Malgré ce succès, facilité par les 25 points de Kobe Bryant et le gros travail des intérieurs, l'Espagnol Pau Gasol et Lamar Odom, la route est encore longue pour les Californiens au moment où tout le monde referme les valises pour finir cette finale à Boston.
Menés 3 victoires à deux, les Lakers doivent impérativement s'imposer dans le Massachusetts d'abord mardi lors du match N.6, puis jeudi lors de la rencontre N.7.
Une défaite, une seule et le titre glissera dans la poche des Celtics pour la 17e fois de l'histoire.
"Nous voulions rentrer à la maison. Mais pas pour jouer. Mais c'est comme ça, il faut retourner là-bas et finir le travail. Nous sommes chez nous maintenant. Et ce n'est pas si mal", a affirmé l'entraîneur des Celtics Doc Rivers.
Pour leur dernière sortie de l'année devant leur public, les joueurs de Phil Jackson se sont encore compliqués la tâche.
Comme lors du match N.4, les Lakers ont démarré sur les chapeaux de roues.
Après les douze premières minutes, ils menaient de 17 points (39-22) en utilisant la même recette que jeudi dernier: agressivité et adresse.
Mais le scénario a semblé alors se reproduire avec un immense passage à vide. Entre la 1re minute et la 8e du deuxième quart-temps, ils n'ont pas inscrit un seul point laissant les Celtics, privés de leur pivot Kendrick Perkins pas remis de sa blessure à l'épaule, revenir à 3 points à la mi-temps (55-52).
Gasol a du poids
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Plus tard, les Lakers se sont remis dans le pétrin en laissant filer une nouvelle avance substantielle de 14 points à 9 minutes de la fin (88-74).
Heureusement pour eux, l'excellent match de Gasol (19 pts et 13 rebonds) et de Odom (20 pts et 11 rebonds) a finalement porté ses fruits, avec de nombreuses fautes de leurs homologues, en difficulté en défense.
Les Lakers ont cette fois évité une nouvelle déconvenue comme lors du match N.4, lorsqu'ils ont laissé fondre une avance de 24 points.
Cela s'est toutefois joué à peu puisque les Celtics ne comptaient que 3 points de retard à 14 secondes de la sirène (101-98).
"Il n'était pas question qu'ils fêtent leur titre dans notre salle. Je ne voulais pas les voir boire le champagne et toutes les célébrations", a expliqué Gasol, très influent toute la rencontre, contrairement à Ronny Turiaf dont la présence sur le parquet est de plus en plus anecdotique (1 minute de jeu).
Les Celtics ont quand même encore une belle marge avec ces deux matches à domicile qui se profilent.
Jamais dans l'histoire de la NBA, une équipe qui a mené 3 victoires à 1 n'a été remontée au point de perdre le titre. Et ce cas de figure (3-1) s'est présenté 28 fois.
De son côté, Paul Pierce, l'ailier de Boston, a assis son statut de favori pour le titre de MVP. Sa performance individuelle, avec 38 points, 6 rebonds et 8 passes, n'a pas permis à son équipe de gagner mais elle a été royale.
Menés 3 victoires à deux, les Lakers doivent impérativement s'imposer dans le Massachusetts d'abord mardi lors du match N.6, puis jeudi lors de la rencontre N.7.
Une défaite, une seule et le titre glissera dans la poche des Celtics pour la 17e fois de l'histoire.
"Nous voulions rentrer à la maison. Mais pas pour jouer. Mais c'est comme ça, il faut retourner là-bas et finir le travail. Nous sommes chez nous maintenant. Et ce n'est pas si mal", a affirmé l'entraîneur des Celtics Doc Rivers.
Pour leur dernière sortie de l'année devant leur public, les joueurs de Phil Jackson se sont encore compliqués la tâche.
Comme lors du match N.4, les Lakers ont démarré sur les chapeaux de roues.
Après les douze premières minutes, ils menaient de 17 points (39-22) en utilisant la même recette que jeudi dernier: agressivité et adresse.
Mais le scénario a semblé alors se reproduire avec un immense passage à vide. Entre la 1re minute et la 8e du deuxième quart-temps, ils n'ont pas inscrit un seul point laissant les Celtics, privés de leur pivot Kendrick Perkins pas remis de sa blessure à l'épaule, revenir à 3 points à la mi-temps (55-52).
Gasol a du poids
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Plus tard, les Lakers se sont remis dans le pétrin en laissant filer une nouvelle avance substantielle de 14 points à 9 minutes de la fin (88-74).
Heureusement pour eux, l'excellent match de Gasol (19 pts et 13 rebonds) et de Odom (20 pts et 11 rebonds) a finalement porté ses fruits, avec de nombreuses fautes de leurs homologues, en difficulté en défense.
Les Lakers ont cette fois évité une nouvelle déconvenue comme lors du match N.4, lorsqu'ils ont laissé fondre une avance de 24 points.
Cela s'est toutefois joué à peu puisque les Celtics ne comptaient que 3 points de retard à 14 secondes de la sirène (101-98).
"Il n'était pas question qu'ils fêtent leur titre dans notre salle. Je ne voulais pas les voir boire le champagne et toutes les célébrations", a expliqué Gasol, très influent toute la rencontre, contrairement à Ronny Turiaf dont la présence sur le parquet est de plus en plus anecdotique (1 minute de jeu).
Les Celtics ont quand même encore une belle marge avec ces deux matches à domicile qui se profilent.
Jamais dans l'histoire de la NBA, une équipe qui a mené 3 victoires à 1 n'a été remontée au point de perdre le titre. Et ce cas de figure (3-1) s'est présenté 28 fois.
De son côté, Paul Pierce, l'ailier de Boston, a assis son statut de favori pour le titre de MVP. Sa performance individuelle, avec 38 points, 6 rebonds et 8 passes, n'a pas permis à son équipe de gagner mais elle a été royale.