Nous ne sommes plus au temps où, comme jadis dans les infrastructures, le Basket Sénégalais est en avance sur les autres pays de la Sous-région du fait du legs des colons. Le nivellement est passé par là et nous l’avons appris douloureusement ces dernières années.
Nous avons dépassé le temps de la gestion approximative et clanique qui a montré ses limites et ses effets néfastes dans la pérennisation des acquis. Le processus qui a abouti à la normalisation en reste la preuve.
Nous sommes dans une nouvelle phase, celle de l’apprentissage, de la reconstruction par la normalisation. Elle passe inévitablement par les leçons qui seront tirées des bonnes pratiques mais surtout des échecs et des revers qui seront essuyés.
Pour une fois, même si c’est avec des contraintes majeures, un programme objectif et réaliste a été élaboré partagé et mis en œuvre, de la préparation à nos jours (Voyages, Matchs de préparation, Assurances, Communications...). Le plus important sera de tirer les leçons des impairs et maladresses notés durant cette phase.
Ainsi, pour une première, avons-nous réalisé des performances inattendues et reconnues par l’ensemble du monde du Basket-Ball. Dans le processus vers l’atteinte de ces résultats, quelles ont été les bonnes pratiques ? Quelles sont les leçons à prendre ? Quels sont les axes d’amélioration ?
Il est indéniable que des améliorations sont souhaitables et même nécessaires. Mais, ce qui est constant et visible, c’est qu’une équipe est née. Ce qui est incontestable, c’est la qualité individuelle et collective des hommes (visibles et invisibles) du team Sénégal. Ce qui est essentiel, sur ce plan, sera pour chacun et tous, dans une démarche d’introspection conjuguée à une séance de ndëpp, de tirer les leçons des interactions entre la Politique, l’Administratif, le Technique, le Sportif et le Peuple du Basket. Ce qui est déterminant pour la suite c’est de prendre les enseignements qui se sont dégagés des interrelations entre Politiques, Administratif, Technique et Sportif.
Ce qui est capital pour la suite, c’est de considérer cette phase comme une période d’apprentissage pour tous, y compris Cheikh SARR et Djibril THIAM. S’emporter ou s’empresser, c’est retourner le Son dans ce beau produit fini que nous venons d’avoir, c’est surtout ne pas tirer les leçons d’Espagne 2014. Se déchirer, c’est dresser un mur entre nous et notre vision d’un Team Sénégal leader du basket-ball africain.
NGOR DIONE BADU
Nous avons dépassé le temps de la gestion approximative et clanique qui a montré ses limites et ses effets néfastes dans la pérennisation des acquis. Le processus qui a abouti à la normalisation en reste la preuve.
Nous sommes dans une nouvelle phase, celle de l’apprentissage, de la reconstruction par la normalisation. Elle passe inévitablement par les leçons qui seront tirées des bonnes pratiques mais surtout des échecs et des revers qui seront essuyés.
Pour une fois, même si c’est avec des contraintes majeures, un programme objectif et réaliste a été élaboré partagé et mis en œuvre, de la préparation à nos jours (Voyages, Matchs de préparation, Assurances, Communications...). Le plus important sera de tirer les leçons des impairs et maladresses notés durant cette phase.
Ainsi, pour une première, avons-nous réalisé des performances inattendues et reconnues par l’ensemble du monde du Basket-Ball. Dans le processus vers l’atteinte de ces résultats, quelles ont été les bonnes pratiques ? Quelles sont les leçons à prendre ? Quels sont les axes d’amélioration ?
Il est indéniable que des améliorations sont souhaitables et même nécessaires. Mais, ce qui est constant et visible, c’est qu’une équipe est née. Ce qui est incontestable, c’est la qualité individuelle et collective des hommes (visibles et invisibles) du team Sénégal. Ce qui est essentiel, sur ce plan, sera pour chacun et tous, dans une démarche d’introspection conjuguée à une séance de ndëpp, de tirer les leçons des interactions entre la Politique, l’Administratif, le Technique, le Sportif et le Peuple du Basket. Ce qui est déterminant pour la suite c’est de prendre les enseignements qui se sont dégagés des interrelations entre Politiques, Administratif, Technique et Sportif.
Ce qui est capital pour la suite, c’est de considérer cette phase comme une période d’apprentissage pour tous, y compris Cheikh SARR et Djibril THIAM. S’emporter ou s’empresser, c’est retourner le Son dans ce beau produit fini que nous venons d’avoir, c’est surtout ne pas tirer les leçons d’Espagne 2014. Se déchirer, c’est dresser un mur entre nous et notre vision d’un Team Sénégal leader du basket-ball africain.
NGOR DIONE BADU