Le meneur américain Shaun Livingston, qui fut une des valeurs sûres du banc de Golden State, contribuant à la conquête des trois titres NBA remportés par les Warriors en 2015, 2017 et 2018, a annoncé vendredi sa retraite à 34 ans.
« Après quinze ans en NBA, je suis à la fois excité, triste, chanceux et reconnaissant. Il est difficile de résumer toutes les émotions liées à l’accomplissement de ses rêves », a déclaré Livingston sur son site Instagram, remerciant sa famille, ses proches, mais aussi ses coéquipiers, ses entraîneurs et les fans. Celui qui était autant réputé pour son attitude de gentleman sur le parquet que pour son efficace shoot à mi-distance et son intelligence de jeu, a d’abord été un miraculé du basket.
En 2007, trois ans après avoir été drafté par les Los Angeles Clippers, il a été victime d’une terrible blessure à un genou, qui a nécessité de longs mois de rééducation avant de pouvoir à nouveau marcher correctement. « Je n’étais pas censé être là. Quiconque a surmonté des obstacles sait la tension mentale et émotionnelle qu’il faut pour mener une telle bataille et pour inspirer les autres. + La blessure + m’a permis de me trouver et de me prouver, ainsi qu’au monde entier, que ces circonstances ne me définiraient pas », a-t-il écrit sur son réseau social.
Après 16 mois d’absence, il a finalement repris sa carrière qui l’a mené d’une saison à l’autre à Miami, Oklahoma City, Washington, Charlotte, Milwaukee, Cleveland et Brooklyn, avant d’enfin s’installer dans la rotation de Golden State, où il est devenu le remplaçant de la star Stephen Curry. Il a ainsi pris part aux cinq dernières finales NBA, avant que les Warriors décident finalement de ne pas le conserver cet été. « Ce qui me rend le plus fier, c’est que mon caractère, mes valeurs et ma foi ont été mis à l’épreuve et que j’ai persévéré », a conclu Livingston.
Son avenir pourrait rester près des parquets californiens puisque Steve Kerr, coach des Warriors a déclaré cet été « espérer le voir impliqué dans notre franchise pour les nombreuses années venir ».
« Après quinze ans en NBA, je suis à la fois excité, triste, chanceux et reconnaissant. Il est difficile de résumer toutes les émotions liées à l’accomplissement de ses rêves », a déclaré Livingston sur son site Instagram, remerciant sa famille, ses proches, mais aussi ses coéquipiers, ses entraîneurs et les fans. Celui qui était autant réputé pour son attitude de gentleman sur le parquet que pour son efficace shoot à mi-distance et son intelligence de jeu, a d’abord été un miraculé du basket.
En 2007, trois ans après avoir été drafté par les Los Angeles Clippers, il a été victime d’une terrible blessure à un genou, qui a nécessité de longs mois de rééducation avant de pouvoir à nouveau marcher correctement. « Je n’étais pas censé être là. Quiconque a surmonté des obstacles sait la tension mentale et émotionnelle qu’il faut pour mener une telle bataille et pour inspirer les autres. + La blessure + m’a permis de me trouver et de me prouver, ainsi qu’au monde entier, que ces circonstances ne me définiraient pas », a-t-il écrit sur son réseau social.
Après 16 mois d’absence, il a finalement repris sa carrière qui l’a mené d’une saison à l’autre à Miami, Oklahoma City, Washington, Charlotte, Milwaukee, Cleveland et Brooklyn, avant d’enfin s’installer dans la rotation de Golden State, où il est devenu le remplaçant de la star Stephen Curry. Il a ainsi pris part aux cinq dernières finales NBA, avant que les Warriors décident finalement de ne pas le conserver cet été. « Ce qui me rend le plus fier, c’est que mon caractère, mes valeurs et ma foi ont été mis à l’épreuve et que j’ai persévéré », a conclu Livingston.
Son avenir pourrait rester près des parquets californiens puisque Steve Kerr, coach des Warriors a déclaré cet été « espérer le voir impliqué dans notre franchise pour les nombreuses années venir ».