LIBASS COACH US OUAKAM (HOMMES):
« Il doit être un fédérateur. Quelqu’un qui tient en compte l’avis de tout le monde »
« Tout ce qui nous intéresse c’est le développement du basket. Inévitablement ce développement passe par une équipe fédérale compétente. La gestion doit être collégiale. Il y aura évidemment quelqu’un à la tête, mais il doit être un fédérateur. Quelqu’un qui tient en compte l’avis de tout le monde pour le bien du basket. Nous n’avons pas de candidat ciblé, mais on voudrait à la tête de la fédération quelqu’un capable de mobiliser. Ramener l’engouement dans les stades. Il doit aussi être quelqu’un qui travaille sur un programme à long terme »
PABY GUEYE, COACH DOUANE (petite catégorie) :
« Le meilleur président est celui qui va s’occuper de la base et qui essayera de mettre définitivement fin aux querelles intestines»
« Je n’ai pas de préférence parmi les prétendants. Le plus important pour moi c’est d’avoir un président qui va bien s’occuper du basket, le servir au lieu de s’en servir. Mais surtout un président qui s’occupe de la base, de la petite catégorie qui a toujours été laissé en rade. Il faut aussi quelqu’un capable d’organiser un championnat régulier, mettre en place un bon programme et que les équipes puissent jouer un véritable championnat et qu’elles puissent jouer assez de matches. Au Sénégal on peut être champion en jouant moins de vingt matches. L’autre aspect c’est faire tout pour réunir la famille du basket autour d’un même but. Essayer de mettre définitivement fin aux querelles intestines ».
COUMBA TRAORE, VICE-PRESIDENT COMITE MARKETING, SPONSORING ET DEVELOPPEMENT DU COMITE REGIONAL DE BASKET (ancienne basketteuse) :
« Il faut que les jeunes aient leur place dans cette fédération et qu’on mette fin au copinage en ce qui concerne les postes »
« Le président doit être d’abord quelqu’un qui aime le basket et la formation à la base. Je pense qu’il n’y a pas de profil particulier pour le basket. Il suffit juste de connaitre le basket et de savoir manager un groupe. Il faut aussi que le président accepte de travailler avec des jeunes. Que les jeunes aient leur place dans cette fédération. Car il y a des jeunes avec de bons profils qui peuvent prétendre à des postes au sein de la fédération. On peut n’avoir jamais joué au basket et connaitre le basket. L’essentiel est que la personne soit imprégnée des problèmes du basket. J’espère que le futur président saura nettoyer et assainir le milieu. Le milieu du basket est très pollué par les trucs de copinage du genre « je suis président, je vais prendre mon ami ou mon frère… » Et je pense que c’est des choses à éradiquer ».
PAPE ABDOULAYE FAYE, SECRETAIRE GENERAL HLM BC ET VICE-PRESIDENT COMMISSION COMMUNICATION DU CNBS :
« Le futur président de la fédération de basket doit être un homme de consensus »
« La famille du basket est un peu éparpillées, je dirais même très divisée et il faut que le futur président de la fédération soit un homme de consensus. Quelqu’un capable de rassembler cette famille divisée autour de l’essentiel. Il doit aussi être assez outillé pour pouvoir emmener des ressources additionnelles pour le développement du basket ».
NDEYE AISSATOU DIAGNE, ARBITRE INTERNATIONALE DE BASKET :
« Il faut que le futur président soit professionnel dans sa façon de diriger »
« On tendre vers le professionnalisme à tous les niveaux, donc il faut que le futur président soit professionnel dans sa façon de diriger. Au de-là du professionnalisme, il faut quelqu’un qui a les moyens ou capable d’en trouver, car c’est avec les moyens qu’on peut atteindre les objectifs. Il doit être aussi une personne de confiance, qui soit en bon terme avec les acteurs ».
MALAL JUNIOR DIAGNE, JOURNALISTE CHEF DE DESK SPORTIF A LA RFM :
« Il doit avoir une vision »
« Il faudrait qu’il soit un homme capable de réunir tous les acteurs du basket autour de son projet. Qu’il soit un homme qui a une vision qui puisse permettre au basket sénégalais de sortir de ces difficultés. Parce qu’on dit qu’en basket le Sénégal est le pays le plus titré du continent. Mais aujourd’hui, le constat est là, c’est l’un des pays de basket les plus pauvre ».
« Il doit être un fédérateur. Quelqu’un qui tient en compte l’avis de tout le monde »
« Tout ce qui nous intéresse c’est le développement du basket. Inévitablement ce développement passe par une équipe fédérale compétente. La gestion doit être collégiale. Il y aura évidemment quelqu’un à la tête, mais il doit être un fédérateur. Quelqu’un qui tient en compte l’avis de tout le monde pour le bien du basket. Nous n’avons pas de candidat ciblé, mais on voudrait à la tête de la fédération quelqu’un capable de mobiliser. Ramener l’engouement dans les stades. Il doit aussi être quelqu’un qui travaille sur un programme à long terme »
PABY GUEYE, COACH DOUANE (petite catégorie) :
« Le meilleur président est celui qui va s’occuper de la base et qui essayera de mettre définitivement fin aux querelles intestines»
« Je n’ai pas de préférence parmi les prétendants. Le plus important pour moi c’est d’avoir un président qui va bien s’occuper du basket, le servir au lieu de s’en servir. Mais surtout un président qui s’occupe de la base, de la petite catégorie qui a toujours été laissé en rade. Il faut aussi quelqu’un capable d’organiser un championnat régulier, mettre en place un bon programme et que les équipes puissent jouer un véritable championnat et qu’elles puissent jouer assez de matches. Au Sénégal on peut être champion en jouant moins de vingt matches. L’autre aspect c’est faire tout pour réunir la famille du basket autour d’un même but. Essayer de mettre définitivement fin aux querelles intestines ».
COUMBA TRAORE, VICE-PRESIDENT COMITE MARKETING, SPONSORING ET DEVELOPPEMENT DU COMITE REGIONAL DE BASKET (ancienne basketteuse) :
« Il faut que les jeunes aient leur place dans cette fédération et qu’on mette fin au copinage en ce qui concerne les postes »
« Le président doit être d’abord quelqu’un qui aime le basket et la formation à la base. Je pense qu’il n’y a pas de profil particulier pour le basket. Il suffit juste de connaitre le basket et de savoir manager un groupe. Il faut aussi que le président accepte de travailler avec des jeunes. Que les jeunes aient leur place dans cette fédération. Car il y a des jeunes avec de bons profils qui peuvent prétendre à des postes au sein de la fédération. On peut n’avoir jamais joué au basket et connaitre le basket. L’essentiel est que la personne soit imprégnée des problèmes du basket. J’espère que le futur président saura nettoyer et assainir le milieu. Le milieu du basket est très pollué par les trucs de copinage du genre « je suis président, je vais prendre mon ami ou mon frère… » Et je pense que c’est des choses à éradiquer ».
PAPE ABDOULAYE FAYE, SECRETAIRE GENERAL HLM BC ET VICE-PRESIDENT COMMISSION COMMUNICATION DU CNBS :
« Le futur président de la fédération de basket doit être un homme de consensus »
« La famille du basket est un peu éparpillées, je dirais même très divisée et il faut que le futur président de la fédération soit un homme de consensus. Quelqu’un capable de rassembler cette famille divisée autour de l’essentiel. Il doit aussi être assez outillé pour pouvoir emmener des ressources additionnelles pour le développement du basket ».
NDEYE AISSATOU DIAGNE, ARBITRE INTERNATIONALE DE BASKET :
« Il faut que le futur président soit professionnel dans sa façon de diriger »
« On tendre vers le professionnalisme à tous les niveaux, donc il faut que le futur président soit professionnel dans sa façon de diriger. Au de-là du professionnalisme, il faut quelqu’un qui a les moyens ou capable d’en trouver, car c’est avec les moyens qu’on peut atteindre les objectifs. Il doit être aussi une personne de confiance, qui soit en bon terme avec les acteurs ».
MALAL JUNIOR DIAGNE, JOURNALISTE CHEF DE DESK SPORTIF A LA RFM :
« Il doit avoir une vision »
« Il faudrait qu’il soit un homme capable de réunir tous les acteurs du basket autour de son projet. Qu’il soit un homme qui a une vision qui puisse permettre au basket sénégalais de sortir de ces difficultés. Parce qu’on dit qu’en basket le Sénégal est le pays le plus titré du continent. Mais aujourd’hui, le constat est là, c’est l’un des pays de basket les plus pauvre ».