Le plus âgé des deux, Sim, s’est déjà fait assez connaître en étant recruté par l’université de Xavier (mais sans avoir encore signé la lettre d’engagement car il n’est pas encore totalement sûr de passer à l’étage supérieur, se donnant l’option de rester une année de plus en High School), un « college » assez honorable sur la scène NCAA avec des apparitions régulières dans le Tournoi (premier de la Conférence Atlantic 10 la saison dernière). Il intéresse aussi d’autres universités comme Georgetown, West Virginia ou Syracuse.
Malgré ses lacunes physiques et sa difficulté à se mouvoir (il vient de perdre 18 kilos mais déclare devoir en perdre encore 15), le pivot qui jouait au lycée à Huntington Prep, dans l’Etat de Virginie Occidentale impressionne par sa taille et son gabarit, mais aussi par sa technique.
Le natif de Toronto reste un adolescent très humble, discret et au sens de l’humour affirmé mais il pourrait vite devenir une icône mondiale s’il parvenait à maîtriser ses problèmes de poids et a développer un jeu lui valant une place dans la grande Ligue.
Malgré ses lacunes physiques et sa difficulté à se mouvoir (il vient de perdre 18 kilos mais déclare devoir en perdre encore 15), le pivot qui jouait au lycée à Huntington Prep, dans l’Etat de Virginie Occidentale impressionne par sa taille et son gabarit, mais aussi par sa technique.
« Beaucoup de ses problèmes proviennent de son problème de poids mais une fois qu’il aura perdu les kilos nécessaires, il s’améliorera. Il a encore du travail à faire au niveau des mouvements latéraux mais il sait jouer et il a de bonnes mains et une bonne technique de pied », a expliqué son coach de lycée, Rob Fulford.L’Université de Xavier compte en tout cas sur lui et se serait déjà renseigné avec les entraîneurs de Yao sur les exercices et techniques à développer avec un tel gabarit, eux qui comptent déjà dans leur rang Kenny Frease, un 7-footer en progression.
Le natif de Toronto reste un adolescent très humble, discret et au sens de l’humour affirmé mais il pourrait vite devenir une icône mondiale s’il parvenait à maîtriser ses problèmes de poids et a développer un jeu lui valant une place dans la grande Ligue.
« Il pourrait vraiment aider au développement du jeu dans ce pays mais d’abord, il doit émerger ici. Il n’a encore rien fait », estime l’analyste d’ESPN, Paul BiancardiNéanmoins, sa taille devrait lui permettre de toute façon de s’affirmer comme, au minimum, un spécialiste défensif qui aura un impact, qu’il soit physique ou psychologique.
« Quand il fait faute sur vous, ça vous fait mal », précise Biancardi.Celui dont les matches sont suivis par le journal indien Punjab (région du Nord de l’Inde dont sa famille est originaire) de Toronto, le Parvasi, et par l’édition indienne de Sports Illustrated, sera surement bientôt une attraction, non plus seulement par sa taille mais aussi par son nom. Il ne reste plus qu’a espérer que son physique ne lui jouera pas autant de tours qu’à l’autre icône internationale asiatique, à la carrière trop vite écourtée.
SIM BHULLAR
TANVEER BHULLAR