Maleye Ndoye Capitaine des LIONS
Croyez-vous qu’avec l’arrivée de Sam Vincent beaucoup de choses vont changer dans l’équipe ?
Oui, bien sûr qu’il va changer beaucoup de choses. Déjà ce qu’il nous a dit à la mi-temps (face à l’Autriche) était vrai. C’est un homme autoritaire et qui connaît bien le basket. Il va beaucoup nous aider dans le jeu, mentalement et psychologiquement. Il a dit une chose très importante, il faut que tous les joueurs connaissent leur rôle et le jouent. Si chacun fait bien son travail, on va gagner facilement. Mais là il y a beaucoup de joueurs qui veulent tout faire à la fois et cela ne peut pas bien marcher comme ça. Il faut que chacun respecte son rôle. Chacun doit savoir ce qu’il peut et le faire à 100 % au lieu de faire quelque chose qu’il ne peut pas. C’est le secteur qu’il faudra améliorer. Nous sommes en préparation et il faudra continuer à travailler. Je pense que d’ici la fin beaucoup de choses vont s’améliorer.
On ne vous a pas trop senti dans le match
(Il hésite).C’était un match pas très difficile et on l’avait en main. Mais il y a eu beaucoup de précipitation. Nous avons eu beaucoup de pertes de balles et cela nous a coûté très cher. Nous l’avons senti dans le dernier quart temps. Dorénavant, il faut que l’on commence à jouer sereinement, plus tranquillement et savoir donner la balle à nos scoreurs. il faut par exemple que l’on essaye de donner la balle pour que nos intérieurs Malick Badiane ou Pape Laye Sow pèsent un peu. Car si on continue comme ça, nous allons seulement prendre des tirs extérieurs et ce n’est pas tout le temps qu’on les marque. On l’a vérifié aujourd’hui et ça n’a pas marché pour moi. Donc, il faut qu’on essaie de travailler la balle à l’intérieur et créer des fautes, marquer les lancers-francs et faire jouer nos pivots. Cela permettra à ces derniers de se donner en défense. Parce que s’ils n’ont pas la balle en attaque, ils ne vont pas se donner à 100 % en défense. C’est le secteur où vraiment il faut développer dans le jeu.
On mène toujours pour se faire rattraper à la fin. Qu’est ce qui explique que le Sénégal n’arrive jamais à gérer son capital avance ?
C’est ce que je disais tout à l’heure. Dès que l’on mène, on commence à se précipiter pour rien, on veut gagner coûte que coûte. C’est là que l’on fait des erreurs monumentales qu’il ne faudrait plus faire. Je pense que si on prend notre temps et que l’on continue à jouer comme on le fait dans les trois premiers quarts temps, on peut gérer les matchs et les gagner facilement. Mais dès que le match démarre, tout le monde essaye de gagner le match à son compte et l’on fait beaucoup d’erreurs. Il faudrait que l’on discute sur cela pour savoir à qui donner la balle et exécuter les consignes que donne le coach. C’est seulement comme ça que l’on pourra gagner les matchs.
Oui, bien sûr qu’il va changer beaucoup de choses. Déjà ce qu’il nous a dit à la mi-temps (face à l’Autriche) était vrai. C’est un homme autoritaire et qui connaît bien le basket. Il va beaucoup nous aider dans le jeu, mentalement et psychologiquement. Il a dit une chose très importante, il faut que tous les joueurs connaissent leur rôle et le jouent. Si chacun fait bien son travail, on va gagner facilement. Mais là il y a beaucoup de joueurs qui veulent tout faire à la fois et cela ne peut pas bien marcher comme ça. Il faut que chacun respecte son rôle. Chacun doit savoir ce qu’il peut et le faire à 100 % au lieu de faire quelque chose qu’il ne peut pas. C’est le secteur qu’il faudra améliorer. Nous sommes en préparation et il faudra continuer à travailler. Je pense que d’ici la fin beaucoup de choses vont s’améliorer.
On ne vous a pas trop senti dans le match
(Il hésite).C’était un match pas très difficile et on l’avait en main. Mais il y a eu beaucoup de précipitation. Nous avons eu beaucoup de pertes de balles et cela nous a coûté très cher. Nous l’avons senti dans le dernier quart temps. Dorénavant, il faut que l’on commence à jouer sereinement, plus tranquillement et savoir donner la balle à nos scoreurs. il faut par exemple que l’on essaye de donner la balle pour que nos intérieurs Malick Badiane ou Pape Laye Sow pèsent un peu. Car si on continue comme ça, nous allons seulement prendre des tirs extérieurs et ce n’est pas tout le temps qu’on les marque. On l’a vérifié aujourd’hui et ça n’a pas marché pour moi. Donc, il faut qu’on essaie de travailler la balle à l’intérieur et créer des fautes, marquer les lancers-francs et faire jouer nos pivots. Cela permettra à ces derniers de se donner en défense. Parce que s’ils n’ont pas la balle en attaque, ils ne vont pas se donner à 100 % en défense. C’est le secteur où vraiment il faut développer dans le jeu.
On mène toujours pour se faire rattraper à la fin. Qu’est ce qui explique que le Sénégal n’arrive jamais à gérer son capital avance ?
C’est ce que je disais tout à l’heure. Dès que l’on mène, on commence à se précipiter pour rien, on veut gagner coûte que coûte. C’est là que l’on fait des erreurs monumentales qu’il ne faudrait plus faire. Je pense que si on prend notre temps et que l’on continue à jouer comme on le fait dans les trois premiers quarts temps, on peut gérer les matchs et les gagner facilement. Mais dès que le match démarre, tout le monde essaye de gagner le match à son compte et l’on fait beaucoup d’erreurs. Il faudrait que l’on discute sur cela pour savoir à qui donner la balle et exécuter les consignes que donne le coach. C’est seulement comme ça que l’on pourra gagner les matchs.
Le Basket sous l’ère Alioune Badara Diagne: Quatre participations, quatre échecs
