"Je suspends M. Arenas pour une durée indéfinie, sans salaire, avec effet immédiat en attendant les conclusions de l'enquête menée par la NBA", a déclaré M. Stern.
Gilbert Arenas est notamment accusé d'avoir stocké des armes déchargées dans son casier, faisant fi du règlement de la Ligue qui interdit aux joueurs d'en porter dans tous les bâtiments liés à la NBA.
M. Arenas, sous le coup d'une enquête criminelle, a présenté ses excuses, tout en affirmant avoir apporté quatre armes, sans chargeur ni munitions, dans son casier au vestiaire parce qu'il ne voulait plus les garder chez lui à cause de ses enfants.
Toutefois selon le tabloïd New York Post, Arenas et un autre joueur de l'équipe, Javaris Crittenton, auraient chacun sorti une arme à feu le 21 décembre lors d'une dispute autour d'une dette de jeu, un récit qualifié de très exagéré par le joueur.
M. Arenas s'est cependant de nouveau attiré les foudres de son club et du commissaire de la NBA après avoir posé, hilare, au milieu de ses coéquipiers, en les pointant avec ses doigts comme s'ils étaient des pistolets, mardi avant un match face à Philadelphie.
"Bien qu'il soit évident que les agissements de M. Arenas conduiront à une suspension substantielle, et peut-être pire encore, sa conduite actuelle m'amène à conclure qu'il n'est pas actuellement digne d'être sur un parquet pour une rencontre de NBA", a commenté David Stern.
"En mettant de côté les questions strictement légales, le comportement et les déclarations récentes de Gilbert, notamment les actes et les déclarations d'hier soir à Philadelphie, sont inacceptables", ont indiqué le président et les propriétaires des Washington Wizards dans un communiqué.
En fonction du résultat de l'enquête, les Wizards pourraient être en droit de licencier les fautifs. Arenas est dans la deuxième saison d'un contrat de six ans qui doit lui rapporter au total 111 millions de dollars (77 M EUR).
Gilbert Arenas est notamment accusé d'avoir stocké des armes déchargées dans son casier, faisant fi du règlement de la Ligue qui interdit aux joueurs d'en porter dans tous les bâtiments liés à la NBA.
M. Arenas, sous le coup d'une enquête criminelle, a présenté ses excuses, tout en affirmant avoir apporté quatre armes, sans chargeur ni munitions, dans son casier au vestiaire parce qu'il ne voulait plus les garder chez lui à cause de ses enfants.
Toutefois selon le tabloïd New York Post, Arenas et un autre joueur de l'équipe, Javaris Crittenton, auraient chacun sorti une arme à feu le 21 décembre lors d'une dispute autour d'une dette de jeu, un récit qualifié de très exagéré par le joueur.
M. Arenas s'est cependant de nouveau attiré les foudres de son club et du commissaire de la NBA après avoir posé, hilare, au milieu de ses coéquipiers, en les pointant avec ses doigts comme s'ils étaient des pistolets, mardi avant un match face à Philadelphie.
"Bien qu'il soit évident que les agissements de M. Arenas conduiront à une suspension substantielle, et peut-être pire encore, sa conduite actuelle m'amène à conclure qu'il n'est pas actuellement digne d'être sur un parquet pour une rencontre de NBA", a commenté David Stern.
"En mettant de côté les questions strictement légales, le comportement et les déclarations récentes de Gilbert, notamment les actes et les déclarations d'hier soir à Philadelphie, sont inacceptables", ont indiqué le président et les propriétaires des Washington Wizards dans un communiqué.
En fonction du résultat de l'enquête, les Wizards pourraient être en droit de licencier les fautifs. Arenas est dans la deuxième saison d'un contrat de six ans qui doit lui rapporter au total 111 millions de dollars (77 M EUR).