Denver Nuggets-Dallas Mavericks: 124-110
(Denver remporte la série 4-1)
Chauncey Billups a rempli sa mission. Echangé avec Allen Iverson en novembre dernier, l'ancien meneur des Pistons a apporté à sa ville natale la cohérence indispensable pour accéder à la finale de conférence cette saison. Le meneur en profite d'ailleurs pour accéder à sa septième finale de Conférence de rang, une performance résussie par seulement quatre joueurs: Magic Johnson, Michael Cooper, Kareem Abdul-Jabbar and Kurt Rambis, tous des Lakers.
Avec cette quatrième victoire, les Nuggets laissent derrière eux une série en cinq matches qui aurait pu dégénérer lors des matches 3 et 4. Devant leur public, la franchise du Colorado a finalement mis fin au suspense grâce à un duo Anthony/Billups une nouvelle fois au meilleur de sa forme.Ainsi Melo s'est fendu de 30 points tandis que son coéquipier ajoutait 28 unités saupoudrées de 12 offrandes et 7 rebonds. Mais au delà des individualités, c'est surtout le collectif de Denver qui a payé. Raillé pour son incohérence l'an passé, la mayonnaise a cette fois pris forme, au plus grand bonheur de George Karl: «Parfois, quand vous êtes forcés d'avancer et de combattre ensemble, vos qualités ressortent. Ces gars là ont acquis une légitimité, la légitimité d'une équipe calibrée pour aller chercher le titre», s'est réjoui le coach des Nuggets.
Du côté de Dallas, l'aventure s'arrête donc là malgré les 32 points et 10 rebonds d'un Dirk Nowitzki, finalement trop seul pour lutter. Denver attend désormais de connaître le nom de son adversaire, les Lakers ou les Rockets, pour ensuite tenter de décrocher un titre de champion de Conférence, un trophée que la franchise n'a plus obtenu depuis 1976.
(Denver remporte la série 4-1)
Chauncey Billups a rempli sa mission. Echangé avec Allen Iverson en novembre dernier, l'ancien meneur des Pistons a apporté à sa ville natale la cohérence indispensable pour accéder à la finale de conférence cette saison. Le meneur en profite d'ailleurs pour accéder à sa septième finale de Conférence de rang, une performance résussie par seulement quatre joueurs: Magic Johnson, Michael Cooper, Kareem Abdul-Jabbar and Kurt Rambis, tous des Lakers.
Avec cette quatrième victoire, les Nuggets laissent derrière eux une série en cinq matches qui aurait pu dégénérer lors des matches 3 et 4. Devant leur public, la franchise du Colorado a finalement mis fin au suspense grâce à un duo Anthony/Billups une nouvelle fois au meilleur de sa forme.Ainsi Melo s'est fendu de 30 points tandis que son coéquipier ajoutait 28 unités saupoudrées de 12 offrandes et 7 rebonds. Mais au delà des individualités, c'est surtout le collectif de Denver qui a payé. Raillé pour son incohérence l'an passé, la mayonnaise a cette fois pris forme, au plus grand bonheur de George Karl: «Parfois, quand vous êtes forcés d'avancer et de combattre ensemble, vos qualités ressortent. Ces gars là ont acquis une légitimité, la légitimité d'une équipe calibrée pour aller chercher le titre», s'est réjoui le coach des Nuggets.
Du côté de Dallas, l'aventure s'arrête donc là malgré les 32 points et 10 rebonds d'un Dirk Nowitzki, finalement trop seul pour lutter. Denver attend désormais de connaître le nom de son adversaire, les Lakers ou les Rockets, pour ensuite tenter de décrocher un titre de champion de Conférence, un trophée que la franchise n'a plus obtenu depuis 1976.
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