Si les Finales 2008 entre les Celtics et les Lakers ont évidemment été marquées par la prestation réalisée par Paul Pierce lors du match un en dépit d'une blessure au genou, ou encore par l'incroyable come-back de Boston dans la quatrième manche - les troupes au trèfle l'emportant malgré un déficit de 24 points dans le deuxième acte -, la performance de Pau Gasol a le plus souvent alimenté les débats au moment d'expliquer la défaite des siens. Avec 14,5 points et 10,5 rebonds de moyenne, l'Espagnol n'a pourtant pas démérité mais son manque d'impact dans les moments clé a bien été stigmatisé.
Aussi, l'intérieur californien peut-il savourer sa copie rendue à l'occasion de la visite des Celtics pour la première confrontation entre les deux rivaux historique depuis le dix-septième sacre de la franchise du Massachussets. Car non seulement Gasol a bien été l'un des premiers artisans de la victoire californienne (92-83) grâce à ses 20 points (à 7/14 aux tirs) et 5 passes, mais c'est bien lui qui a fait la différence dans l'ultime ligne droite en inscrivant 7 points au cours des trois dernières minutes. Une performance que ne manquait pas de souligner un Kobe Bryant également bien inspiré, comme en attestent ses 27 points et 9 rebonds. "Il fallait être agressif pour venir à bout de Boston, expliquait-il après la rencontre. C'est ce qu'a réussi à faire Pau en fin de match et on a pu faire la différence. C'était vraiment difficile car les Celtics sont en pleine confiance."
Il ne pouvait guère en être autrement alors que les champions en titre restaient sur une incroyable série de dix-neuf succès consécutifs et courent toujours, en tête de la Ligue, après le record de victoires sur une saison détenu par les Bulls depuis 1996 (72 v, 10 d). D'ailleurs, Bryant avait beau faire preuve d'une belle adresse tandis que Gasol, Lamar Odom, avec deux tirs primés enquillés à la suite au moment de recréer un écart dans le troisième quart, ou Sasha Vujacic se relayaient pour l'épauler, les Celtics restaient au contact et glaçaient même le Staples Center en passant devant au moment d'aborder les cinq dernières minutes. Si la révélation, Rajon Rondo, est passée à côté de l'événement en rendant un piètre 3/11 aux tirs pour 6 points et 12 passes, le "Big Three" a, lui, bien répondu présent avec notamment 22 points et 9 rebonds de Kevin Garnett, auteur d'un très réussi 11/14 aux shoots, ou 20 points et 10 rebonds de Paul Pierce.
Les vedettes de Boston ont néanmoins flanché sur la fin de match à l'image d'un Ray Allen, 14 points au compteur, se précipitant une première fois à trois points avant d'être contré par Gasol une minute plus tard. Un contre décisif puisque Trevor Ariza scellait le succès californien sur la contre-attaque. Aussi les Lakers, qui ont terminé le match sur un 13-2 rédhibitoire pour leurs visiteurs, pouvaient-ils savourer leur prestation et Phil Jackson plus que les autres, le coach de L.A. décrochant sa 1000e victoire en carrière après seulement 1423 matches, record battu.
Aussi, l'intérieur californien peut-il savourer sa copie rendue à l'occasion de la visite des Celtics pour la première confrontation entre les deux rivaux historique depuis le dix-septième sacre de la franchise du Massachussets. Car non seulement Gasol a bien été l'un des premiers artisans de la victoire californienne (92-83) grâce à ses 20 points (à 7/14 aux tirs) et 5 passes, mais c'est bien lui qui a fait la différence dans l'ultime ligne droite en inscrivant 7 points au cours des trois dernières minutes. Une performance que ne manquait pas de souligner un Kobe Bryant également bien inspiré, comme en attestent ses 27 points et 9 rebonds. "Il fallait être agressif pour venir à bout de Boston, expliquait-il après la rencontre. C'est ce qu'a réussi à faire Pau en fin de match et on a pu faire la différence. C'était vraiment difficile car les Celtics sont en pleine confiance."
Il ne pouvait guère en être autrement alors que les champions en titre restaient sur une incroyable série de dix-neuf succès consécutifs et courent toujours, en tête de la Ligue, après le record de victoires sur une saison détenu par les Bulls depuis 1996 (72 v, 10 d). D'ailleurs, Bryant avait beau faire preuve d'une belle adresse tandis que Gasol, Lamar Odom, avec deux tirs primés enquillés à la suite au moment de recréer un écart dans le troisième quart, ou Sasha Vujacic se relayaient pour l'épauler, les Celtics restaient au contact et glaçaient même le Staples Center en passant devant au moment d'aborder les cinq dernières minutes. Si la révélation, Rajon Rondo, est passée à côté de l'événement en rendant un piètre 3/11 aux tirs pour 6 points et 12 passes, le "Big Three" a, lui, bien répondu présent avec notamment 22 points et 9 rebonds de Kevin Garnett, auteur d'un très réussi 11/14 aux shoots, ou 20 points et 10 rebonds de Paul Pierce.
Les vedettes de Boston ont néanmoins flanché sur la fin de match à l'image d'un Ray Allen, 14 points au compteur, se précipitant une première fois à trois points avant d'être contré par Gasol une minute plus tard. Un contre décisif puisque Trevor Ariza scellait le succès californien sur la contre-attaque. Aussi les Lakers, qui ont terminé le match sur un 13-2 rédhibitoire pour leurs visiteurs, pouvaient-ils savourer leur prestation et Phil Jackson plus que les autres, le coach de L.A. décrochant sa 1000e victoire en carrière après seulement 1423 matches, record battu.