ce joueur canadien, fils de l’ancien pro Rowan Barrett, qui a joué plusieurs saisons en France, est très attendu dans la plus grande métropole des États-Unis, qui sort d’une série de saisons catastrophiques.
Tout indiquait que Williamson, qui vient de passer une saison à Duke, dans le Championnat universitaire (NCAA), allait être choisi le premier, tant ses mensurations (129 kg pour 2 m), ses qualités athlétiques et ses statistiques (22,6 points et 8,9 rebonds par match) font rêver la NBA depuis des mois.
Paré d’un costume entièrement blanc, Williamson a revêtu une casquette de son nouveau club, avant d’aller serrer la main du patron de la NBA, Adam Silver, sur le podium du Barclays Center, à Brooklyn, conformément au protocole de la draft.
Lui qui affiche toujours une décontraction saisissante sachant l’attention dont il est l’objet, a fini par craquer, à sa descente du podium, laissant échapper des larmes sous le coup de l’émotion, aux côtés de sa mère. « Mes émotions ont pris le dessus », a ensuite expliqué le meilleur joueur du dernier Championnat NCAA, que le monde du basket compare souvent à LeBron James.
Les Pelicans, qui viennent d’accepter le transfert de leur star Anthony Davis aux Los Angeles Lakers, vont rebâtir leur équipe autour de celui qu’il faudra apprendre à utiliser, car son registre est hors norme.
« Oui, je me vois essayer de prendre le rôle de leader » des Pelicans, a déclaré Williamson quelques minutes après son entrée dans le monde des professionnels. Après avoir perdu ses deux superstars, Chris Paul en 2011 puis Anthony Davis cette année, La Nouvelle-Orléans va devoir faire la preuve qu’elle peut construire une équipe compétitive à même de durer.
Le premier choix de la Draft 2019 s’est dit enthousiaste à l’idée de jouer avec une brochette de jeunes joueurs, notamment Lonzo Ball et Brandon Ingram, qui arrivent des Lakers dans le cadre du transfert d’Anthony Davis. « Ils ont un âge proche du mien donc ils peuvent bien mieux m’aider à négocier la transition » du basket universitaire à la NBA, a expliqué Williamson. « Je pense que nous pouvons bâtir quelque chose là-bas ».
Si Williamson a été acclamé, l’ovation de la soirée est venue quelques minutes plus tard, lorsque les New York Knicks ont choisi l’ailier R.J. Barrett (2 m) en troisième position. Ancien coéquipier de Williamson à Duke, ce joueur canadien, fils de l’ancien pro Rowan Barrett, qui a joué plusieurs saisons en France, est très attendu dans la plus grande métropole des États-Unis, qui sort d’une série de saisons catastrophiques.
Pas de contrat garanti, en revanche, pour Bol Bol : sélectionné en 44e position, alors qu’il était parfois annoncé dans le top 10, le fils de l’ancien joueur NBA Manute Bol n’offrait pas suffisamment de garanties sur la fiabilité de son physique, qui ne lui a permis de disputer que neuf matches cette saison avec Oregon.