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INCIDENTS DU SAMEDI 02 A MARIUS NDIAYE: Lecture analytique d’Amadou Latyr Ndour, expert en services de sécurité et ancien membre du Groupement d’intervention de
MAKHTAR ( TARMA ) fan's number 1 d'AICHA
Vrément au SENEGAL on verra du tout , un seul fermé ou l'on tire des lacrymogénes! c pas normale . LI MOME DEUGUE DEUGUE DOYE NA WARE!!!!!!!!!
MAKHTAR ( TARMA ) fan's number 1 d'AICHA
Vrément au SENEGAL on verra du tout , une salle fermée ou l'on tire des lacrymogénes! c pas normale . LI MOME DEUGUE DEUGUE DOYE NA WARE!!!!!!!!!
a la place dé GMI, monsieur n'dour tu ferais la même chose soyons sérieux. quand toute foule excitée vous attaque en vous jetant tout objet ki se trouve entre leurs mains, le reflexe de toute personne se trouvant à leurs places sé de se défendre avec lé moyens du bord surtout kils nété pa nombreux.
et pwi on é dans kél pays? dison la vérité, cé supporters de ouakam doivent étre sanctionné. ils sément le bordel dans le stade et vous lé défendé donc vous aussi vous incité lé sénégalais à enfreindre l'exercice des services de l'ordre et vous n voulé pa kils ne répressionnent. kél paradoxe.
surtout vous oublié k on né dans un état de droit où chak individu a cé droits et devoirs; et le devoir de chacun est de respecté son vis à vis car la liberté de chacun s'arréte là où commence celle de l'otre. donc expliké moi l'acte dé supporters de ouakam ki voulé l'otre jour k lé supporters du DUC leur céde leur place sous prétexte k leur ékipe défend la bà.
je pense que monsieur Ndour a raison "Un evenement quel qu'en soit la nature ou l'enjeu doit faire l'objet d'une planification" la fédé doit pouvoir avant de telle rencontres provoquer une réunion avec les differentes parties prenantes. les GMI inclus. le problème majeur, c est qu'un GMI n est pas un stadier.
Ils oublient que leur metier c'est RISER
Renseigner
Informer
Sécuriser
Eduquer
et Reprimer (dernier lieu).
Ce qu'ils font toujours en premier lieu. Cela n excuse en rien le comportement de quelques uns des supporter de Ouakam. Dans tous les pays du Monde, les équipes restent dans les gradins qui leur sont affectés.
"les grandes catastrophes ont toujours lancees des signaux precurseurs." esperons que ce qui s est passé n en est pas un. Halte à la violence. Que la fédé prenne ses responsabilités. un jour ce sera déjà trop tard.
sama khalaat
1. La ligue doi organser des réunions d'avant match, durant lesquelles, toutes les questions notamment celle relative aux tribunes doivent être discutées
2. Le respect stricte des décisions organisationnelles doivent être garanties par des préposés, sous peine pour l'équipe et les supporters fautifs de voir les points du gain du match retirés
3 Les forces de l'ordre doivent apprendre à respecter la dignité humaine des fauteurs de trouble. Une personne interpellée, ne doit pas faire l'objet de sévices corporels, mais doit être sécurisé (Avec Menottes) puis conduite dans la fourgonette en attendant d'etre acheminé au comissariats, sans pour autant que loin des yeux on l'humilie
4. L'organisation doit intervenir en cas de pépin et ne pas fuir ses responsabilités. Dès le début ds échauffourés, les membres de la Ligue devaient jouer les Sapeurs Pompiers et discuter avec les policiers et les inciter à ne pas mettre en danger la vie des autres
5. Si la Police met en danger la vie de centaine de gens, en paniquant , la Ligue et la Fédération doivent officiellement protester par une lettre adressée au ministre de l'intérieur
WA SALAM
number ten cé justement ton riser là k lé policiers ont utilisé. ils ont réprimé en dernier lieu
SENTINELLE arrêtes de mentir
SENEGAL-BASKET
Coupe du maire de Dakar : l’intervention des éléments du GMI met fin à la demi-finale DUC-USO
03-05-2009 18:36 GMT
Dakar, 3 mai (APS) - La deuxième demi-finale de la coupe du maire de Dakar qui opposait samedi le Dakar Université club à l’équipe de l’Us Ouakam n’a pas connu son épilogue, la faute au détachement des forces de l’ordre qui ont interrompu la partie au quatrième quart temps en inondant la salle fermée de Marius Ndiaye, de bombes asphyxiantes suites à des incidents dans les travées.
C’est à la suite d’un match très serré, les deux équipes étant en égalité parfaite à la fin du troisième quart temps (38-38) avant que le Duc ne prenne un léger avantage de 2 points (45-47) que les incidents ont éclaté entre la police et les batteurs de tambours de l’Uso qui ont voulu donner de la voix pour leur équipe, en se déplaçant sur la tribune occupée jusque là par le Duc.
Face au danger que pouvait constituer cette cohabitation, un élément du groupement mobile d’intervention interpelle un des batteurs de tam-tam de l’équipe ouakamoise et l’enjoint de quitter la tribune en le tenant au collet.
Ne parvenant à se faire obéir qu’avec beaucoup de difficultés, l’agent de la police le charge et bénéficie de l’apport de ses collègues qui accourent et imposent la force pour le prendre au collet.
C’est ce moment que choisissent les autres supporters de Ouakam pour venir s’interposer et surtout revendiquer plus d’humanité dans l’acte des policiers qui avaient commencé à matraquer le pauvre batteur de tam-tam qui réussira à échapper à leur vigilance sous la poussée des dizaines de supporters.
Voulant alors certainement laver ‘’l’affront’’ qui leur a été faite, les autres éléments des Gmi ruent sur les travées, matraques en l’air, et commencent à bastonner toute personne trouvée sur leur chemin, ne se souciant point de savoir si ces dernières étaient mêlées ou non aux actes de rebellions.
Cette charge de la police crée un tohu-bohu indescriptible. Les supporters venus nombreux pour cette rencontre aux allures de revanche entre le Duc et l’Uso cherchent par tous les moyens à échapper à la furie des policiers.
Alors que l’arbitre venait de mettre un terme à la rencontre suite aux jets de projectiles sur le parquet de Marius Ndiaye, et que les autres supporters des autres tribunes ne revenaient pas de leur surprise et cherchaient coûte que coûte à quitter le stadium, l’incroyable se produisit.
Les policiers se ruent sur leur caisson rempli de grenades lacrymogènes et inondent à tout va les tribunes remplit de spectateurs, créant du coup des scènes de panique où le sauve qui peut a créé des bousculades, des sauts dangereux du côté des supporters qui pour se soustraire à cette atmosphère suffocante, rejoignent le parquet en sautant des tribunes pour ensuite se diriger vers les vestiaires.
Les portes d’entrée était submergées de monde. La grande porte qui jouxtent les vestiaires étant cadenassée, et les policiers continuait sans se soucier de l’aspect fermé de l’environnement à dégoupiller des grenades. Plusieurs cas d’évanouissement et de suffocations sont notés. La plupart des jeunes joueuses de l’Asfo asthmatiques qui subiront tous des crises aiguës.
Pour rajouter à cette ambiance de danger, les forces de l’ordre qui ne voulaient pas que l’on immortalise leurs actes, intiment l’ordre au photographe du journal Le Populaire de leur restituer la carte mémoire de son appareil qu’ils finiront par confisquer après de fortes menaces.
C’est ainsi que, le match qui était à l’avantage du Duc qui menait de deux points (45-47) fut interrompu, au grand dam de nombreux supporters traumatisés par tant de violence et de manque de maitrise de la part des forces de l’ordre. Ils n’ont pas suivi les différentes demandes de policiers en civile de ‘’garder (leur) sérénité’’.
ABK/ADC
MAKHTAR ( TARMA ) fan's number one d'AICHA
film ya 1 partie ki manke wala partie bobou dafa lake . LI MOME DEUGUE DEUGUE DOY NA WAARE !!!!!!!!!!!!!!
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