Desagana Diop 8 pts,4 rbds et 4 contres
Phoenix défait la veille à Philadelphie, Dallas avait l’occasion de conforter son leadership sur la Conférence Ouest et d’accentuer son avance sur les Suns en recevant Cleveland la nuit dernière. Nantis de 13 victoires de rang, les Mavericks abordaient la rencontre en favori logique. D’autant que les Cavs fonctionnent cette saison sur courant alternatif et que LeBron James est loin d’être le joueur dominant qu’il était l’an dernier. Mais c’est bien connu, les grands joueurs se révèlent toujours dans les grands matches. Et le leader des Cavaliers en a apporté la preuve sur le parquet de l’American Airlines Center. En 39 minutes, King James a inscrit 39 points (à 17/27 au tir), soit son deuxième meilleur total de la saison, et délivré 5 passes. Surtout, il a ramené son équipe dans un match qui semblait pourtant ne pas faire un pli à la pause. S’appuyant une fois encore sur son trio Nowitzki (24 points, 11 rebonds, 7 passes) - Terry (20 points, 5 rebonds, 5 passes) - Howard (17 points, 10 rebonds), Dallas avait pris les devants dès le départ (27-23) pour compter dix longueurs d’avance au repos (52-42) puis 12 à l’amorce de la dernière période (74-62).
James prenait alors le match en mains. En même temps que Dirk Nowitzki disparaissait de la circulation (aucun point dans les cinq dernières minutes), le All Star des Cavs faisait son numéro. Dans les derniers instants de la partie, deux tirs primés de l’ancien lycéen de Saint-Vincent-Sainte-Marie ramenaient Cleveland à -3. Il restait alors 41 secondes et les Cavs pouvaient encore rêver de faire chuter Dallas pour la première fois depuis fin janvier. Mais Nowitzki revenait sur le parquet pour calmer les ardeurs de James. Sur une pénétration dont l'ancien Rookie of The Year a le secret, l’Allemand faisait faute et l’envoyait sur la ligne des lancers francs. Le bras de James tremblait alors et ce dernier ratait ses deux tentatives. Dans les cinq dernières secondes, il avait encore l’occasion de se racheter mais, alors que Dallas menait (95-92), il manquait deux tirs à trois points consécutifs, offrant aux Mavs leur 14e victoire d’affilée, un record pour la franchise. «Ce n’est pas la plus belle victoire de la série mais un succès est un succès», estimait Jerry Stackhouse après la partie avant de rendre hommage à LeBron James qui, à lui seul, a presque failli faire chuter les Texans. «Il est difficile à marquer, il est si costaud, si talentueux. Nous avons tous essayé de le freiner et il a tout même inscrit près de 40 points.»
James prenait alors le match en mains. En même temps que Dirk Nowitzki disparaissait de la circulation (aucun point dans les cinq dernières minutes), le All Star des Cavs faisait son numéro. Dans les derniers instants de la partie, deux tirs primés de l’ancien lycéen de Saint-Vincent-Sainte-Marie ramenaient Cleveland à -3. Il restait alors 41 secondes et les Cavs pouvaient encore rêver de faire chuter Dallas pour la première fois depuis fin janvier. Mais Nowitzki revenait sur le parquet pour calmer les ardeurs de James. Sur une pénétration dont l'ancien Rookie of The Year a le secret, l’Allemand faisait faute et l’envoyait sur la ligne des lancers francs. Le bras de James tremblait alors et ce dernier ratait ses deux tentatives. Dans les cinq dernières secondes, il avait encore l’occasion de se racheter mais, alors que Dallas menait (95-92), il manquait deux tirs à trois points consécutifs, offrant aux Mavs leur 14e victoire d’affilée, un record pour la franchise. «Ce n’est pas la plus belle victoire de la série mais un succès est un succès», estimait Jerry Stackhouse après la partie avant de rendre hommage à LeBron James qui, à lui seul, a presque failli faire chuter les Texans. «Il est difficile à marquer, il est si costaud, si talentueux. Nous avons tous essayé de le freiner et il a tout même inscrit près de 40 points.»
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