L’attente commence à indisposer la famille de la balle orange à quelques mois de l’Afrobasket 2011 auquel doivent prendre part les deux sélections nationales. Il avait promis de marcher sur les pas de son prédécesseur. Il n’a pas su respecter une telle promesse. Pis, il affiche un mutisme qui indispose le «Sénégal du basket». Pourtant, lors de la passation de services, en novembre dernier, le Directeur technique national, Ado Sano avait «juré» de dévoiler les noms des entraîneurs nationaux avant la fin du mois. Mieux encore, cet expert de la Fiba qui avait déjà occupé le poste par le passé, avait promis de «poursuivre» le travail accompli par son prédécesseur, Ousseynou Ndiaga Diop. Que nenni ! «Je n’ai pas de nom, pas de visage, je suis très technique, je ne me focalise que sur les compétences, et l’on verra ce qu’on a sous la main pour travailler», disait Ado Sano.
Il avait également promis qu’il n’y aurait pas «beaucoup de changements». Et que les entraîneurs seraient nommés sur la base de leurs compétences. «Désormais, seule la compétence fera foi dans la nomination des entraîneurs nationaux. Je ne connais pas de nom, encore moins de visage. Je suis quelqu’un de très technique», disait-il. Normal pour quelqu’un qui a été évincé par l’ancien ministre des Sports, El Hadji Daouda Faye et rappelé par un président «désigné».
Seulement, au rythme où vont les choses, il sera difficile d’accorder désormais beaucoup de crédit aux propos et autres promesses du nouveau Dtn de la balle orange. Après deux mois d’attente, on attend toujours. Le Dtn n’a toujours pas respecté la parole donnée. Injoignable, Ado Sano serait, selon certaines sources, du côté de la France.
Quand on sait que les deux sélections nationales doivent participer aux prochains championnats d’Afrique de basket ball en août (Dames) et septembre (Hommes), il urge de régler ce premier chapitre de la feuille de route afin de pouvoir s’orienter sur le plan-programme de préparation. Car au-delà de la «simple» nomination des techniciens, la préparation des sélections nationales vaudra son pesant d’or lors de l’Afrobasket 2011. Autant pour les Lions que pour les Lionnes, championnes d’Afrique en titre. «Il y a le choix des entraîneurs et il faut tout un programme de détection à l’étranger, de stage sur le plan local, la mise en place de systèmes de jeu. Cela nécessite que les gens se mettent au travail le plus rapidement possible», conseille une source proche de la Direction technique nationale.
Pendant ce temps, la priorité semble être orientée ailleurs du côté de l’instance fédérale. Faisant une sortie «exclusive» sur les ondes de la Radio futurs médias (Rfm) hier, le patron de la balle orange se livre à des «promesses» de construction d’un nouveau siège pour la balle orange. Certes, elle en a besoin, mais les priorités seraient quand même ailleurs. Surtout pour un pays de basket sans coaches nationaux depuis cinq mois. N’est-ce pas Baba ?
Il avait également promis qu’il n’y aurait pas «beaucoup de changements». Et que les entraîneurs seraient nommés sur la base de leurs compétences. «Désormais, seule la compétence fera foi dans la nomination des entraîneurs nationaux. Je ne connais pas de nom, encore moins de visage. Je suis quelqu’un de très technique», disait-il. Normal pour quelqu’un qui a été évincé par l’ancien ministre des Sports, El Hadji Daouda Faye et rappelé par un président «désigné».
Seulement, au rythme où vont les choses, il sera difficile d’accorder désormais beaucoup de crédit aux propos et autres promesses du nouveau Dtn de la balle orange. Après deux mois d’attente, on attend toujours. Le Dtn n’a toujours pas respecté la parole donnée. Injoignable, Ado Sano serait, selon certaines sources, du côté de la France.
Quand on sait que les deux sélections nationales doivent participer aux prochains championnats d’Afrique de basket ball en août (Dames) et septembre (Hommes), il urge de régler ce premier chapitre de la feuille de route afin de pouvoir s’orienter sur le plan-programme de préparation. Car au-delà de la «simple» nomination des techniciens, la préparation des sélections nationales vaudra son pesant d’or lors de l’Afrobasket 2011. Autant pour les Lions que pour les Lionnes, championnes d’Afrique en titre. «Il y a le choix des entraîneurs et il faut tout un programme de détection à l’étranger, de stage sur le plan local, la mise en place de systèmes de jeu. Cela nécessite que les gens se mettent au travail le plus rapidement possible», conseille une source proche de la Direction technique nationale.
Pendant ce temps, la priorité semble être orientée ailleurs du côté de l’instance fédérale. Faisant une sortie «exclusive» sur les ondes de la Radio futurs médias (Rfm) hier, le patron de la balle orange se livre à des «promesses» de construction d’un nouveau siège pour la balle orange. Certes, elle en a besoin, mais les priorités seraient quand même ailleurs. Surtout pour un pays de basket sans coaches nationaux depuis cinq mois. N’est-ce pas Baba ?