Les Lioncelles à l'entraînement
L'équipe nationale féminine des 20 ans et moins qui prépare actuellement la Coupe d'Afrique des nations prévue du 2 au 10 décembre prochain à Maputo, a été forcée de reporter son stage interne. Devant débuter dans la soirée d'hier, les ‘filles’ d'Ousseynou Ndiaga Diop ont dû finalement passer la nuit à la maison familiale. ‘Aujourd'hui (hier), normalement, nous devions être en regroupement interne. Au moment où nous en discutons, je n'ai pas encore le feu vert. A ce niveau, cela ne pardonne pas’, sonne l'alerte l'entraîneur national. Avant d'ajouter : ‘Si on veut une bonne participation, il est impératif qu'à partir de demain (aujourd'hui), le groupe soit en regroupement. Sinon, nous risquons de ne pas atteindre nos objectifs de préparation’.
Un problème d'hébergement serait à l'origine du retard accusé dans la préparation. ‘Nous pensions rejoindre aujourd'hui le local où devait s'effectuer le regroupement. Lequel, je ne sais pas. Il semble que les gens sont en réunion au niveau du département pour décanter la situation’, espère Ousseynou Ndiaga Diop.
En dehors de cette fausse note de dernière minute, les dix jours de stage externe n'ont cependant pas été mauvais. ‘Nous avons travaillé avec le strict minimum. Aujourd'hui, il est quand même important que les filles entrent en regroupement pour qu'on puisse augmenter le temps de travail et les mettre dans les conditions optimales de récupération’, recommande le coach. Au cours de ces dix jours de stage externe, l'accent aura été mis sur le plan physico-technique et sur la mise en place de nos structures en défense et en attaque. ‘Aujourd'hui, il y a un léger mieux au plan physique. L'équipe tient au moins une bonne séance d'entraînement de deux heures. On ne sent plus de déconcentration et on sent moins de fatigue’, se réjouit le technicien qui avoue qu'‘au plan technique, à force de contacts avec le ballon, elles ont commencé à retrouver leur sensation’.
Cependant, des réglages doivent être apportés sur le plan de l'adresse et sur les automatismes. ‘La structure est en place. Elles comprennent et ont une conscience du jeu sans ballon. Il reste à parfaire tout cela’, décortique le coach. D'ailleurs, au menu de ce qui devait être la dernière séance externe d'hier et qui a duré deux tours d'horloge, les ‘Lioncelles’ ont travaillé sur ‘l'organisation collective de l'attaque’. Une reprise en main au plan physique et offensif, histoire de mettre le groupe au même niveau. ‘Deux joueuses étaient absentes lors des dernières séances pour raison de championnat de deuxième division. Il fallait revoir cela pour les mettre dans le bain. Tout comme Ndèye Sène qui avait bénéficié d'une permission à l'occasion de la dernière séance’, explique Ousseynou Ndiaga Diop.
Dans la dernière ligne droite, les ‘Lioncelles’ effectueront une révision sur le travail déjà fait, avant de jouer des matches amicaux contre des sparring partners que le coach a promis de déterminer dans les prochains jours afin de se rapprocher de plus en plus des conditions de la haute compétition.
Un problème d'hébergement serait à l'origine du retard accusé dans la préparation. ‘Nous pensions rejoindre aujourd'hui le local où devait s'effectuer le regroupement. Lequel, je ne sais pas. Il semble que les gens sont en réunion au niveau du département pour décanter la situation’, espère Ousseynou Ndiaga Diop.
En dehors de cette fausse note de dernière minute, les dix jours de stage externe n'ont cependant pas été mauvais. ‘Nous avons travaillé avec le strict minimum. Aujourd'hui, il est quand même important que les filles entrent en regroupement pour qu'on puisse augmenter le temps de travail et les mettre dans les conditions optimales de récupération’, recommande le coach. Au cours de ces dix jours de stage externe, l'accent aura été mis sur le plan physico-technique et sur la mise en place de nos structures en défense et en attaque. ‘Aujourd'hui, il y a un léger mieux au plan physique. L'équipe tient au moins une bonne séance d'entraînement de deux heures. On ne sent plus de déconcentration et on sent moins de fatigue’, se réjouit le technicien qui avoue qu'‘au plan technique, à force de contacts avec le ballon, elles ont commencé à retrouver leur sensation’.
Cependant, des réglages doivent être apportés sur le plan de l'adresse et sur les automatismes. ‘La structure est en place. Elles comprennent et ont une conscience du jeu sans ballon. Il reste à parfaire tout cela’, décortique le coach. D'ailleurs, au menu de ce qui devait être la dernière séance externe d'hier et qui a duré deux tours d'horloge, les ‘Lioncelles’ ont travaillé sur ‘l'organisation collective de l'attaque’. Une reprise en main au plan physique et offensif, histoire de mettre le groupe au même niveau. ‘Deux joueuses étaient absentes lors des dernières séances pour raison de championnat de deuxième division. Il fallait revoir cela pour les mettre dans le bain. Tout comme Ndèye Sène qui avait bénéficié d'une permission à l'occasion de la dernière séance’, explique Ousseynou Ndiaga Diop.
Dans la dernière ligne droite, les ‘Lioncelles’ effectueront une révision sur le travail déjà fait, avant de jouer des matches amicaux contre des sparring partners que le coach a promis de déterminer dans les prochains jours afin de se rapprocher de plus en plus des conditions de la haute compétition.
Le tableau de la Coupe du Monde féminine FIBA 2018 est connu ( Espagne 22 au 30 septembre 2018)
