La bande à Parker, sacrée deux ans plus tard chez les jeunes, rêve d'un destin similaire. Champion du monde en 2006, d'Europe en 2009 et vice-champion olympique en 2008: un tel parcours, la France connaît, mais en handball.
Son basket en revanche est allé de déception en déception depuis l'argent de Sydney en 2000. Une décennie de frustration, éclairée seulement par une médaille de bronze à l'Euro-2005, après avoir battu l'Espagne de trente points.
Au terme d'un tournoi magnifique, où elle battu tout ce qui compte dans le basket européen, la France rêve aujourd'hui de boucler la boucle. Ce sera difficile. Pour la première fois dans cet Euro, elle aura clairement un statut d'outsider face à une équipe qui a joué quatre des cinq dernières grandes finales et qui allie expérience et talent.
"C'est, souligne le sélectionneur français Vincent Collet, la finale la plus dure qui soit contre le meilleur adversaire possible. Il faudra faire le match parfait. Mais c'est aussi un match qui fait rêver. J'espère qu'on va se transcender".
La France y était arrivée l'an dernier au Mondial où elle avait surpris l'Espagne, sans Parker ni Noah en ouverture. "Mais il n'y avait pas Pau Gasol, sans qui ce n'est pas la même équipe", dit Collet qui, depuis, a encaissé deux lourdes défaites face à la "Roja", au début de la préparation cet été à Almeria (77-53) et au deuxième tour de l'Euro à Vilnius (96-69).
Cette dernière rencontre, les Français, déjà qualifiés, l'avaient jouée sans Parker ni Noah, déclenchant une belle polémique dans la presse espagnole qui les accusait d'avoir volontairement perdu le match.
"On peut regretter aussi que l'Espagne ait perdu au premier tour contre la Turquie dans des circonstances troubles, sans Pau Gasol", a répondu Collet au tac au tac samedi à un reporter espagnol qui l'a relancé sur le sujet.
Pour Collet, "l'important n'était pas de battre l'Espagne dimanche dernier mais de les retrouver ce dimanche". "On en veut encore", martèle Tony Parker, le meneur de jeu des "Bleus", plus que jamais convaincu que c'est l'année de la France. "Depuis que je suis arrivé il y a toujours eu un champion d'Europe différent", dit-il. Depuis 1997 et la grande Yougoslavie, aucune équipe n'a réussi à conserver le titre européen.
La France, éliminée par le futur champion lors des quatre derniers Championnats d'Europe, a déjà collectionné les revanches en Lituanie.
Elle a battu en poules la Lituanie, champion en 2003, en quarts la Grèce, sacrée en 2005, et endemie la Russie sacrée en 2007.
Son basket en revanche est allé de déception en déception depuis l'argent de Sydney en 2000. Une décennie de frustration, éclairée seulement par une médaille de bronze à l'Euro-2005, après avoir battu l'Espagne de trente points.
Au terme d'un tournoi magnifique, où elle battu tout ce qui compte dans le basket européen, la France rêve aujourd'hui de boucler la boucle. Ce sera difficile. Pour la première fois dans cet Euro, elle aura clairement un statut d'outsider face à une équipe qui a joué quatre des cinq dernières grandes finales et qui allie expérience et talent.
"C'est, souligne le sélectionneur français Vincent Collet, la finale la plus dure qui soit contre le meilleur adversaire possible. Il faudra faire le match parfait. Mais c'est aussi un match qui fait rêver. J'espère qu'on va se transcender".
La France y était arrivée l'an dernier au Mondial où elle avait surpris l'Espagne, sans Parker ni Noah en ouverture. "Mais il n'y avait pas Pau Gasol, sans qui ce n'est pas la même équipe", dit Collet qui, depuis, a encaissé deux lourdes défaites face à la "Roja", au début de la préparation cet été à Almeria (77-53) et au deuxième tour de l'Euro à Vilnius (96-69).
Cette dernière rencontre, les Français, déjà qualifiés, l'avaient jouée sans Parker ni Noah, déclenchant une belle polémique dans la presse espagnole qui les accusait d'avoir volontairement perdu le match.
"On peut regretter aussi que l'Espagne ait perdu au premier tour contre la Turquie dans des circonstances troubles, sans Pau Gasol", a répondu Collet au tac au tac samedi à un reporter espagnol qui l'a relancé sur le sujet.
Pour Collet, "l'important n'était pas de battre l'Espagne dimanche dernier mais de les retrouver ce dimanche". "On en veut encore", martèle Tony Parker, le meneur de jeu des "Bleus", plus que jamais convaincu que c'est l'année de la France. "Depuis que je suis arrivé il y a toujours eu un champion d'Europe différent", dit-il. Depuis 1997 et la grande Yougoslavie, aucune équipe n'a réussi à conserver le titre européen.
La France, éliminée par le futur champion lors des quatre derniers Championnats d'Europe, a déjà collectionné les revanches en Lituanie.
Elle a battu en poules la Lituanie, champion en 2003, en quarts la Grèce, sacrée en 2005, et endemie la Russie sacrée en 2007.