Baba Tandian - Photo le Quotidien
Perché du haut de la tribune officielle, Tandian a donné ordre à un des membres de l’organisation d’évacuer le journaliste de Waa Sports.
Le président de la Fédération a ainsi remis cela après sa décision prise d’interdire l’accès du stadium Marius Ndiaye au confrère qui aurait fait un article pas à son goût. Malgré l’indignation de l’Anps qui avait publié un communiqué pour condamner cette mesure «autoritaire», Tandian a persisté samedi en demandant à son émissaire de faire dégager le journaliste. Les confrères font bloc autour de Mouhamed Coulibaly et refusent une telle dérive. Une attitude qui met Tandian dans tous ses états. De sa place sur la tribune officielle, on peut l’apercevoir agité, chuchotant de gauche à droite et balançant même les bras par moment.
Comme pour laver l’affront qui lui est fait, il instruit la police de s’en occuper. Alors vient un policier préposé à la sécurité pour signifier à Coulibaly l’ordre qu’il a reçu de le faire sortir de la salle. Pour éviter tout trouble, le journaliste est sur le point de s’exécuter quand les confrères le lui ont interdit. «Tu ne bouges pas d’ici parce que tu fais ton travail», lui signifie-t-on. Les discussions entamées avec les Forces de l’ordre pour leur faire comprendre le non fondé de la décision du comité d’organisation n’aboutissent pas. Les journalistes sont excédés et certains esprits même s’échauffent. Comme un seul homme, tout le monde, à l’exception de la 2Stv, de la Rfm et de Sud fm, qui avaient déjà commencé leur direct, a suivi Coulibaly dehors. Le mot d’ordre est donné. «Que personne ne retourne dans la salle pour couvrir le match», s’accorde-t-on. Informé par téléphone de la situation, le président de l’Anps a soutenu la décision des journalistes et demandé la saisine d’un huissier de justice pour le constat. Par la suite, les journalistes eux ont vidé les lieux.
Le président de la Fédération a ainsi remis cela après sa décision prise d’interdire l’accès du stadium Marius Ndiaye au confrère qui aurait fait un article pas à son goût. Malgré l’indignation de l’Anps qui avait publié un communiqué pour condamner cette mesure «autoritaire», Tandian a persisté samedi en demandant à son émissaire de faire dégager le journaliste. Les confrères font bloc autour de Mouhamed Coulibaly et refusent une telle dérive. Une attitude qui met Tandian dans tous ses états. De sa place sur la tribune officielle, on peut l’apercevoir agité, chuchotant de gauche à droite et balançant même les bras par moment.
Comme pour laver l’affront qui lui est fait, il instruit la police de s’en occuper. Alors vient un policier préposé à la sécurité pour signifier à Coulibaly l’ordre qu’il a reçu de le faire sortir de la salle. Pour éviter tout trouble, le journaliste est sur le point de s’exécuter quand les confrères le lui ont interdit. «Tu ne bouges pas d’ici parce que tu fais ton travail», lui signifie-t-on. Les discussions entamées avec les Forces de l’ordre pour leur faire comprendre le non fondé de la décision du comité d’organisation n’aboutissent pas. Les journalistes sont excédés et certains esprits même s’échauffent. Comme un seul homme, tout le monde, à l’exception de la 2Stv, de la Rfm et de Sud fm, qui avaient déjà commencé leur direct, a suivi Coulibaly dehors. Le mot d’ordre est donné. «Que personne ne retourne dans la salle pour couvrir le match», s’accorde-t-on. Informé par téléphone de la situation, le président de l’Anps a soutenu la décision des journalistes et demandé la saisine d’un huissier de justice pour le constat. Par la suite, les journalistes eux ont vidé les lieux.