Quelle lecture faites-vous des quatre premières journées du championnat national ?
Au plan de la popularité, on sent vraiment que le public commence à revenir. Sur les quatre journées, en recettes globales, nous avons eu 2 millions 795 000 francs. Et cela, uniquement à Dakar. Au niveau des autres contrées, nous avons préféré leur laisser les recettes pour l’instant. Que ce soit Saint-Louis ou Louga, on leur laisse, pour l’instant, la latitude de récupérer les recettes en attendant de reprendre la deuxième phase.
Apparemment, la revalorisation des recettes pose problème cette saison ?
Vous savez, nonobstant la prise en charge du transport des équipes, nous avons d’autres commissions qui fonctionnent. Il y a la commission des Finances, la commission d’Organisation, la commission Sportive… Nous avons du monde qui bouge. Avec la mobilité de toutes ces personnes qui composent ces commissions, cela entraîne un déficit de plus 600 à 700 000 francs par semaine.
Qu’en est-il des sponsors ?
Pour l’instant, les sponsors n’ont pas encore réagi. On a eu Elton, Orange, Nike. Mais Nike ne démarre son contrat que pour l’année 2009. Cela va démarrer à la fin du mois de janvier.
Difficile dans ce cas de tirer un bilan d’entame satisfaisant ?
On n’est pas satisfait sur le plan financier dans la mesure où, on a un déficit cumulé. Si vous prenez en compte que le public commence à revenir au niveau du basket, cela au moins est une satisfaction par rapport à ce qui se faisait avant. Les recettes en quatre journées sont considérables. Si vous faites une petite opération par rapport à ces quatre journées, vous aurez pratiquement plus de 600 000 francs par journée. C’est déjà satisfaisant. Ce montant, on ne l’avait des fois que quand on était au niveau des quarts ou demi-finales de coupes. Pour un championnat, c’est un montant consistant.
Malheureusement, il y a eu encore des violences en ce début de saison. Précisément lors du match Us Louga-Hlm, où l’arbitre a été pris à partie.
C’est, en effet, une tache noire en ce début de saison. Non seulement, nous avions sensibilisé les présidents de club, mais en même temps on était passé par l’entremise des Ligues, pour envoyer des messages de pacification auprès des supporters. Malheureusement, les gens se focalisent tous sur la passion. Une passion qui est parfois exacerbée. En ce qui concerne les incidents de Louga : une équipe menée pratiquement de 18 à 19 points, à une minute et demie de la fin du match, cela n’en valait pas la peine de pousser l’adversaire à des violences. Surtout que l’équipe qui organise, prend en charge pratiquement toute la sécurité de ses compétitions. Quand il y a des incidents, c’est l’équipe locale qui est responsable.
Peut-on s’attendre à des sanctions ?
Ah c’est sûr ! La question ne se pose même pas. Nous allons sévir. En plus, nous avons affaire à des récidivistes. Il n’est même pas question de mettre une croix là-dessus. Nous avons pratiquement reçu tous les rapports. On attend simplement que la commission de Discipline puisse se prononcer. En principe, c’est la commission Juridique maintenant qui a pris le relais et qui va s’occuper de ce dossier. D’ici la fin de la semaine, on devrait être édifié sur la nature de la sanction.
Parlons des compétitions internationales. Où en êtes-vous avec l’organisation du Tournoi préliminaire de la Can de basket ?
Pour l’instant, nous attendons l’avis du Comité central de la Fiba-Afrique qui devrait se prononcer à ce sujet. Il y a des dates qui ont été proposées pour l’organisation de ce tournoi. Il y a la période de février-mars, qui a été proposée par le Mali. Et le Sénégal a proposé le mois de mai. Précisément du 23 au 30 mai 2009. Bien entendu, nous souhaitons que cela se passe chez nous pour avoir toutes les chances de notre côté. Maintenant, comme je vous l’ai dit tantôt, on attend la position de la Fiba Afrique. On devrait être fixé vers le 15 janvier prochain.
Auparavant, il sera question de vider le dossier du futur coach des Lions.
C’est en fait lié, bien entendu. Mais on attend d’abord d’être fixé sur la date de démarrage du tournoi préliminaire. En ce moment-là, on dira que tel entraîneur est retenu pour préparer et coacher les Lions.
Peut-on avoir des noms ?
(Rires). Pour l’instant, je ne peux pas en parler. Même si le choix a été fait. Je dirais juste que le choix portera sur un technicien étranger.
Au plan de la popularité, on sent vraiment que le public commence à revenir. Sur les quatre journées, en recettes globales, nous avons eu 2 millions 795 000 francs. Et cela, uniquement à Dakar. Au niveau des autres contrées, nous avons préféré leur laisser les recettes pour l’instant. Que ce soit Saint-Louis ou Louga, on leur laisse, pour l’instant, la latitude de récupérer les recettes en attendant de reprendre la deuxième phase.
Apparemment, la revalorisation des recettes pose problème cette saison ?
Vous savez, nonobstant la prise en charge du transport des équipes, nous avons d’autres commissions qui fonctionnent. Il y a la commission des Finances, la commission d’Organisation, la commission Sportive… Nous avons du monde qui bouge. Avec la mobilité de toutes ces personnes qui composent ces commissions, cela entraîne un déficit de plus 600 à 700 000 francs par semaine.
Qu’en est-il des sponsors ?
Pour l’instant, les sponsors n’ont pas encore réagi. On a eu Elton, Orange, Nike. Mais Nike ne démarre son contrat que pour l’année 2009. Cela va démarrer à la fin du mois de janvier.
Difficile dans ce cas de tirer un bilan d’entame satisfaisant ?
On n’est pas satisfait sur le plan financier dans la mesure où, on a un déficit cumulé. Si vous prenez en compte que le public commence à revenir au niveau du basket, cela au moins est une satisfaction par rapport à ce qui se faisait avant. Les recettes en quatre journées sont considérables. Si vous faites une petite opération par rapport à ces quatre journées, vous aurez pratiquement plus de 600 000 francs par journée. C’est déjà satisfaisant. Ce montant, on ne l’avait des fois que quand on était au niveau des quarts ou demi-finales de coupes. Pour un championnat, c’est un montant consistant.
Malheureusement, il y a eu encore des violences en ce début de saison. Précisément lors du match Us Louga-Hlm, où l’arbitre a été pris à partie.
C’est, en effet, une tache noire en ce début de saison. Non seulement, nous avions sensibilisé les présidents de club, mais en même temps on était passé par l’entremise des Ligues, pour envoyer des messages de pacification auprès des supporters. Malheureusement, les gens se focalisent tous sur la passion. Une passion qui est parfois exacerbée. En ce qui concerne les incidents de Louga : une équipe menée pratiquement de 18 à 19 points, à une minute et demie de la fin du match, cela n’en valait pas la peine de pousser l’adversaire à des violences. Surtout que l’équipe qui organise, prend en charge pratiquement toute la sécurité de ses compétitions. Quand il y a des incidents, c’est l’équipe locale qui est responsable.
Peut-on s’attendre à des sanctions ?
Ah c’est sûr ! La question ne se pose même pas. Nous allons sévir. En plus, nous avons affaire à des récidivistes. Il n’est même pas question de mettre une croix là-dessus. Nous avons pratiquement reçu tous les rapports. On attend simplement que la commission de Discipline puisse se prononcer. En principe, c’est la commission Juridique maintenant qui a pris le relais et qui va s’occuper de ce dossier. D’ici la fin de la semaine, on devrait être édifié sur la nature de la sanction.
Parlons des compétitions internationales. Où en êtes-vous avec l’organisation du Tournoi préliminaire de la Can de basket ?
Pour l’instant, nous attendons l’avis du Comité central de la Fiba-Afrique qui devrait se prononcer à ce sujet. Il y a des dates qui ont été proposées pour l’organisation de ce tournoi. Il y a la période de février-mars, qui a été proposée par le Mali. Et le Sénégal a proposé le mois de mai. Précisément du 23 au 30 mai 2009. Bien entendu, nous souhaitons que cela se passe chez nous pour avoir toutes les chances de notre côté. Maintenant, comme je vous l’ai dit tantôt, on attend la position de la Fiba Afrique. On devrait être fixé vers le 15 janvier prochain.
Auparavant, il sera question de vider le dossier du futur coach des Lions.
C’est en fait lié, bien entendu. Mais on attend d’abord d’être fixé sur la date de démarrage du tournoi préliminaire. En ce moment-là, on dira que tel entraîneur est retenu pour préparer et coacher les Lions.
Peut-on avoir des noms ?
(Rires). Pour l’instant, je ne peux pas en parler. Même si le choix a été fait. Je dirais juste que le choix portera sur un technicien étranger.