On aime vraiment jouer ensemble, être ensemble. Je suis vraiment reconnaissant d'avoir eu l'opportunité de le faire. Bien sûr, personne n'aime perdre, mais on s'est battus toute l'année. On a connu des hauts, des bas, mais on est restés ensemble. C'est ça qui compte. Je ne sais pas ce que l'année prochaine va nous réserver, mais je suis fier d'avoir eu l'honneur de jouer avec ce groupe. Ce que j'ai appris cette année ? Que j'étais un joueur décent. Je pense avoir progressé dans tous les domaines, donc je peux sourire pour ça. Mais plus qu'autre chose, j'ai appris qu'ici, ça marche pour moi. Que je vais toujours toujours croire en mes gars. Parce que ce que j'ai appris, c'est à quel point c'est amusant de jouer avec eux. J'ai pris du plaisir à voir mes jeunes mecs grandir. Et à voir les vétérans montrer ce qu'ils peuvent encore faire et m'apprendre tellement de choses. On a vraiment passé du bon temps. »
Erik Spoelstra, entraîneur du Heat « Quoi qu'il arrive dans le futur, on se souviendra toute notre vie de cette année, de cette saison, de cette expérience de groupe » Erik Spoelstra (entraîneur du Miami Heat) : « Bravo aux Lakers. C'était un plaisir de partager le terrain avec eux et je veux les féliciter pour ce titre. Ils le méritent, ils sont allés chercher cette finale. Impossible de remercier assez la NBA pour toute cette expérience. Cela a été extraordinaire dans cette bulle. Faire partie de quelque chose d'historique comme cela est un honneur. Cela a été une année sans précédent et il a fallu que tout le monde y mette du sien. Quoi qu'il arrive dans le futur, on se souviendra toute notre vie de cette année, de cette saison, de cette expérience de groupe. On avait beaucoup de joueurs qui étaient loin d'être à 100 % dans cette finale, qui n'auraient pas dû entrer sur le terrain, mais ils voulaient le faire pour les autres. C'est pour ça que je suis déçu qu'on n'ait pas réussi à finir la saison avec une victoire. J'ai eu besoin de quelques minutes pour trouver les mots que j'allais dire à mes joueurs. Le vestiaire était très triste, comme vous pouvez l'imaginer, mais c'était un super groupe. Les souvenirs qui nous resteront dépassent le sportif. »
Goran Dragic (meneur du Miami Heat) : « Les dix derniers jours ont été un enfer pour moi (avec sa blessure au pied gauche) mais je voulais être sur le terrain pour aider mon équipe autant que possible. C'est comme ça... Les Lakers étaient meilleurs, mais on s'est battu, même si aujourd'hui (dimanche) on n'avait pas ce qu'il fallait. C'était difficile pour moi. J'avais une petite chance de pouvoir revenir, alors j'ai fait tous les soins que je pouvais. Encore aujourd'hui, je ne me sentais pas bien. Je voulais être là, même si ce n'est pas facile de perdre une finale. On va essayer de se souvenir de ces moments, de ce qu'on ressent à cet instant, et de l'utiliser pour devenir meilleurs l'an prochain. Maintenant, j'ai juste besoin de repos, pas d'opération chirurgicale ni même de parler à un médecin. »
Erik Spoelstra, entraîneur du Heat « Quoi qu'il arrive dans le futur, on se souviendra toute notre vie de cette année, de cette saison, de cette expérience de groupe » Erik Spoelstra (entraîneur du Miami Heat) : « Bravo aux Lakers. C'était un plaisir de partager le terrain avec eux et je veux les féliciter pour ce titre. Ils le méritent, ils sont allés chercher cette finale. Impossible de remercier assez la NBA pour toute cette expérience. Cela a été extraordinaire dans cette bulle. Faire partie de quelque chose d'historique comme cela est un honneur. Cela a été une année sans précédent et il a fallu que tout le monde y mette du sien. Quoi qu'il arrive dans le futur, on se souviendra toute notre vie de cette année, de cette saison, de cette expérience de groupe. On avait beaucoup de joueurs qui étaient loin d'être à 100 % dans cette finale, qui n'auraient pas dû entrer sur le terrain, mais ils voulaient le faire pour les autres. C'est pour ça que je suis déçu qu'on n'ait pas réussi à finir la saison avec une victoire. J'ai eu besoin de quelques minutes pour trouver les mots que j'allais dire à mes joueurs. Le vestiaire était très triste, comme vous pouvez l'imaginer, mais c'était un super groupe. Les souvenirs qui nous resteront dépassent le sportif. »
Goran Dragic (meneur du Miami Heat) : « Les dix derniers jours ont été un enfer pour moi (avec sa blessure au pied gauche) mais je voulais être sur le terrain pour aider mon équipe autant que possible. C'est comme ça... Les Lakers étaient meilleurs, mais on s'est battu, même si aujourd'hui (dimanche) on n'avait pas ce qu'il fallait. C'était difficile pour moi. J'avais une petite chance de pouvoir revenir, alors j'ai fait tous les soins que je pouvais. Encore aujourd'hui, je ne me sentais pas bien. Je voulais être là, même si ce n'est pas facile de perdre une finale. On va essayer de se souvenir de ces moments, de ce qu'on ressent à cet instant, et de l'utiliser pour devenir meilleurs l'an prochain. Maintenant, j'ai juste besoin de repos, pas d'opération chirurgicale ni même de parler à un médecin. »