Lebron James (Miami) 24 pts, 9 rbds et 5 passes
Miami bat Dallas à domicile lors d'un premier match de la finale très défensif (92-84). Le Heat n'a fait la différence que dans les cinq dernières minutes.
Le match est marqué d'entrée par une grande maladresse. A la 7e minute, les Mavs n'ont réussi qu'un tir et sont menés 10-5. Leur coach, Rick Carlisle, prend un temps-mort et Jason Kidd réussit deux tirs à trois points de suite juste après. Dallas prend la tête (16-17) pour la première fois juste avant la fin du premier quart-temps. Le match reste ultra équilibré jusqu'à la mi-temps (43-44).Dallas débute le troisième quart-temps par un 7-0 en deux minutes. L'écart monte à huit points (43-51) mais redescend à quatre en trente secondes avec deux contre-attaques conclues par Wade. Les deux équipes se tiennent longtemps en deux possessions (65-61 pour Miami à la fin du 3e quart après un trois points à neuf mètres de James).Le Heat passe à +7 (77-70) à 4'15" de la fin sur un panier de Wade. Mais c'est surtout le panier à 3 points de ce dernier à 3'06" qui fait très mal à Dallas (82-73). L'écart monte à +10 peu après sur un dunk avec faute de James (85-75). Les Mavs reviennent péniblement à +6 (85-79, 1'36" à jouer) mais Wade fait de nouveau la différence avec deux passes (91-79, 40").
La défense sur Dirk Nowitzki a été excellente. Il finit meilleur marqueur du match (27 points, 12/12 aux lancers) mais n'a jamais trouvé sa zone de confort et son pourcentage aux tirs s'en est ressenti (7/18, 39%). Si l'Allemand des Mavs défendait souvent sur Chris Bosh, l'inverse n'était pas vrai. Joel Anthony s'est occupé de son cas le premier et Udonis Haslem, qui l'avait beaucoup gêné en 2006, l'a pris la majorité du temps. Il l'a défendu de très près, les pieds dans les pieds, et LeBron James flottait non loin, prêt à venir en aide. Coupé du jeu à deux avec Jason Kidd, qui aligne comme par hasard son plus faible total de passes décisives (6) depuis huit matches, il est souvent parti à l'aventure en double pas mais en a raté plusieurs main gauche.
38%. C'est la faible réussite au tir des deux équipes (39% pour Miami, 37% pour Dallas). Paradoxalement, elles finissent au dessus des 40% à trois points (11/24 et 9/22). Les défenses étaient en place et la nervosité a donné le truc en plus qui fait les matches fermés. Malgré ce déchet, il y a eu peu de points sur contre-attaque (19 au total) et sur deuxième chance (6 rebonds offensifs seulement pour les Mavs). Pour Wade, Miami «a fait un bon boulot au rebond en deuxième mi-temps, en ne leur laissant qu'une chanceà chaque fois».
Dwayne Wade (Miami) "Flash" finit meilleur rebondeur (10), passeur (6), contreur (2) et deuxième marqueur (24) du Heat. Il a surtout fait la différence en fin de match en marquant les paniers qui ont creusé l'écart, puis en distribuant deux passes géniales à Bosh (plain axe en contre-attaque) et James (alley-oop sur une prise à deux) qui ont conclu l'affaire. «J'ai juste été agressif, a-t-il commenté. Ils sont là où on voulait les voir en terme de points. Ils n'ont pas beaucoup marqué (...) et c'est comme ça que vous gagnez des matches sur la fin. Il faut rester dans cette optique. vous pouvez être frustré parce que la balle ne rentre pas mais il y a d'autres façons de dominer un match et c'est ce qu'on a fait.»
Le match est marqué d'entrée par une grande maladresse. A la 7e minute, les Mavs n'ont réussi qu'un tir et sont menés 10-5. Leur coach, Rick Carlisle, prend un temps-mort et Jason Kidd réussit deux tirs à trois points de suite juste après. Dallas prend la tête (16-17) pour la première fois juste avant la fin du premier quart-temps. Le match reste ultra équilibré jusqu'à la mi-temps (43-44).Dallas débute le troisième quart-temps par un 7-0 en deux minutes. L'écart monte à huit points (43-51) mais redescend à quatre en trente secondes avec deux contre-attaques conclues par Wade. Les deux équipes se tiennent longtemps en deux possessions (65-61 pour Miami à la fin du 3e quart après un trois points à neuf mètres de James).Le Heat passe à +7 (77-70) à 4'15" de la fin sur un panier de Wade. Mais c'est surtout le panier à 3 points de ce dernier à 3'06" qui fait très mal à Dallas (82-73). L'écart monte à +10 peu après sur un dunk avec faute de James (85-75). Les Mavs reviennent péniblement à +6 (85-79, 1'36" à jouer) mais Wade fait de nouveau la différence avec deux passes (91-79, 40").
La défense sur Dirk Nowitzki a été excellente. Il finit meilleur marqueur du match (27 points, 12/12 aux lancers) mais n'a jamais trouvé sa zone de confort et son pourcentage aux tirs s'en est ressenti (7/18, 39%). Si l'Allemand des Mavs défendait souvent sur Chris Bosh, l'inverse n'était pas vrai. Joel Anthony s'est occupé de son cas le premier et Udonis Haslem, qui l'avait beaucoup gêné en 2006, l'a pris la majorité du temps. Il l'a défendu de très près, les pieds dans les pieds, et LeBron James flottait non loin, prêt à venir en aide. Coupé du jeu à deux avec Jason Kidd, qui aligne comme par hasard son plus faible total de passes décisives (6) depuis huit matches, il est souvent parti à l'aventure en double pas mais en a raté plusieurs main gauche.
38%. C'est la faible réussite au tir des deux équipes (39% pour Miami, 37% pour Dallas). Paradoxalement, elles finissent au dessus des 40% à trois points (11/24 et 9/22). Les défenses étaient en place et la nervosité a donné le truc en plus qui fait les matches fermés. Malgré ce déchet, il y a eu peu de points sur contre-attaque (19 au total) et sur deuxième chance (6 rebonds offensifs seulement pour les Mavs). Pour Wade, Miami «a fait un bon boulot au rebond en deuxième mi-temps, en ne leur laissant qu'une chanceà chaque fois».
Dwayne Wade (Miami) "Flash" finit meilleur rebondeur (10), passeur (6), contreur (2) et deuxième marqueur (24) du Heat. Il a surtout fait la différence en fin de match en marquant les paniers qui ont creusé l'écart, puis en distribuant deux passes géniales à Bosh (plain axe en contre-attaque) et James (alley-oop sur une prise à deux) qui ont conclu l'affaire. «J'ai juste été agressif, a-t-il commenté. Ils sont là où on voulait les voir en terme de points. Ils n'ont pas beaucoup marqué (...) et c'est comme ça que vous gagnez des matches sur la fin. Il faut rester dans cette optique. vous pouvez être frustré parce que la balle ne rentre pas mais il y a d'autres façons de dominer un match et c'est ce qu'on a fait.»