C'est en tout cas ce que souhaitent les autorités turques, qui ont décidé de s'adresser à l'organisation internationale de police criminelle, Interpol, pour le faire arrêter. Elles accusent toujours le basketteur d'appartenance à une "organisation terroriste".
Le parquet d'Istanbul a préparé une demande d'extradition ainsi qu'une demande d'émission par Interpol d'une "notice rouge", qui relaiera le mandat d'arrêt international délivré à l'encontre d'Enes Kanter. Il a également transmis les documents nécessaires aux autorités compétentes à Ankara, selon l'agence étatique de presse Anadolu.
En 2017, la Turquie avait déjà annulé le passeport du sportif et émis un mandat d'arrêt à son encontre, en raison de ses liens avec Fethullah Gülen, lui-même exilé aux Etats-Unis depuis une vingtaine d'années et ennemi juré du président turc.
Le parquet d'Istanbul a préparé une demande d'extradition ainsi qu'une demande d'émission par Interpol d'une "notice rouge", qui relaiera le mandat d'arrêt international délivré à l'encontre d'Enes Kanter. Il a également transmis les documents nécessaires aux autorités compétentes à Ankara, selon l'agence étatique de presse Anadolu.
En 2017, la Turquie avait déjà annulé le passeport du sportif et émis un mandat d'arrêt à son encontre, en raison de ses liens avec Fethullah Gülen, lui-même exilé aux Etats-Unis depuis une vingtaine d'années et ennemi juré du président turc.
Le 5 janvier dernier, Enes Kanter avait refusé de faire le voyage à Londres pour y disputer le match de NBA délocalisé de son équipe face aux Washington Wizards, par "peur de se faire tuer". Il craignait notamment la présence d'espions turcs dans la capitale anglaise.