Los Angeles Lakers - Houston Rockets : 111-98
Les deux équipes sont à égalité 1-1.
Vexés d'avoir perdu chez eux le Game 1, comme des bleus, les Lakers ont réagi en patrons lors du deuxième acte, n'hésitant pas à jouer des coudes pour bousculer un adversaire qui n'a décidément pas l'intention de se laisser faire. Au terme d'une partie très mouvementée, marquée par l'expulsion de deux joueurs, Ron Artest et Derek Fisher, les finalistes de l'an passé sont finalement sortis vainqueurs de cette véritable bataille de chiffonniers. Ils égalisent à 1-1 dans la série avant d'aller jouer les deux prochains matches au Texas. Auteur de 40 points, Kobe Bryant a de nouveau été le grand bonhomme de la soirée. Dans une atmosphère houleuse, l'arrière des Lakers a su garder son calme malgré les provocations adverses et mener ainsi son équipe à la victoire. C'est d'ailleurs lui qui a été la cible du pétage de plombs de Ron Artest, exclu à sept minutes de la fin pour avoir franchi la limite, une fois de plus, et s'être approché un peu trop près du visage de son opposant.
Après avoir pris un excellent départ, menant de 14 points à la fin du premier quart, les Lakers ont ensuite subi les foudres de Rockets déchaînés. Si bien qu'à la pause, ces derniers étaient revenus à hauteur de leurs hôtes. Mais par la suite, les partenaires de Yao Ming (12 pts, 10 rbds), bien maîtrisé tout du long par les Californiens, ont perdu le fil et se sont énervés. Les interruptions successives en fin de troisième quart-temps ne les ont pas aidés à retrouver leur calme. Pas plus curieusement que la sortie prématurée de Derek Fisher, pour une faute flagrante sur Luis Scola. En témoigne l'accrochage verbal entre Von Wafer et son coach Rick Adelman, qui a valu à l'arrière des Rockets de suivre la fin du match depuis les vestiaires. Bref, les retrouvailles entre les deux équipes s'annoncent d'ores et déjà tendues, vendredi à Houston. Une rencontre qui pourrait se jouer sans les deux fautifs du jour, qui ne devraient sans doute pas s'en sortir sans une suspension.
Boston Celtics - Orlando Magic : 112-94
Les deux équipes sont à égalité 1-1.
La clé, ils la connaissent : bloquer l'accès au panier à Dwight Howard. Les Celtics n'y sont pas parvenus lors du premier match. En revanche, ils ont beaucoup mieux défendu sur lui mercredi soir. Résultat, les champions en titre l'ont emporté assez logiquement au terme d'une partie menée de bout en bout. Avec 12 point marqués et 12 rebonds volés, l'intérieur du Magic n'a pas autant rayonné qu'à l'accoutumée. Maladroit dans ses tirs (5/13) et catastrophique aux lancers francs (2/8), le pivot All-Star est même passé complètement au travers. Pour le suppléer, ses partenaires ont tout tenté, Rashard Lewis (17 pts, 10 rbds) et Hedo Turkoglu (14 pts) notamment, mais aussi Mickael Pietrus, à nouveau auteur d'une très belle prestation. Comme lors du Game 1, le Français est sorti du banc pour inscrire 17 unités. Insuffisant toutefois pour faire gagner son équipe. Car en face, l'artillerie lourde était de sortie. Pour la troisième fois des play-offs, Rajon Rondo a ainsi réalisé un triple-double (15 pts, 18 passes, 11 rbds). Très vite handicapé par des fautes commises rapidement, Paul Pierce s'est lui effacé au profit d'Eddie House (31 pts), qui avait la main chaude (11/14 dont 4/4 à trois points). Le troisième match a lieu cette fois vendredi à Orlando et les compteurs sont remis à zéro.
Les deux équipes sont à égalité 1-1.
Vexés d'avoir perdu chez eux le Game 1, comme des bleus, les Lakers ont réagi en patrons lors du deuxième acte, n'hésitant pas à jouer des coudes pour bousculer un adversaire qui n'a décidément pas l'intention de se laisser faire. Au terme d'une partie très mouvementée, marquée par l'expulsion de deux joueurs, Ron Artest et Derek Fisher, les finalistes de l'an passé sont finalement sortis vainqueurs de cette véritable bataille de chiffonniers. Ils égalisent à 1-1 dans la série avant d'aller jouer les deux prochains matches au Texas. Auteur de 40 points, Kobe Bryant a de nouveau été le grand bonhomme de la soirée. Dans une atmosphère houleuse, l'arrière des Lakers a su garder son calme malgré les provocations adverses et mener ainsi son équipe à la victoire. C'est d'ailleurs lui qui a été la cible du pétage de plombs de Ron Artest, exclu à sept minutes de la fin pour avoir franchi la limite, une fois de plus, et s'être approché un peu trop près du visage de son opposant.
Après avoir pris un excellent départ, menant de 14 points à la fin du premier quart, les Lakers ont ensuite subi les foudres de Rockets déchaînés. Si bien qu'à la pause, ces derniers étaient revenus à hauteur de leurs hôtes. Mais par la suite, les partenaires de Yao Ming (12 pts, 10 rbds), bien maîtrisé tout du long par les Californiens, ont perdu le fil et se sont énervés. Les interruptions successives en fin de troisième quart-temps ne les ont pas aidés à retrouver leur calme. Pas plus curieusement que la sortie prématurée de Derek Fisher, pour une faute flagrante sur Luis Scola. En témoigne l'accrochage verbal entre Von Wafer et son coach Rick Adelman, qui a valu à l'arrière des Rockets de suivre la fin du match depuis les vestiaires. Bref, les retrouvailles entre les deux équipes s'annoncent d'ores et déjà tendues, vendredi à Houston. Une rencontre qui pourrait se jouer sans les deux fautifs du jour, qui ne devraient sans doute pas s'en sortir sans une suspension.
Boston Celtics - Orlando Magic : 112-94
Les deux équipes sont à égalité 1-1.
La clé, ils la connaissent : bloquer l'accès au panier à Dwight Howard. Les Celtics n'y sont pas parvenus lors du premier match. En revanche, ils ont beaucoup mieux défendu sur lui mercredi soir. Résultat, les champions en titre l'ont emporté assez logiquement au terme d'une partie menée de bout en bout. Avec 12 point marqués et 12 rebonds volés, l'intérieur du Magic n'a pas autant rayonné qu'à l'accoutumée. Maladroit dans ses tirs (5/13) et catastrophique aux lancers francs (2/8), le pivot All-Star est même passé complètement au travers. Pour le suppléer, ses partenaires ont tout tenté, Rashard Lewis (17 pts, 10 rbds) et Hedo Turkoglu (14 pts) notamment, mais aussi Mickael Pietrus, à nouveau auteur d'une très belle prestation. Comme lors du Game 1, le Français est sorti du banc pour inscrire 17 unités. Insuffisant toutefois pour faire gagner son équipe. Car en face, l'artillerie lourde était de sortie. Pour la troisième fois des play-offs, Rajon Rondo a ainsi réalisé un triple-double (15 pts, 18 passes, 11 rbds). Très vite handicapé par des fautes commises rapidement, Paul Pierce s'est lui effacé au profit d'Eddie House (31 pts), qui avait la main chaude (11/14 dont 4/4 à trois points). Le troisième match a lieu cette fois vendredi à Orlando et les compteurs sont remis à zéro.