Annoncé depuis juin dernier, les contrats des entraîneurs nationaux des équipes féminines et masculines de basket ne sont toujours pas signés. Dans un communiqué, la Fédération sénégalaise de basket avait pourtant informé de la nomination du trio Cheikh Sarr-Parfait Adjivon-Raoul Toupane sur le banc des garçons et de celle de Moussa Touré chez les filles, avec pour adjoint Ben Abdallah Diagne. Depuis, les techniciens sénégalais attendent l’officialisation de leurs contrats.
Joint en début de soirée d’hier, l’un des techniciens, sous le couvert de l’anonymat, se désole de la situation. «On attend toujours. On est nommé, mais voilà, rien ne bouge, alors qu’on devait passer à autre chose depuis longtemps. Malheureusement, c’est toujours comme ça dans ce pays. On veut être au dessus de tout le monde, mais on refuse de sortir de l’informel dans lequel nous évoluons depuis des années», regrette notre source.
Les plans-programmes ficelés. Au niveau des hommes, le constat est le même. Malgré un plan-programme bien ficelé et déjà présenté à la Direction technique nationale, rien n’est fait. «Tout le travail qui devait être fait, l’a été. Les gens se sont beaucoup donnés pour que le travail commence à temps en prenant en compte chaque détail pour mettre les équipes dans de bonnes conditions. Malheureusement, c’est toujours le statu quo», se désole ce technicien. Dans le plan-programme ficelé par le staff technique des Lions, on parle d’une mission de prospection en Europe, aux Etats-Unis, mais aussi dans certains pays du Maghreb.
Quant au coach des filles, Moussa Touré, dont l’objectif assigné est de remporter la prochaine Can 2013 prévue en septembre à Abidjan, il avait aussi déroulé un programme rassurant. Dans un entretien qu’il avait accordé au Quotidien, au lendemain de sa nomination, le coach du club de Nabeul (première division tunisienne) déclarait : «Le Sénégal a l’habitude de jouer les grands rôles. Il faut essayer de tout faire pour aller à la reconquête du titre africain en 2013 et essayer de qualifier l’équipe au championnat du monde. Il faut dans ce cas mettre en place une Equipe nationale digne de ce nom en travaillant à la base, avoir une formation unifiée pour toutes les catégories pour qu’on puisse avoir une identité», proposait le technicien sénégalais. Seulement, à sept mois de la Can, il attend, à l’image de ses autres collègues, d’être édifié sur son avenir avec les Lionnes.
Au-delà des techniciens, la situation actuelle pourrait également influer sur la participation de certains internationaux ciblés par les coaches. C’est le cas au niveau des hommes avec l’histoire des assurances et autres camps de basket organisés durant les périodes de vacances. «Il y a beaucoup de joueurs qui s’interrogent sur leur éventuelle participation à la prochaine Can. Ils se posent des questions sur la prise en charge de leur assurance. Tant que les coaches n’ont pas signé leurs contrats, ils ne peuvent pas disposer de réponses précises là-dessus. Et pourtant, ils sont nombreux à vouloir disputer la prochaine Can», se désole un fédéral.
Même situation chez les U19. La situation est la même pour les staffs U19 filles et Garçons. A ce niveau également, les techniciens attendent eux aussi de signer leurs contrats. Devant représenter le Sénégal aux prochains championnats du monde de basket qui se tiendront à Prague (République Tchèque) du 27 juin au 7 juillet 2013, les staffs des Lionceaux et Lioncelles ne sont pas non plus édifiés sur leur sort. Autant de lenteurs qui risquent de compromettre les plans de préparation des différentes sélections. Un dossier qui interpelle les responsables de la Fédération mais aussi ceux du ministère des Sports.
Toutefois, selon une source proche de l’instance fédérale, «les choses avanceraient dans le bon sens. J’ai appris que la Direction technique nationale travaille sur la situation des entraîneurs et veut prendre les devants quant à une bonne préparation des prochaines campagnes des Equipes nationales.»
Joint en début de soirée d’hier, l’un des techniciens, sous le couvert de l’anonymat, se désole de la situation. «On attend toujours. On est nommé, mais voilà, rien ne bouge, alors qu’on devait passer à autre chose depuis longtemps. Malheureusement, c’est toujours comme ça dans ce pays. On veut être au dessus de tout le monde, mais on refuse de sortir de l’informel dans lequel nous évoluons depuis des années», regrette notre source.
Les plans-programmes ficelés. Au niveau des hommes, le constat est le même. Malgré un plan-programme bien ficelé et déjà présenté à la Direction technique nationale, rien n’est fait. «Tout le travail qui devait être fait, l’a été. Les gens se sont beaucoup donnés pour que le travail commence à temps en prenant en compte chaque détail pour mettre les équipes dans de bonnes conditions. Malheureusement, c’est toujours le statu quo», se désole ce technicien. Dans le plan-programme ficelé par le staff technique des Lions, on parle d’une mission de prospection en Europe, aux Etats-Unis, mais aussi dans certains pays du Maghreb.
Quant au coach des filles, Moussa Touré, dont l’objectif assigné est de remporter la prochaine Can 2013 prévue en septembre à Abidjan, il avait aussi déroulé un programme rassurant. Dans un entretien qu’il avait accordé au Quotidien, au lendemain de sa nomination, le coach du club de Nabeul (première division tunisienne) déclarait : «Le Sénégal a l’habitude de jouer les grands rôles. Il faut essayer de tout faire pour aller à la reconquête du titre africain en 2013 et essayer de qualifier l’équipe au championnat du monde. Il faut dans ce cas mettre en place une Equipe nationale digne de ce nom en travaillant à la base, avoir une formation unifiée pour toutes les catégories pour qu’on puisse avoir une identité», proposait le technicien sénégalais. Seulement, à sept mois de la Can, il attend, à l’image de ses autres collègues, d’être édifié sur son avenir avec les Lionnes.
Au-delà des techniciens, la situation actuelle pourrait également influer sur la participation de certains internationaux ciblés par les coaches. C’est le cas au niveau des hommes avec l’histoire des assurances et autres camps de basket organisés durant les périodes de vacances. «Il y a beaucoup de joueurs qui s’interrogent sur leur éventuelle participation à la prochaine Can. Ils se posent des questions sur la prise en charge de leur assurance. Tant que les coaches n’ont pas signé leurs contrats, ils ne peuvent pas disposer de réponses précises là-dessus. Et pourtant, ils sont nombreux à vouloir disputer la prochaine Can», se désole un fédéral.
Même situation chez les U19. La situation est la même pour les staffs U19 filles et Garçons. A ce niveau également, les techniciens attendent eux aussi de signer leurs contrats. Devant représenter le Sénégal aux prochains championnats du monde de basket qui se tiendront à Prague (République Tchèque) du 27 juin au 7 juillet 2013, les staffs des Lionceaux et Lioncelles ne sont pas non plus édifiés sur leur sort. Autant de lenteurs qui risquent de compromettre les plans de préparation des différentes sélections. Un dossier qui interpelle les responsables de la Fédération mais aussi ceux du ministère des Sports.
Toutefois, selon une source proche de l’instance fédérale, «les choses avanceraient dans le bon sens. J’ai appris que la Direction technique nationale travaille sur la situation des entraîneurs et veut prendre les devants quant à une bonne préparation des prochaines campagnes des Equipes nationales.»