Présentation fficielle de la Mascotte BAD "Badtz-Maru"
Les Etats-Unis profil bas
A l’orée de l’ouverture du 15e Championnat du Monde au Japon, une question brûle les lèvres de tous les fans de basket du monde entier : les Etats-Unis parviendront-ils à reprendre leur règne sur le basket international ? Il y a quatre ans, les Américains étaient en effet tombés de haut en ne terminant que 6es du Mondial organisé chez eux, à Indianapolis. Deux ans plus tard, nouveau camouflet avec une troisième place lors des JO d’Athènes. Au pays du culte de la victoire, la bannière étoilée commençait sérieuse à s’étioler. Du coup, les Américains, revenus à plus de modestie après ces deux échecs, ne rêvent désormais que d’une chose : reconquérir le monde. «C’est très excitant d’avoir la chance de représenter son pays. J’ai l’opportunité de me rattraper, tout comme Carmelo et Dwyane, qui étaient là aussi en 2004», indique LeBron James sur le site officiel de la compétition. Avec un entraîneur issu du sérail universitaire, Mike Krzyzewski, qui a fait beaucoup de tableau noir et de séances vidéo avec ses hommes pour s’adapter aux règles FIBA et préparer au mieux ce rendez-vous planétaire, les Américains sont les favoris incontestés de la compétition. «Les Etats-Unis sont les plus forts individuellement», indiquait récemment Claude Bergeaud. «Mais on verra sur le plan collectif…»
Des favoris nombreux
Car le temps où les Américains passaient sans forcer trente points à tous leurs adversaires est révolu. L’ouverture massive de la NBA aux joueurs étrangers a considérablement nivelé les valeurs et à l’heure des pronostics, d’autres nations peuvent prétendre à l’étiquette de favoris. Vice-championne du monde et championne olympique en titre, l’Argentine est assurément le plus sérieux poil à gratter des Américains. Emmenés par leur star, Manu Ginobili, coéquipier de Tony Parker aux Spurs, et grâce à leur immense vécu collectif, les Sud-Américains seront très difficiles à jouer. Les Européens auront également leur mot à dire avec notamment l’Espagne de Pau Gasol. L’intérieur vedette des Memphis Grizzlies sera le fer de lance d’une sélection ibérique séduisante composée notamment de Juan Carlos Navarro, Jose Calderon ou Jorge Garbajosa. La Serbie, championne du monde en titre mais éliminée de son Euro par la France en 8es de finale l’an dernier, devrait également se mêler à la lutte. La sélection des Balkans a considérablement remanié son effectif, faisant la part belle au jeune (Igor Rakocevic sera le seul rescapé du sacre de 2002), mais l’ex-Yougoslavie a une telle culture du basket qu’il serait étonnant de voir les hommes de Dragan Sakota échouer avant les quarts de finale. Enfin, la Grèce est peut-être le favori le moins impressionnant sur le papier. Sans joueur NBA, la sélection héllène possède pourtant le collectif le plus solide et le mieux huilé ainsi qu’une défense des plus hermétiques. Papaloukas, Diamantidis & Co jouent un basket à l’européenne des plus classiques et des plus efficaces. Ce qui devrait leur permettre de voyager loin dans le tournoi. «Ils dominent leur sujet comme il n’est pas permis !», analysait Claude Bergeaud, bien placé pour parler des Grecs pour les avoir joué trois fois en onze mois (une victoire et deux défaites).
Au-delà du terrain, c’est tout le Japon qui s’apprête à vibrer pendant quinze jours au rythme des stars de la balle orange. Dans un pays abreuvé d’images de la NBA, les fans se sont littéralement arraché les billets. Les places pour les rencontres du premier tour à Hiroshima et Sapporo ont toute été vendues et il ne reste que quelques sièges vides pour les matches disputés à Hamamatsu et Sendaï. Quant à la Super Arena de Saitama (22 000 places), théâtre des phases finales de la compétition, elle devrait afficher guichets complets puisque quelques places seulement sont encore en vente. Bref, ce 15e Championnat du Monde, le premier ouvert à 24 équipes (contre 16 auparavant), promet d’être un formidable succès populaire. Aux joueurs désormais d’en faire également une réussite sportive.
La composition des groupes
Groupe A, à Sendaï
Argentine, France, Liban, Nigéria, Serbie, Vénézuela
Groupe B, à Hisroshima
Angola, Espagne, Allemagne, Japon, Nouvelle-Zélande, Panama
Groupe C, à Hamamatsu
Australie, Brésil, Grèce, Lituanie, Qatar, Turquie
Groupe D, à Sapporo
Chine, Italie, Porto Rico, Sénégal, Slovénie, Etats-Unis
La formule de la compétition
Au premier tour, chaque équipe affronte une fois chacun de ses adversaires. Les quatre premiers de chaque groupe accèdent aux 8es de finale où le premier du groupe A affronte le 4e du groupe B, le 2e affronte le 3e… Chaque rencontre est alors éliminatoire.
A l’orée de l’ouverture du 15e Championnat du Monde au Japon, une question brûle les lèvres de tous les fans de basket du monde entier : les Etats-Unis parviendront-ils à reprendre leur règne sur le basket international ? Il y a quatre ans, les Américains étaient en effet tombés de haut en ne terminant que 6es du Mondial organisé chez eux, à Indianapolis. Deux ans plus tard, nouveau camouflet avec une troisième place lors des JO d’Athènes. Au pays du culte de la victoire, la bannière étoilée commençait sérieuse à s’étioler. Du coup, les Américains, revenus à plus de modestie après ces deux échecs, ne rêvent désormais que d’une chose : reconquérir le monde. «C’est très excitant d’avoir la chance de représenter son pays. J’ai l’opportunité de me rattraper, tout comme Carmelo et Dwyane, qui étaient là aussi en 2004», indique LeBron James sur le site officiel de la compétition. Avec un entraîneur issu du sérail universitaire, Mike Krzyzewski, qui a fait beaucoup de tableau noir et de séances vidéo avec ses hommes pour s’adapter aux règles FIBA et préparer au mieux ce rendez-vous planétaire, les Américains sont les favoris incontestés de la compétition. «Les Etats-Unis sont les plus forts individuellement», indiquait récemment Claude Bergeaud. «Mais on verra sur le plan collectif…»
Des favoris nombreux
Car le temps où les Américains passaient sans forcer trente points à tous leurs adversaires est révolu. L’ouverture massive de la NBA aux joueurs étrangers a considérablement nivelé les valeurs et à l’heure des pronostics, d’autres nations peuvent prétendre à l’étiquette de favoris. Vice-championne du monde et championne olympique en titre, l’Argentine est assurément le plus sérieux poil à gratter des Américains. Emmenés par leur star, Manu Ginobili, coéquipier de Tony Parker aux Spurs, et grâce à leur immense vécu collectif, les Sud-Américains seront très difficiles à jouer. Les Européens auront également leur mot à dire avec notamment l’Espagne de Pau Gasol. L’intérieur vedette des Memphis Grizzlies sera le fer de lance d’une sélection ibérique séduisante composée notamment de Juan Carlos Navarro, Jose Calderon ou Jorge Garbajosa. La Serbie, championne du monde en titre mais éliminée de son Euro par la France en 8es de finale l’an dernier, devrait également se mêler à la lutte. La sélection des Balkans a considérablement remanié son effectif, faisant la part belle au jeune (Igor Rakocevic sera le seul rescapé du sacre de 2002), mais l’ex-Yougoslavie a une telle culture du basket qu’il serait étonnant de voir les hommes de Dragan Sakota échouer avant les quarts de finale. Enfin, la Grèce est peut-être le favori le moins impressionnant sur le papier. Sans joueur NBA, la sélection héllène possède pourtant le collectif le plus solide et le mieux huilé ainsi qu’une défense des plus hermétiques. Papaloukas, Diamantidis & Co jouent un basket à l’européenne des plus classiques et des plus efficaces. Ce qui devrait leur permettre de voyager loin dans le tournoi. «Ils dominent leur sujet comme il n’est pas permis !», analysait Claude Bergeaud, bien placé pour parler des Grecs pour les avoir joué trois fois en onze mois (une victoire et deux défaites).
Au-delà du terrain, c’est tout le Japon qui s’apprête à vibrer pendant quinze jours au rythme des stars de la balle orange. Dans un pays abreuvé d’images de la NBA, les fans se sont littéralement arraché les billets. Les places pour les rencontres du premier tour à Hiroshima et Sapporo ont toute été vendues et il ne reste que quelques sièges vides pour les matches disputés à Hamamatsu et Sendaï. Quant à la Super Arena de Saitama (22 000 places), théâtre des phases finales de la compétition, elle devrait afficher guichets complets puisque quelques places seulement sont encore en vente. Bref, ce 15e Championnat du Monde, le premier ouvert à 24 équipes (contre 16 auparavant), promet d’être un formidable succès populaire. Aux joueurs désormais d’en faire également une réussite sportive.
La composition des groupes
Groupe A, à Sendaï
Argentine, France, Liban, Nigéria, Serbie, Vénézuela
Groupe B, à Hisroshima
Angola, Espagne, Allemagne, Japon, Nouvelle-Zélande, Panama
Groupe C, à Hamamatsu
Australie, Brésil, Grèce, Lituanie, Qatar, Turquie
Groupe D, à Sapporo
Chine, Italie, Porto Rico, Sénégal, Slovénie, Etats-Unis
La formule de la compétition
Au premier tour, chaque équipe affronte une fois chacun de ses adversaires. Les quatre premiers de chaque groupe accèdent aux 8es de finale où le premier du groupe A affronte le 4e du groupe B, le 2e affronte le 3e… Chaque rencontre est alors éliminatoire.
Nba Finals Game 3 : Et Cleveland passe devant !!!!
