Monsieur Dia, quel rôle avez-vous joué dans le stage de préparation des Lionnes en France ?
Au mois de mars, le coach Tapha Gaye m’avait demandé de lui trouver un grand tournoi. C’est ce que j’ai fait. C’est ainsi que j’ai trouvé un tournoi à Mondeville, où les Lionnes devaient rencontrer à Deauville l’équipe de France et à Mondeville pour rencontrer la Pologne et la France une deuxième fois. Quand j’ai trouvé ça, j’ai envoyé un communiqué à la fédération sénégalaise. L’entraîneur Tapha Gaye était très satisfait de cette opportunité. À un moment, le staff technique est venu en France pour superviser les Sénégalaises qui y évoluent. Le Dtn et le coach sont venus dans mon bureau. Ils m’ont dit qu’ils voulaient séjourner à Temple-sur-Lot. Je leur ai fait savoir que Temple-sur-Lot sera occupé par le Mali à cette période.
Quelle a été leur réaction ?
Je les ai avertis depuis le mois de mars, mais ils ont fait le choix d’aller à Temple. La proposition que je leur avais faite c’était au lieu de Temple, d’aller vers le nord de la France. Là-bas, après le tournoi de Mondeville, l’équipe pouvait rester au nord et avoir la possibilité de jouer avec des clubs de la ligue féminine du championnat français. Les Lionnes pouvaient même venir jusqu’au centre de la France pour jouer contre une équipe qui est l’ossature de l’équipe nationale de la France. L’entraîneur Tapha Gaye était partant, mais il m’a dit que le décideur, c’est le directeur technique, Ousseynou Ndiaga Diop. Tapha Gaye en a parlé au Dtn, ce dernier, lui a fait savoir qu’il préfère confier cette mission de gestion de la préparation de l’équipe en France à une structure bien organisée au lieu de la donner à un individu. On s’est arrêté là. Après, vu ce qui s’est passé, ils sont partis à Temple. Ils ne sont même pas arrivés à Temple quand ils ont quitté le tournoi de Mondeville parce qu’ils étaient à Caen dans un hôtel. C’est après qu’ils se sont retrouvés à Temple, dans des situations que l’on connaît.
Le coach Tapha Gaye vous avait contacté pour une prestation. Qu’aviez-vous proposé de mieux que Temple ?
J’allais mettre l’équipe dans des situations de préparation adaptées. Il y a des années, il y avait des couacs dans l’équipe nationale qui venait jouer avec des équipes de National 3, de région, ou des équipes de département. C’était le cas lorsque l’équipe partait au Mondial du Brésil. C’est pourquoi cette fois, j’ai voulu apporter mon aide parce qu’il est inadmissible pour une équipe nationale qui prépare un Mondial de jouer avec des équipes de second niveau. J’ai alors proposé des matches d’entraînement avec des équipes de ligue féminine parce qu’elles sont composées d’étrangères, de joueuses nationales, d’Européennes de l’Est, d’Américaines, etc.
Qu’aviez-vous proposé de mieux que Temple pour le logement et la restauration ?
Ma proposition n’était pas une prestation, mais une aide. Je ne demandais rien. J’ai demandé par rapport au budget qu’est-ce qu’il fallait faire, mais je ne demandais rien. Je connais des personnes du milieu, surtout dans le Nord, qui pouvaient aider l’équipe à une bonne préparation. Je ne faisais pas de prestation. J’ai intégré le Sénégal dans le tournoi de Mondeville sans rien demander. C’est moi qui ai réglé le problème à la Direction technique nationale française. C’est dans ce tournoi que les Lionnes ont rencontré deux fois l’équipe nationale de France et la Pologne une fois. Après, j’ai eu un retour du coach qui m’a remercié pour avoir intégré le Sénégal dans ce tournoi.
Au mois de mars, le coach Tapha Gaye m’avait demandé de lui trouver un grand tournoi. C’est ce que j’ai fait. C’est ainsi que j’ai trouvé un tournoi à Mondeville, où les Lionnes devaient rencontrer à Deauville l’équipe de France et à Mondeville pour rencontrer la Pologne et la France une deuxième fois. Quand j’ai trouvé ça, j’ai envoyé un communiqué à la fédération sénégalaise. L’entraîneur Tapha Gaye était très satisfait de cette opportunité. À un moment, le staff technique est venu en France pour superviser les Sénégalaises qui y évoluent. Le Dtn et le coach sont venus dans mon bureau. Ils m’ont dit qu’ils voulaient séjourner à Temple-sur-Lot. Je leur ai fait savoir que Temple-sur-Lot sera occupé par le Mali à cette période.
Quelle a été leur réaction ?
Je les ai avertis depuis le mois de mars, mais ils ont fait le choix d’aller à Temple. La proposition que je leur avais faite c’était au lieu de Temple, d’aller vers le nord de la France. Là-bas, après le tournoi de Mondeville, l’équipe pouvait rester au nord et avoir la possibilité de jouer avec des clubs de la ligue féminine du championnat français. Les Lionnes pouvaient même venir jusqu’au centre de la France pour jouer contre une équipe qui est l’ossature de l’équipe nationale de la France. L’entraîneur Tapha Gaye était partant, mais il m’a dit que le décideur, c’est le directeur technique, Ousseynou Ndiaga Diop. Tapha Gaye en a parlé au Dtn, ce dernier, lui a fait savoir qu’il préfère confier cette mission de gestion de la préparation de l’équipe en France à une structure bien organisée au lieu de la donner à un individu. On s’est arrêté là. Après, vu ce qui s’est passé, ils sont partis à Temple. Ils ne sont même pas arrivés à Temple quand ils ont quitté le tournoi de Mondeville parce qu’ils étaient à Caen dans un hôtel. C’est après qu’ils se sont retrouvés à Temple, dans des situations que l’on connaît.
Le coach Tapha Gaye vous avait contacté pour une prestation. Qu’aviez-vous proposé de mieux que Temple ?
J’allais mettre l’équipe dans des situations de préparation adaptées. Il y a des années, il y avait des couacs dans l’équipe nationale qui venait jouer avec des équipes de National 3, de région, ou des équipes de département. C’était le cas lorsque l’équipe partait au Mondial du Brésil. C’est pourquoi cette fois, j’ai voulu apporter mon aide parce qu’il est inadmissible pour une équipe nationale qui prépare un Mondial de jouer avec des équipes de second niveau. J’ai alors proposé des matches d’entraînement avec des équipes de ligue féminine parce qu’elles sont composées d’étrangères, de joueuses nationales, d’Européennes de l’Est, d’Américaines, etc.
Qu’aviez-vous proposé de mieux que Temple pour le logement et la restauration ?
Ma proposition n’était pas une prestation, mais une aide. Je ne demandais rien. J’ai demandé par rapport au budget qu’est-ce qu’il fallait faire, mais je ne demandais rien. Je connais des personnes du milieu, surtout dans le Nord, qui pouvaient aider l’équipe à une bonne préparation. Je ne faisais pas de prestation. J’ai intégré le Sénégal dans le tournoi de Mondeville sans rien demander. C’est moi qui ai réglé le problème à la Direction technique nationale française. C’est dans ce tournoi que les Lionnes ont rencontré deux fois l’équipe nationale de France et la Pologne une fois. Après, j’ai eu un retour du coach qui m’a remercié pour avoir intégré le Sénégal dans ce tournoi.