A 17 secondes de la fin de la partie, alors que le DUC menait de huit points, le banc estudiantin a demandé un temps-mort. Cela n’a pas été du goût de l’entraîneur de la petite côte. A en croire Bengaly Kaba « à ce stade de la rencontre, aucun réglage ne pouvait changer la donne et que son collègue Parfait Adjuvon aurait demandé ce temps-mort uniquement pour l’humilier ». Il a attendu la fin de la rencontre pour reprocher à celui qu’il appelle son « jeune frère » d’avoir voulu lui manquer de respect. Tout de suite, les nerfs se sont tendus, l’atmosphère était devenue électrique dans l’air et les deux coaches se sont renvoyés des injures devant le regard impuissant et triste de leurs jeunes joueurs. Même le calme, le très respectueux DTN Maguatte Diop en a pris pour son compte en voulant intervenir pour calmer les ardeurs, car il a reçu un « dégage »très froid de la part de Bengaly Kaba à qui il a voulu s’adresser car jugeant qu’il est le plus âgé. Parfait Adjuvon de son côté, retenu par ses assistants était dans tous ses états. « Tout le monde sait que j’ai toujours respecté mon adversaire. Si j’ai pris un temps-mort à ce stade du match, c’était pour calmer mon joueur (NDLR : Ibrahima Niang) qui commençais à s’énerver. Je ne pouvais pas le laisser avoir une attitude dans le terrain qui risque de porter préjudice à l’équipe, car nous avons d’autres matches à disputer » a soutenu Sir Adjuvon.
Heureusement qu’avec de vrais sportifs, l’adrénaline peut monter très vite, mais juste après on se calme et cela a été le cas. Bengaly Kaba, reconnaissant qu’il est allé un peu trop loin dans ses propos, a accepté son tort et a tenu à s’excuser auprès de son « jeune frère » ce, avant même de quitter le parquet. Tout est bien qui finit bien !
Heureusement qu’avec de vrais sportifs, l’adrénaline peut monter très vite, mais juste après on se calme et cela a été le cas. Bengaly Kaba, reconnaissant qu’il est allé un peu trop loin dans ses propos, a accepté son tort et a tenu à s’excuser auprès de son « jeune frère » ce, avant même de quitter le parquet. Tout est bien qui finit bien !