Bamako
«Nous sommes allé à la tâche le vendredi, et nous avons été battus. Mais cette première sortie était une séance d’entraînement. Il fallait essayer de localiser l’équipe, voir les aspects techniques, comment il fallait aborder la deuxième rencontre, qui est la plus importante. Cela nous a valu de faire des séances très importantes et nous nous sommes rendus compte que l’Equipe du Mali était prenable au niveau du 4e quart temps. Ça nous a donné un éclairage sur beaucoup de choses. On a eu un joueur blessé, un intérieur, qui nous a fait défaut. Mais ça nous a permis aussi de mettre une stratégie en place. D’ailleurs, l’équipe était en stage par rapport à certaines hostilités, parce qu’on s’y attendait.»
Arbitrage maison
«Ça allait être très dur de décrocher les deux matchs. D’ailleurs, à un moment donné de la 2ème sortie, on est arrivé à un écart de 7 points, mais avec les réalités de l’arbitrage, qui ont été décevantes. S’il n’y avait pas cette partialité au niveau de l’arbitrage, par la grâce de Dieu, on pouvait s’en sortir. Mais malheureusement, on a subi encore les impaires de l’arbitrage. C’est la même chose que lorsque les U18 ont failli battre l’Egypte au Caire. C’est encore une leçon pour nous.»
Patriotisme des joueurs
«Chacun a une conception des choses. Le patriotisme, c’est l’engagement du fils de la Nation qui vient pour défendre les couleurs nationales de son pays. Il y a des gens qui, délibérément, sont engagés. A notre niveau, nous avons pris l’engagement de mobiliser les joueurs. Nous leur avons envoyé des convocations et même à leurs employeurs. Mais, c’est la clause de libération qui permettait à la Fédération de pouvoir utiliser ces joueurs même s’ils n’étaient pas d’accord. Sinon, ils n’allaient pas jouer, même au sein de leur club. Mais, il fallait pacifier cette situation, parce que cette situation pouvait se présenter encore au niveau des compétitions futures. Il faut donner à chacun sa chance en leur expliquant qu’on n’aurait pas souhaité les mettre en position de choix. Ils ont la latitude de prendre une décision qui leur convenait. Ce n’était pas très décent de les obliger à venir. Mais, il y a des situations qui font que nous sommes obligés de convoquer les joueurs et que c’est à eux de choisir de venir défendre les couleurs nationales. Ceux qui ont opté de rester avec leurs clubs, je n’ai aucun problème avec eux, sauf qu’il y a eu un manquement qui a été constaté. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas patriotes, il y a des raisons qui ont fait qu’ils n’ont pas pu venir.»
«Nous sommes allé à la tâche le vendredi, et nous avons été battus. Mais cette première sortie était une séance d’entraînement. Il fallait essayer de localiser l’équipe, voir les aspects techniques, comment il fallait aborder la deuxième rencontre, qui est la plus importante. Cela nous a valu de faire des séances très importantes et nous nous sommes rendus compte que l’Equipe du Mali était prenable au niveau du 4e quart temps. Ça nous a donné un éclairage sur beaucoup de choses. On a eu un joueur blessé, un intérieur, qui nous a fait défaut. Mais ça nous a permis aussi de mettre une stratégie en place. D’ailleurs, l’équipe était en stage par rapport à certaines hostilités, parce qu’on s’y attendait.»
Arbitrage maison
«Ça allait être très dur de décrocher les deux matchs. D’ailleurs, à un moment donné de la 2ème sortie, on est arrivé à un écart de 7 points, mais avec les réalités de l’arbitrage, qui ont été décevantes. S’il n’y avait pas cette partialité au niveau de l’arbitrage, par la grâce de Dieu, on pouvait s’en sortir. Mais malheureusement, on a subi encore les impaires de l’arbitrage. C’est la même chose que lorsque les U18 ont failli battre l’Egypte au Caire. C’est encore une leçon pour nous.»
Patriotisme des joueurs
«Chacun a une conception des choses. Le patriotisme, c’est l’engagement du fils de la Nation qui vient pour défendre les couleurs nationales de son pays. Il y a des gens qui, délibérément, sont engagés. A notre niveau, nous avons pris l’engagement de mobiliser les joueurs. Nous leur avons envoyé des convocations et même à leurs employeurs. Mais, c’est la clause de libération qui permettait à la Fédération de pouvoir utiliser ces joueurs même s’ils n’étaient pas d’accord. Sinon, ils n’allaient pas jouer, même au sein de leur club. Mais, il fallait pacifier cette situation, parce que cette situation pouvait se présenter encore au niveau des compétitions futures. Il faut donner à chacun sa chance en leur expliquant qu’on n’aurait pas souhaité les mettre en position de choix. Ils ont la latitude de prendre une décision qui leur convenait. Ce n’était pas très décent de les obliger à venir. Mais, il y a des situations qui font que nous sommes obligés de convoquer les joueurs et que c’est à eux de choisir de venir défendre les couleurs nationales. Ceux qui ont opté de rester avec leurs clubs, je n’ai aucun problème avec eux, sauf qu’il y a eu un manquement qui a été constaté. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas patriotes, il y a des raisons qui ont fait qu’ils n’ont pas pu venir.»