Les Warriors, double champions NBA en titre et grands favoris à leur propre succession, n'ont pas perdu de temps face aux Clippers.
Après une période et demie, ils ont pris le large et n'ont plus été inquiétés grâce à leur meneur Stephen Curry, survolté.Le triple champion NBA a marqué 38 points, dont huit tirs primés sur douze tentés, et a capté 15 rebonds, nouveau record personnel.
Il s'est offert un autre record, celui du nombre de paniers à trois points marqués en play-offs. Il en totalise désormais 386, soit un de plus que l'ancienne fine gâchette de Milwaukee, Boston et Miami, Ray Allen. « On m'a encore demandé après ce match: +Est-ce que c'était son meilleur match?+ Pour moi, cela fait cinq ans sans qu'il joue à son meilleur niveau », a déclaré l'entraîneur de Golden State, Steve Kerr, à propos de Curry.
Golden State a passé une soirée relativement paisible, mais comme souvent contre les Clippers, il y a eu des provocations, énervements et fautes techniques.
Toronto a été crucifié (104-101) par un panier à trois points inscrits à moins de quatre secondes de la sirène par le meneur d'Orlando, D.J. Augustin.
Orlando a arraché difficilement son billet pour les play-offs, mais la franchise floridienne a fini la saison régulière pied au plancher avec dix victoires sur ses douze derniers matches.
Pour son premier match de play-offs depuis 2012, le Magic a continué sur sa lancée, grâce à Augustin (25 pts) et Evan Fournier (16 pts).
« Personne ne nous attendait en play-offs, personne ne pensait qu'on pouvait gagner ce (samedi) soir, mais on croit en nous et on s'en fout de ce qu'on dit de nous », a prévenu Augustin. La défaite de Philadelphie face à Brooklyn (111-102) pourrait être difficile à digérer.
Les Sixers, méconnaissables et particulièrement maladroits (40,7% de réussite au tir, 12% à trois points), ont été conspués par leur public. Plus grave encore, Joël Embiid et son coéquipier Amir Johnson ont donné l'impression de n'avoir rien à faire du match.
« Ce n'était pas mon téléphone, je n'ai pas vraiment réfléchi, j'ai juste regardé parce qu'(Amir Johnson) m'a dit que sa fille était très malade et il voulait avoir des nouvelles », s'est défendu Embiid. C'est peu dire que Brett Brown, leur entraîneur, n'a pas apprécié leur attitude: « C'est totalement inacceptable », a-t-il regretté.
Johnson, qui n'a pas participé à la rencontre, a présenté ses excuses dans un communiqué et a reçu une amende d'un montant non divulgué, tandis qu'Embiid n'a pas été sanctionné.
Le pivot camerounais, incertain jusqu'à dix minutes du coup d'envoi de la rencontre, a tenu sa place malgré un genou douloureux qui l'empoisonne depuis plusieurs semaines. Il a marqué 22 points et a capté 15 rebonds, mais n'a pas eu son impact habituel: « On a vu que Joël n'a pas joué beaucoup ces dernières semaines, malgré tout, il reste déterminant », a souligné son entraîneur. Dans la dernière rencontre de la journée, San Antonio s'est imposé à Denver 101 à 96 et a offert à son emblématique entraîneur Gregg Popovich sa 1.413e victoire, nouveau record pour un coach en NBA.
Après une période et demie, ils ont pris le large et n'ont plus été inquiétés grâce à leur meneur Stephen Curry, survolté.Le triple champion NBA a marqué 38 points, dont huit tirs primés sur douze tentés, et a capté 15 rebonds, nouveau record personnel.
Il s'est offert un autre record, celui du nombre de paniers à trois points marqués en play-offs. Il en totalise désormais 386, soit un de plus que l'ancienne fine gâchette de Milwaukee, Boston et Miami, Ray Allen. « On m'a encore demandé après ce match: +Est-ce que c'était son meilleur match?+ Pour moi, cela fait cinq ans sans qu'il joue à son meilleur niveau », a déclaré l'entraîneur de Golden State, Steve Kerr, à propos de Curry.
Golden State a passé une soirée relativement paisible, mais comme souvent contre les Clippers, il y a eu des provocations, énervements et fautes techniques.
Durant et Beverley exclus
Kevin Durant, auteur de 23 points, et Patrick Beverley ont regagné les vestiaires avant leurs coéquipiers. Ils ont été exclus, après une énième altercation, à cinq minutes de la fin du temps réglementaire.Toronto a été crucifié (104-101) par un panier à trois points inscrits à moins de quatre secondes de la sirène par le meneur d'Orlando, D.J. Augustin.
Orlando a arraché difficilement son billet pour les play-offs, mais la franchise floridienne a fini la saison régulière pied au plancher avec dix victoires sur ses douze derniers matches.
Pour son premier match de play-offs depuis 2012, le Magic a continué sur sa lancée, grâce à Augustin (25 pts) et Evan Fournier (16 pts).
« Personne ne nous attendait en play-offs, personne ne pensait qu'on pouvait gagner ce (samedi) soir, mais on croit en nous et on s'en fout de ce qu'on dit de nous », a prévenu Augustin. La défaite de Philadelphie face à Brooklyn (111-102) pourrait être difficile à digérer.
Les Sixers, méconnaissables et particulièrement maladroits (40,7% de réussite au tir, 12% à trois points), ont été conspués par leur public. Plus grave encore, Joël Embiid et son coéquipier Amir Johnson ont donné l'impression de n'avoir rien à faire du match.
Des SMS en plein match
Ils ont été surpris par les caméras de télévision en train de consulter des SMS en plein match.« Ce n'était pas mon téléphone, je n'ai pas vraiment réfléchi, j'ai juste regardé parce qu'(Amir Johnson) m'a dit que sa fille était très malade et il voulait avoir des nouvelles », s'est défendu Embiid. C'est peu dire que Brett Brown, leur entraîneur, n'a pas apprécié leur attitude: « C'est totalement inacceptable », a-t-il regretté.
Johnson, qui n'a pas participé à la rencontre, a présenté ses excuses dans un communiqué et a reçu une amende d'un montant non divulgué, tandis qu'Embiid n'a pas été sanctionné.
Le pivot camerounais, incertain jusqu'à dix minutes du coup d'envoi de la rencontre, a tenu sa place malgré un genou douloureux qui l'empoisonne depuis plusieurs semaines.