En effet, M. Sène nous fait le même coup de «dunk» antipatriotique depuis quelques années. En 2008, il a tourné la première fois le dos à l’équipe lors du tournoi qualificatif de la Zone 2 au Mali, préférant s’entraîner seul à Marius Ndiaye. Il venait après les séances des «lions». Lors de ces joutes, le Sénégal a été éliminé sur le terrain par le Mali, avant de bénéficier d'une «wild card». Ce qui lui avait permis de prendre part au championnat d’Afrique de 2009 en Libye.
Malgré ce refus de rejoindre l’équipe, Saër Sène a été encore appelé par Abdourahmane Ndiaye « Adidas ». Ce dernier l’a finalement zappé car le joueur a diplomatiquement refusé d’intégrer la Tanière, prétextant qu’il allait signer un nouveau contrat.
Mais, c’était plutôt lié au paiement de l’assurance. «Adidas » s’est appuyé sur Boniface Ndong et Ngagne Desagana Diop qui ont payé leurs assurances pour l’amour de la patrie. «Boniface avait payé son assurance à hauteur de 7000 euros (Ndlr : 4 550 000) pour prendre part à la campagne libyenne », renseigne une source. Une belle preuve de patriotisme pour celui qui a toujours refusé le maillot national.
Après 2009, Saër Sène a remis ça lors de l’Afrobasket 2011 en évoquant toujours la même chose. Et il compte respecter l’adage : «jamais deux sans trois».
Présélectionné pour l’Afrobasket 2013, l’actuel joueur d’Antibes (Pro A / France) n’a pas encore répondu à l’appel de Cheikh Sarr. Il s’entraîne à Marius Ndiaye avec une bande d’amis en faisant croire qu’il n’a pas encore signé son nouveau contrat avec le club français. Ce qui serait faux. «Saër a déjà signé. Il ne veut pas jouer pour des raisons mystiques d’après son entourage. Mais, son agent évoque l’assurance que les autorités du basket», confie notre interlocuteur.
Lundi, le coach des « lions », Cheikh Sarr disait qu’il n’avait pas des nouvelles de M. Sène et qu’il comptait poursuivre son travail avec les joueurs disponibles.
En réalité, le problème de Saër Sène est plutôt d’ordre patriotique que sportif. Porter le maillot national est certes un choix personnel, mais il le doit bien à son pays qui lui a tout donné.
Si l’on sait qu’il a été formé à l’Académie Seeds qui est logé au Cneps de Thiès, une propriété de l'Etat. Pourquoi alors ces caprices ? . Alors que sa venue pourrait renforcer le jeu intérieur du Sénégal après la retraite de Boniface Ndong et le forfait de Ngagne Desagana Diop.
Malgré ce refus de rejoindre l’équipe, Saër Sène a été encore appelé par Abdourahmane Ndiaye « Adidas ». Ce dernier l’a finalement zappé car le joueur a diplomatiquement refusé d’intégrer la Tanière, prétextant qu’il allait signer un nouveau contrat.
Mais, c’était plutôt lié au paiement de l’assurance. «Adidas » s’est appuyé sur Boniface Ndong et Ngagne Desagana Diop qui ont payé leurs assurances pour l’amour de la patrie. «Boniface avait payé son assurance à hauteur de 7000 euros (Ndlr : 4 550 000) pour prendre part à la campagne libyenne », renseigne une source. Une belle preuve de patriotisme pour celui qui a toujours refusé le maillot national.
Après 2009, Saër Sène a remis ça lors de l’Afrobasket 2011 en évoquant toujours la même chose. Et il compte respecter l’adage : «jamais deux sans trois».
Présélectionné pour l’Afrobasket 2013, l’actuel joueur d’Antibes (Pro A / France) n’a pas encore répondu à l’appel de Cheikh Sarr. Il s’entraîne à Marius Ndiaye avec une bande d’amis en faisant croire qu’il n’a pas encore signé son nouveau contrat avec le club français. Ce qui serait faux. «Saër a déjà signé. Il ne veut pas jouer pour des raisons mystiques d’après son entourage. Mais, son agent évoque l’assurance que les autorités du basket», confie notre interlocuteur.
Lundi, le coach des « lions », Cheikh Sarr disait qu’il n’avait pas des nouvelles de M. Sène et qu’il comptait poursuivre son travail avec les joueurs disponibles.
En réalité, le problème de Saër Sène est plutôt d’ordre patriotique que sportif. Porter le maillot national est certes un choix personnel, mais il le doit bien à son pays qui lui a tout donné.
Si l’on sait qu’il a été formé à l’Académie Seeds qui est logé au Cneps de Thiès, une propriété de l'Etat. Pourquoi alors ces caprices ? . Alors que sa venue pourrait renforcer le jeu intérieur du Sénégal après la retraite de Boniface Ndong et le forfait de Ngagne Desagana Diop.
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