De votre Passage à la tété de la fédération nous ne pourrons retenir que les faits majeurs et historiques suivant :
- C’est sous votre magistère que pour la première fois le Sénégal a atteint le plus mauvais classement dans l’histoire de son basket masculin, et comble de ridicule quand n vous a demandé de partir, vous avez osez rétorquer : pourquoi partir ? Nous avons attendu d’ailleurs que vous assumiez avec courage votre rôle dans le limogeage de Adidas Ndiaye, mais vous avez préféré le silence pour laisser porter le chapeau à Daouda Faye, même si ce dernier comme on le sait est co-acteur de cette hérésie ;
- Avec vous nous avons récolté une place dernier à la coupe du monde messieurs ;
- Avec vous nous avons récolté une place d’avant-dernier à la coupe du monde dames ;
- Certes vous n’avez pas voulu partir après Luanda car vous n’aviez pas en son temps parachevé votre boulimie destructrice, en voulant être buur et bumi, être président de la fédération et président du comité d’organisation du CAN féminin ;
- Vous devez retenir que c’est avec vous que le basketball féminin a eu son pire résultat à domicile.
Comme vous, nous avons constatez les carences du coach et notre point de vue est corroboré par les analystes les plus indiqués en la matière. Quand on écoute Fatou Kiné Pape Moussa Touré, Mathieu Faye, quand on constate les parades trouvées contre le Sénégal par l'entraineur du Mali et en très peu de temps, il est évident que l'on ne peut que stigmatiser le conformisme de Maguette Diop. Je ne suis pas technicien du basket, mais depuis Claude Contanino, Narou ou Niada, depuis Marie Emilie Lopez ou Ndèye Salla Kane, je suis cette discipline. Nous avons vu à l’œuvre Alioune Diop, Bona, Mbaye Gueye, Adidas dont les pratiques sont à tout point de vue en avant-garde de ce qui se fait.
Je crois que Monsieur Magatte Diop a tant soit peu de professionnalisme et qu'il a dû tenir un recueil de statistiques (sinon se référer à la cassette de la RTS ou à Fatou Kiné). En revisitant cette base de données comment accepter et expliquer :
- le nombre effarant de ballons perdus sous les paniers, pas seulement pendant la finale mais dans les autres rencontres aussi ;
- le nombre de shoots placés manqués. On dirait que ce rudiment du basket de haut niveau n'entre pas dans les fondements de Monsieur Diop, aussi bien Fatou Kiné que Pape Moussa Tourré ont décelé cette faille monumentale ;
- une équipe sans âme ni leader. Nous avons connu dans un passe récent Mama Maty, Poulain, Aminata Kane et avant c'était Marième Bâ, Aya, et tant d'autres.
Je ne saurais terminer sans faire un détour à la DTN. Rien n'est fait pour maintenir les acquis, rien pour la petite catégorie, rien pour le critérium, rien pour la formation et rien pour la détection. C'est facile de se cacher derrière le manque de moyens, mais retenez-que là où le Mali et la Cote d'Ivoire s'investissent dans la formation et dans la continuité de l’action, on ne saurait accepter l'amorphie qui caractérise notre DTN.
Un jour, j'ai regardé le banc français et au constat presque 5 joueurs d'origine sénégalaise. Si nous sommes incapables de former et tracer un plan de carrière à nos jeunes basketteurs, autant prendre des raccourcis et aller négocier le retour sportif de ces jeunes pleins de talents qui font le bonheur des clubs de l’hexagone. II est inacceptable de rester les bras crois en se disant : «j'ai pas de moyens». A la place des moyens, développez et montrez-nous des initiatives de rupture.
Messieurs Diagne et Diop, il faut savoir partir, c'est aussi un trait de courage et de patriotisme.
Sportivement !
Bâ Mody ( bamodydiack@yahoo.fr)
- C’est sous votre magistère que pour la première fois le Sénégal a atteint le plus mauvais classement dans l’histoire de son basket masculin, et comble de ridicule quand n vous a demandé de partir, vous avez osez rétorquer : pourquoi partir ? Nous avons attendu d’ailleurs que vous assumiez avec courage votre rôle dans le limogeage de Adidas Ndiaye, mais vous avez préféré le silence pour laisser porter le chapeau à Daouda Faye, même si ce dernier comme on le sait est co-acteur de cette hérésie ;
- Avec vous nous avons récolté une place dernier à la coupe du monde messieurs ;
- Avec vous nous avons récolté une place d’avant-dernier à la coupe du monde dames ;
- Certes vous n’avez pas voulu partir après Luanda car vous n’aviez pas en son temps parachevé votre boulimie destructrice, en voulant être buur et bumi, être président de la fédération et président du comité d’organisation du CAN féminin ;
- Vous devez retenir que c’est avec vous que le basketball féminin a eu son pire résultat à domicile.
Comme vous, nous avons constatez les carences du coach et notre point de vue est corroboré par les analystes les plus indiqués en la matière. Quand on écoute Fatou Kiné Pape Moussa Touré, Mathieu Faye, quand on constate les parades trouvées contre le Sénégal par l'entraineur du Mali et en très peu de temps, il est évident que l'on ne peut que stigmatiser le conformisme de Maguette Diop. Je ne suis pas technicien du basket, mais depuis Claude Contanino, Narou ou Niada, depuis Marie Emilie Lopez ou Ndèye Salla Kane, je suis cette discipline. Nous avons vu à l’œuvre Alioune Diop, Bona, Mbaye Gueye, Adidas dont les pratiques sont à tout point de vue en avant-garde de ce qui se fait.
Je crois que Monsieur Magatte Diop a tant soit peu de professionnalisme et qu'il a dû tenir un recueil de statistiques (sinon se référer à la cassette de la RTS ou à Fatou Kiné). En revisitant cette base de données comment accepter et expliquer :
- le nombre effarant de ballons perdus sous les paniers, pas seulement pendant la finale mais dans les autres rencontres aussi ;
- le nombre de shoots placés manqués. On dirait que ce rudiment du basket de haut niveau n'entre pas dans les fondements de Monsieur Diop, aussi bien Fatou Kiné que Pape Moussa Tourré ont décelé cette faille monumentale ;
- une équipe sans âme ni leader. Nous avons connu dans un passe récent Mama Maty, Poulain, Aminata Kane et avant c'était Marième Bâ, Aya, et tant d'autres.
Je ne saurais terminer sans faire un détour à la DTN. Rien n'est fait pour maintenir les acquis, rien pour la petite catégorie, rien pour le critérium, rien pour la formation et rien pour la détection. C'est facile de se cacher derrière le manque de moyens, mais retenez-que là où le Mali et la Cote d'Ivoire s'investissent dans la formation et dans la continuité de l’action, on ne saurait accepter l'amorphie qui caractérise notre DTN.
Un jour, j'ai regardé le banc français et au constat presque 5 joueurs d'origine sénégalaise. Si nous sommes incapables de former et tracer un plan de carrière à nos jeunes basketteurs, autant prendre des raccourcis et aller négocier le retour sportif de ces jeunes pleins de talents qui font le bonheur des clubs de l’hexagone. II est inacceptable de rester les bras crois en se disant : «j'ai pas de moyens». A la place des moyens, développez et montrez-nous des initiatives de rupture.
Messieurs Diagne et Diop, il faut savoir partir, c'est aussi un trait de courage et de patriotisme.
Sportivement !
Bâ Mody ( bamodydiack@yahoo.fr)