Privée après son aveu de dopage de ses cinq médailles olympiques (dont trois d'or) conquises à Sydney en 2000, Jones, 34 ans, effectue une sorte de retour aux sources dans le Championnat féminin nord-américain (WNBA), elle qui avait été sacrée championne universitaire de basket avec North Carolina en 1994 en tant que meneuse de jeu.
"J'ai fait le choix de ne pas disparaître, de ne pas rester dans un trou et de m'exposer aux autres, à leur jugement et à leurs critiques, en espérant que cela (son histoire de seconde chance) les aide dans leur vie", a déclaré Jones, qui joue samedi avec Tulsa contre Minnesota.
"Je pense que je suis une meilleure personne depuis ce qu'il s'est passé, dit cette maman de trois enfants (6 ans, 2 ans et 10 mois). Cela fait partie de moi, je l'assume, c'est tout ce que je peux faire."
"L'entraînement me manquait, la compétition me manquait, tout ça me manquait trop", ajoute celle qui toucherait simplement le salaire minimum garanti par le WNBA (35.000 dollars pour la saison 2010).
"Marion marche bien, elle travaille très dur, c'est une athlète remarquable", disait récemment son entraîneur Nolan Richardson, dont ce sera la première expérience à la tête d'une équipe féminine.
"Même si elle n'a pas joué depuis très longtemps, elle me fait penser à un couteau qui n'est pas affûté mais qui coupera bien une fois affûté. C'est ce qu'on fait à l'entraînement", ajoutait-il, précisant que la condition physique de l'ancienne reine du sprint mondial était quasi-parfaite.
Grâce à la présence de Richardson, un ancien coach universitaire célèbre, et de Marion Jones, les Shock joueront leur tout premier match à Tulsa (la franchise vient de déménager de Detroit) à guichets fermés (7500 fans).
AFP.
"J'ai fait le choix de ne pas disparaître, de ne pas rester dans un trou et de m'exposer aux autres, à leur jugement et à leurs critiques, en espérant que cela (son histoire de seconde chance) les aide dans leur vie", a déclaré Jones, qui joue samedi avec Tulsa contre Minnesota.
"Je pense que je suis une meilleure personne depuis ce qu'il s'est passé, dit cette maman de trois enfants (6 ans, 2 ans et 10 mois). Cela fait partie de moi, je l'assume, c'est tout ce que je peux faire."
"L'entraînement me manquait, la compétition me manquait, tout ça me manquait trop", ajoute celle qui toucherait simplement le salaire minimum garanti par le WNBA (35.000 dollars pour la saison 2010).
"Marion marche bien, elle travaille très dur, c'est une athlète remarquable", disait récemment son entraîneur Nolan Richardson, dont ce sera la première expérience à la tête d'une équipe féminine.
"Même si elle n'a pas joué depuis très longtemps, elle me fait penser à un couteau qui n'est pas affûté mais qui coupera bien une fois affûté. C'est ce qu'on fait à l'entraînement", ajoutait-il, précisant que la condition physique de l'ancienne reine du sprint mondial était quasi-parfaite.
Grâce à la présence de Richardson, un ancien coach universitaire célèbre, et de Marion Jones, les Shock joueront leur tout premier match à Tulsa (la franchise vient de déménager de Detroit) à guichets fermés (7500 fans).
AFP.