La curiosité reste plutôt Moïse Diamé qui émarge en National masculin 1 (Nm1) français, précisément à Rueil Athletic dont il est sociétaire depuis 2011. Le joueur (28 ans, 2m05) fait partie, cette année, des cadres de l’effectif pour l’échéance 2014-2015.
Avec 18 matches disputés depuis le début du championnat, le pivot avoisine une moyenne de 22,6 minutes, 8,2 rebonds, 10,7 points dont 68,4 % de réussite sur les tirs à mi-distance et 64,7 % sur les lancers francs. Le joueur a aussi une bonne note d’évaluation qui avoisine une moyenne de 14,5 et seul son coéquipier Benjamin Smith le devance avec une note d’évaluation de 14,8.
Né au Sénégal, il y a 28 ans, Moïse Diamé, n’excelle uniquement pas sur les parquets. Il évolue également dans l’automobile comme ingénieur en modélisation.
« J’ai toujours voulu allier ces deux vies. Je pense que je suis arrivé au plus haut niveau où je peux concilier les deux (Ndlr : la N1 correspond au 3e niveau national et au plus haut niveau fédéral). C’est lié à mon éducation, aux valeurs que m’ont inculquées mes parents. On sait que le sport est aléatoire.Certains joueurs ont, à 22 ans, le salaire d’un cadre sup., mais n’ont pas le Bac. Ils ont un bon revenu pendant dix ans, mais après ? Moi, je veux assurer mon avenir. Pas me demander ce que je ferai après ma carrière. Alors j’accepte les contraintes », explique Moïse qui a fait six ans d’études d’ingénieur après son Bac décroché au Sénégal, dans un entretien accordé au Parisien.
Cette double vie lui vaut deux surnoms : « Champion » pour ses collègues de service et « l’Intello » pour ses partenaires rueillois.
En bon ingénieur, Moïse est donc attendu pour apporter son savoir-faire dans le secteur intérieur.
Avec 18 matches disputés depuis le début du championnat, le pivot avoisine une moyenne de 22,6 minutes, 8,2 rebonds, 10,7 points dont 68,4 % de réussite sur les tirs à mi-distance et 64,7 % sur les lancers francs. Le joueur a aussi une bonne note d’évaluation qui avoisine une moyenne de 14,5 et seul son coéquipier Benjamin Smith le devance avec une note d’évaluation de 14,8.
Né au Sénégal, il y a 28 ans, Moïse Diamé, n’excelle uniquement pas sur les parquets. Il évolue également dans l’automobile comme ingénieur en modélisation.
« J’ai toujours voulu allier ces deux vies. Je pense que je suis arrivé au plus haut niveau où je peux concilier les deux (Ndlr : la N1 correspond au 3e niveau national et au plus haut niveau fédéral). C’est lié à mon éducation, aux valeurs que m’ont inculquées mes parents. On sait que le sport est aléatoire.Certains joueurs ont, à 22 ans, le salaire d’un cadre sup., mais n’ont pas le Bac. Ils ont un bon revenu pendant dix ans, mais après ? Moi, je veux assurer mon avenir. Pas me demander ce que je ferai après ma carrière. Alors j’accepte les contraintes », explique Moïse qui a fait six ans d’études d’ingénieur après son Bac décroché au Sénégal, dans un entretien accordé au Parisien.
Cette double vie lui vaut deux surnoms : « Champion » pour ses collègues de service et « l’Intello » pour ses partenaires rueillois.
En bon ingénieur, Moïse est donc attendu pour apporter son savoir-faire dans le secteur intérieur.