Jeanne SENGHOR
« Barrée » par son statut d'étrangère en Pro A à Tarbes, Jeanne Senghor, qui se languissait en espoir, avait accepté la saison passée les propositions templaises, convaincue qu'elle était que cette opportunité lui apportait toutes les garanties pour progresser. Cela passait, bien sûr, par un inlassable travail personnel, car elle savait qu'avec Loetitia Moussard, Véronique Baqué, voire Jane Dulis, la concurrence était dure sous les panneaux et qu'il lui fallait faire confiance au temps pour affirmer sa personnalité.
« Doublure de Loetitia Moussard, confirme Jeanne, je me doutais bien que mon temps de jeu allait en souffrir. J'étais donc là pour apprendre auprès de joueuses d'expérience, en m'évertuant à mettre en application tous les conseils de Valérie Garnier. J'ai effectué une année moyenne, constate l'internationale sénégalaise, mais dans le type de situation de rentrée en cours de match ça n'est pas évident de s'installer d'emblée dans le rythme d'une rencontre ! » Modeste Jeanne, qui oublie quelquefois le rôle prépondérant qu'elle a joué sur l'aire de jeu, notamment quand le défi physique grandissait.
De nouvelles responsabilités. Mais il est vrai que cette nouvelle saison, on va lui en demander plus et plus longtemps, mais ça veut dire aussi que quelque part elle est devenue un élément fort de l'équipe et ça génère chez Jane une motivation supplémentaire !
Aussi, sollicitée par plusieurs clubs à la fin de la saison dernière, Jeanne, qui s'éclatait dans cette ambiance de groupe, n'avait aucune envie de se soustraire à cet environnement de choix, au moment où celui-ci plaçait sa confiance en elle, en lui confiant ce à quoi elle aspirait.
« Je suis placée dans les dispositions idéales, indique Jane, pour poursuivre ma marche de progression. J'ai donc estimé qu'une année de plus, avec de nouvelles responsabilités, sous la coupe de deux entraîneurs compétents que sont Valérie Garnier et Yvon Bondodet, ne peut que servir ma carrière de basketteuse. »
« Le départ de Loetitia Moussard va laisser un grand vide sous les panneaux et sa succession ne sera pas aisée, poursuit Jane, mais je suis prête à me sublimer pour pallier à cette absence. Ma présélection en équipe nationale sénégalaise m'a soumise très tôt cet été à un régime d'entraînement particulier. J'ai donc pris de l'avance et j'éprouve déjà de bonnes sensations ! Quoi qu'il en soit, je sais que je dois franchir un cap et j'ai hâte de traduire sur le terrain tout ce qui se passe déjà dans ma tête ! »
« Doublure de Loetitia Moussard, confirme Jeanne, je me doutais bien que mon temps de jeu allait en souffrir. J'étais donc là pour apprendre auprès de joueuses d'expérience, en m'évertuant à mettre en application tous les conseils de Valérie Garnier. J'ai effectué une année moyenne, constate l'internationale sénégalaise, mais dans le type de situation de rentrée en cours de match ça n'est pas évident de s'installer d'emblée dans le rythme d'une rencontre ! » Modeste Jeanne, qui oublie quelquefois le rôle prépondérant qu'elle a joué sur l'aire de jeu, notamment quand le défi physique grandissait.
De nouvelles responsabilités. Mais il est vrai que cette nouvelle saison, on va lui en demander plus et plus longtemps, mais ça veut dire aussi que quelque part elle est devenue un élément fort de l'équipe et ça génère chez Jane une motivation supplémentaire !
Aussi, sollicitée par plusieurs clubs à la fin de la saison dernière, Jeanne, qui s'éclatait dans cette ambiance de groupe, n'avait aucune envie de se soustraire à cet environnement de choix, au moment où celui-ci plaçait sa confiance en elle, en lui confiant ce à quoi elle aspirait.
« Je suis placée dans les dispositions idéales, indique Jane, pour poursuivre ma marche de progression. J'ai donc estimé qu'une année de plus, avec de nouvelles responsabilités, sous la coupe de deux entraîneurs compétents que sont Valérie Garnier et Yvon Bondodet, ne peut que servir ma carrière de basketteuse. »
« Le départ de Loetitia Moussard va laisser un grand vide sous les panneaux et sa succession ne sera pas aisée, poursuit Jane, mais je suis prête à me sublimer pour pallier à cette absence. Ma présélection en équipe nationale sénégalaise m'a soumise très tôt cet été à un régime d'entraînement particulier. J'ai donc pris de l'avance et j'éprouve déjà de bonnes sensations ! Quoi qu'il en soit, je sais que je dois franchir un cap et j'ai hâte de traduire sur le terrain tout ce qui se passe déjà dans ma tête ! »