Indiana a étouffé Washington dans sa salle pour prendre l'avantage dans leur duel du 2e tour des play-offs vendredi, tout comme Oklahoma City, vainqueur à Los Angeles des Clippers.
Surpris à domicile lors du match N.1 par les Wizards, les Pacers leur ont rendu la monnaie de leur pièce en dominant le match N.3 85 à 63.
Après un premier tour laborieux (4-3 contre Atlanta), les Pacers ont retrouvé l'autorité et la rigueur défensive qui leur ont permis de terminer à la 1re place de la conférence Est malgré une fin de saison régulière inquiétante.
Les Wizards ont flanché avec 17 ballons perdus et une réussite famélique (32,9% au tir, 25% à trois points).
Leur intérieur brésilien Nene qui avait tant pesé contre les Chicago Bulls au 1er tour n'a inscrit que 8 points (3 sur 14 au tir).
"Si on est arrivé jusque là, c'est grâce à notre défense et c'est ce qu'on a réussi à remettre en place ce soir", a apprécié Paul George, meilleur marqueur de la rencontre avec 23 points.
Les Pacers ont aussi retrouvé Roy Hibbert: très en vue lors du match N.2 avec 28 pts, le pivot a confirmé avec 14 pts et cinq rebonds, oubliant son piètre début de play-offs avec trois matches sans marquer le moindre point.
Avant le match N.4 dimanche, toujours à Washington, les Pacers mènent par deux victoires à une.
Changement d'atmosphère pour l'autre rencontre de la soirée avec un festival offensif, très spectaculaire et physique, indécis jusqu'au bout entre les Clippers et le Thunder.
Oklahoma City s'est imposé 118 à 112 en faisant la différence dans le 4e quart-temps, grâce à son formidable duo Russell Westbrook/Kevin Durant.
- 36 points pour Durant -
Mais Westbrook (23 pts, 8 rebonds, 13 passes) et Durant, sacré lundi meilleur joueur de la saison et auteur d'un 7e match à plus de 30 points depuis le début de la phase finale (36 pts, 8 rbds, 6 passes), ne sont pas les seuls joueurs du Thunder à avoir brillé.
Serge Ibaka a apporté sa contribution avec 22 points (9 sur 10 au tir) et six rebonds.
Dans les rangs des Clippers, Blake Griffin a inscrit 34 pts (plus 8 rebonds) et Chris Paul 21 pts (plus 16 passes), mais l'un et l'autre ont souffert physiquement, avec le nez en sang suite à un coup de coude pour le premier et un genou droit récalcitrant pour le second.
"C'est une équipe physique, on a abordé cette rencontre en mettant l'accent sur la rigueur défensive et cela a fait la différence", a souligné Westbrook qui a manqué pour deux rebonds un quatrième "triple-double" (trois catégories de statistiques à dix unités et plus) depuis le début des play-offs.
Avant le match N.4 dimanche, toujours dans leur salle, les Clippers sont menés par deux victoires à une.
Leur quotidien reste rythmé par les répercussions de l'affaire Sterling, leur propriétaire suspendu à vie par la NBA pour des propos racistes.
Ils ont un nouveau directeur général, nommé par la NBA et chargé de superviser la transition jusqu'à la vente --recommandée par la Ligue-- par Sterling.
L'octogénaire a par ailleurs justifié ses propos racistes par la jalousie que lui inspiraient les relations qu'entretenait son assistante avec d'autres hommes.
"Je parlais juste à une fille avec qui je voulais coucher", a expliqué dans une nouvelle conversation enregistrée rendue public par une site d'informations people le milliardaire de 81 ans à propos de la jeune femme de 31 ans.
AFP
Surpris à domicile lors du match N.1 par les Wizards, les Pacers leur ont rendu la monnaie de leur pièce en dominant le match N.3 85 à 63.
Après un premier tour laborieux (4-3 contre Atlanta), les Pacers ont retrouvé l'autorité et la rigueur défensive qui leur ont permis de terminer à la 1re place de la conférence Est malgré une fin de saison régulière inquiétante.
Les Wizards ont flanché avec 17 ballons perdus et une réussite famélique (32,9% au tir, 25% à trois points).
Leur intérieur brésilien Nene qui avait tant pesé contre les Chicago Bulls au 1er tour n'a inscrit que 8 points (3 sur 14 au tir).
"Si on est arrivé jusque là, c'est grâce à notre défense et c'est ce qu'on a réussi à remettre en place ce soir", a apprécié Paul George, meilleur marqueur de la rencontre avec 23 points.
Les Pacers ont aussi retrouvé Roy Hibbert: très en vue lors du match N.2 avec 28 pts, le pivot a confirmé avec 14 pts et cinq rebonds, oubliant son piètre début de play-offs avec trois matches sans marquer le moindre point.
Avant le match N.4 dimanche, toujours à Washington, les Pacers mènent par deux victoires à une.
Changement d'atmosphère pour l'autre rencontre de la soirée avec un festival offensif, très spectaculaire et physique, indécis jusqu'au bout entre les Clippers et le Thunder.
Oklahoma City s'est imposé 118 à 112 en faisant la différence dans le 4e quart-temps, grâce à son formidable duo Russell Westbrook/Kevin Durant.
- 36 points pour Durant -
Mais Westbrook (23 pts, 8 rebonds, 13 passes) et Durant, sacré lundi meilleur joueur de la saison et auteur d'un 7e match à plus de 30 points depuis le début de la phase finale (36 pts, 8 rbds, 6 passes), ne sont pas les seuls joueurs du Thunder à avoir brillé.
Serge Ibaka a apporté sa contribution avec 22 points (9 sur 10 au tir) et six rebonds.
Dans les rangs des Clippers, Blake Griffin a inscrit 34 pts (plus 8 rebonds) et Chris Paul 21 pts (plus 16 passes), mais l'un et l'autre ont souffert physiquement, avec le nez en sang suite à un coup de coude pour le premier et un genou droit récalcitrant pour le second.
"C'est une équipe physique, on a abordé cette rencontre en mettant l'accent sur la rigueur défensive et cela a fait la différence", a souligné Westbrook qui a manqué pour deux rebonds un quatrième "triple-double" (trois catégories de statistiques à dix unités et plus) depuis le début des play-offs.
Avant le match N.4 dimanche, toujours dans leur salle, les Clippers sont menés par deux victoires à une.
Leur quotidien reste rythmé par les répercussions de l'affaire Sterling, leur propriétaire suspendu à vie par la NBA pour des propos racistes.
Ils ont un nouveau directeur général, nommé par la NBA et chargé de superviser la transition jusqu'à la vente --recommandée par la Ligue-- par Sterling.
L'octogénaire a par ailleurs justifié ses propos racistes par la jalousie que lui inspiraient les relations qu'entretenait son assistante avec d'autres hommes.
"Je parlais juste à une fille avec qui je voulais coucher", a expliqué dans une nouvelle conversation enregistrée rendue public par une site d'informations people le milliardaire de 81 ans à propos de la jeune femme de 31 ans.
AFP