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(VIDEO)EQUIPE NATIONALE : 3 éme jour de regroupement

 becaye
Jeudi 7 Mai 2009

[Ignorer]
salut sinon big dédicace à mes potes Yamar MBAYE, El Hadj Malick NDIAYE, Ibou HANE et Sory ceux sont de vrais battants ils ont bossés dur pour arriver à ce stade yal nalén yala takhawou té diapalé lénn ils sont sérieux et trés respectueux dina bakh INCHGOD.
 seed
Jeudi 7 Mai 2009

[Ignorer]
pfffffffffffffff putain c nul
 seed
Jeudi 7 Mai 2009

[Ignorer]
pffffffffffffffffffffff putain c nul c nul.
 freeman
Jeudi 7 Mai 2009

[Ignorer]
il n'y a pas d'excuse il faut qu'on se qualifie.
 seed
Vendredi 8 Mai 2009

[Ignorer]
pffffffffffffffffffff c nul putain arété svp putain.
 Niokho
Vendredi 8 Mai 2009

[Ignorer]
Good Bye Mr Mutombo
100 secondes lors d’un match 2 de premier tour de playoffs. Assurément, Dikembe Mutombo méritait une autre sortie. Seulement son genou gauche en a décidé autrement. Un mauvais appui dans une lutte avec Greg Oden et la civière emmenait le géant congolais loin des paillettes du Rose Garden. "Pour moi, le basketball est terminé" annonça-t-il sans la moindre hésitation.
"J’ai beaucoup pleuré quand j’étais étendu sur le parquet mais quand je suis allé au vestaire, j’ai décidé d’être positif et je remercie Dieu pour les 18 années merveilleuses que j’ai passé." Une discussion avec Keith Jones, le préparateur physique des Rockets, et Mutombo retrouvait sa sérénité.

"J’ai tant de grands souvenirs. Avoir participé aux finales NBA, gagné le trophée de défenseur de l’année, gagné le titre de meilleur contreur... Il y a tant de choses. Je peux sourire et être heureux de ce que j’ai accompli." Des accomplissements que je vais tenter de vous résumer dans les lignes qui suivent.

Avant la NBA

Le petit vendeur de pains à Kinshasa devenu superstar de la NBA! titrait en 2004 l’hebdomadaire congolais La Conscience dans un article consacré à l’idole du pays. Le destin de Dikembe Mutombo Mpolondo Mukamba Jean-Jacques Wamutombo, né le 25 juin 1966 à Kinshasa, est tout sauf ordinaire. Mais sa réussite, il l’a provoqué. Issu d’une famille très pauvre, il a connu les réveils à l’aube pour travailler avant l’école. "C’est à la force du poignet et par le dur labeur des études que j’ai forgé petit à petit mon destin." avoua-t’il lors d’une conférence au pays devant des jeunes.

Passionné de sport, sa taille va le prédisposer au basket. "C’est grâce à cette discipline que je me suis davantage épanoui." Les études resteront toutefois au centre de ses préoccupations et c’est pour cette raison qu’il débarquera aux États-Unis.

Dans le cadre de l’USAID (L’Agence des États-Unis pour le développement international), il intègre Georgetown pour étudier la physique. Mais forcément, 218 centimètres sur un campus, ça attire. John Thompson va le repérer et lui proposer d’intégrer l’équipe de basket de Georgetown.

A 22 ans, il devient l’un des plus jeunes freshmen mais sa progression sera fulgurante. De 3.9 points et 3.3 rebonds la première année, il va prendre sa place et former une raquette juste incroyable avec Alonzo Mourning.

Junior à 24 ans, il compilera 15.2 points, 12.2 rebonds et 4.71 blocks en 34.1 minutes de moyenne. Son pourcentage aux lancers francs passe de 47.9% à 70.3% et son pourcentage au tir, 64.4% reste le meilleur de l’histoire des Hoyas.

Le block est déjà une spécialité, il réussira à bloquer 12 tirs en un match pour un record d’université. Surfant sur son association avec Mourning, les fans vont créer la "Rejection Row", une section sous le panier qui agitait la silhouette d’une main allongée à chaque tir bloqué.

Sa présence intimidente dans la raquette lui vaut deux titres de Big-East Defensive Player of the Year en 1990 et 1991. En 1990, il partagera la distinction avec Alonzo Mouring. Pour l’anecdote, en 1992, le futur Heat récupérera le trophée. Ils sont alors vus comme les dignes héritiers de Pat Ewing, quadruple vainqueur de la distinction entre 1982 et 1985.

Cap sur la NBA

Après trois années passées à progresser et un diplome en langue et diplomatie — il avait abandonné la physique au bout de 2 ans — Dikembe Mutombo se présente à la draft ’91. Une draft qui recelle quelques talents comme Larry Johnson (#1 de la draft), Kenny Anderson (#2), Steve Smith (#5), Terrell Brandon (#11) ou Greg Anthony (#12) Pas la draft du siècle — seulement 7 all-stars — mais qui a vu l’émergence de quelques bons roles players.

Le natif de Kinshasa sera drafté en 4e position par les Denver Nuggets. Dans une équipe faible qui peine à passer la page Doug Moe, il trouvera sa place immédiatement. Il faut dire que les autres leaders sont Reggie Williams et Greg Anderson...

Sa saison rookie est une énorme réussite, il tourne à 16.6 points, 12.3 rebonds et 3 blocks de moyenne. Curieusement, il signe lors de son année rookie sa meilleure moyenne au scoring, et sa meilleure performance offensive, 39 points, le 3 février 1992, contre Minnesota.

Ses performances lui ouvrent les portes du All-Star Game dès son année rookie (4pts-2rbs-1pd et aucun contre, en 10 minutes) mais les Nuggets progressent mollement, de 20 à 24 victoires. Il ne sera pas rookie de l’année, Larry Johnson obtient le trophée et Deke n’est que son dauphin, mais il fait logiquement partie de All-Rookie First Team avec LJ, Billy Owens, Stacey Augmon et Steve Smith.

En fin d’année, Paul Westhead est remplacé par Dan Issel. L’ancien joueur vedette de la franchise redistribue les roles, il responsabilise notamment Mahmoud Abdul-Rauf qui devient le leader offensif de l’équipe. Mutombo est davantage concentré sur le rebond (13rpg), le contre (3.5bpg) et la défense en général. L’équipe progresse, 36 victoires, mais ne participe pas aux playoffs.

L’année suivante, Mutombo devient le meilleur contreur de la league (4.1bpg) avec une pointe à 12 contre les Clippers le 18 avril, ce qui lui vaut une troisième place au DPY, derrière Olajuwon et Robinson, excusez du peu. Les Nuggets progressent, ils prennent moins de 100 points par match pour la première fois depuis des lustres et le bilan est équilibré (42-40)

Mutombo découvre ainsi les playoffs dans la peau du 8e, ce qui signifie théoriquement se faire manger tout cru. Après deux défaites à Seattle, les vacances semblent proches mais, dans un sursaut d’orgueil, les Nuggets vont remporter le G3 110-93. Les Sonics sont prévenus, le quatrième match se joue à couteaux tirés et les Nuggets s’imposent en prolongation (94-85) Les deux équipes retournent donc à Seattle, Kemp ne trouve pas la lumière (14.8ppg à 37.1% sur la série) et les Nuggets s’imposent une nouvelle fois en prolongation (98-94)

Au tour suivant, les Nuggets vont livrer une série ahurissante face aux Jazz. Menés 3-0, dont une défaite en prolongation (109-111) à Denver, les Nuggets vont remonter à 3-3, avec une victoire en double OT au G5! On les sent alors capables de réaliser un nouvel exploit mais les hommes de Jerry Sloan vont mettre un terme à la belle aventure des Nuggets à Salt Lake City, dans le G7 décisif (91-81) Pour ses premiers playoffs, Mutombo tourne à 13.3 points (46.3%), 12 rebonds et 5.75 blocks par match!

L’année suivante, les Nuggets se stabilisent, 41-41 mais les Spurs ne vont pas laisser rêver les hommes d’Issel, avec un sweep net et sans bavure. Le roster s’étoffe, Mutombo perd en responsabilité offensive mais reste le patron de la défense (12.5rpg, 3.9bpg) Elu défenseur de l’année, Mutombo s’est effondré, comme ses partenaires, contre les Spurs de D-Robb (6ppg-6.3rpg-2.3bpg) Néanmoins, un peu plus tôt dans la saison, il faisait son retour au All-Star Game (12pts-8rbs-4blks en 20min)

Dan Issel décide alors de quitter l’équipe. Bernie Bickerstaff le remplace et la draft amène Antonio McDyess pour former une raquette qui s’annonce terrifiante. Le géant congolais reste All-Star (4pts-9rbs en 11min) et devient le premier joueur de l’histoire NBA à conserver la couronne de meilleur contreur 3 années de suite (4.49bpg) Le 26 mars contre les Hornets, il établit son record en carrière de rebonds gobés, 31! Toutefois, Mutombo ne conserve pas son titre de défenseur de l’année. Il termine troisième, derrière Payton et Pippen. Il a tout de même les honneurs de la First Team Defensive.

Nouveau challenge

Son contrat expire aux Nuggets et il décide de s’engager avec une équipe ambitieuse, les Hawks. A 30 ans, il n’a plus de temps à perdre dans une équipe qui se cherche et le groupe coaché par Lenny Wilkens regorge de joueurs de talent, tels Christian Laettner, Mookie Blaylock ou Steve Smith. La rotation de pivot est monstrueuse, entre ses 2.18m et les 2.24m de Priest Lauderdale.

Avec les Hawks, il sera 4 fois All-Star, il atteindra les demi-finales de conférence 1997 et 1999, il remportera trois nouveaux DPY, et commence à devenir populaire grâce à son fameux "not in my house" Ce geste du doigt que chaque attaquant redoute lorsqu’il s’aventure dans la peinture.

En 1997, il est pour la première et dernière fois cité dans les votes du MVP (13e avec 4 points), ce qui constitue un fait exceptionnel pour un joueur qui tourne à 13.3 points par match. Il intègre la All-NBA Third Team en 1998 puis la Second Team en 2001. En 2000, il devient meilleur rebondeur de la league, 14.1 boards par match.

Mais Atlanta s’enlise et manque les playoffs en 2000. Le 22 février 2001, il est transféré avec Roshown McLeod à Philadelphie contre Theo Ratliff, Toni Kukoc, Nazr Mohammed et "Pepe" Sanchez. Ce trade permettent aux Hawks de récupérer une belle contrepartie contre son contrat expirant, alors que les Sixers peuvent offrir à Allen Iverson un complément défensif idéal. Quelques jours avant le trade, il gobait 22 rebonds au All-Star Game!! Il remportera le DPY pour la dernière fois cette saison-là.

Mutombo fait ainsi partie intégrante de l’énorme parcours des Sixers jusqu’en finale. Derrière Iverson, il se signale avec 13.9 points, 13.7 rebonds et 3.1 blocks par match en post-season. En finale, il est tristement célèbre pour ses 2 lancers manqués lors du match 1, qui permet aux Lakers d’accrocher la prolongation. Heureusement, les Sixers vont s’imposer en OT grâce au scoring d’Allen Iverson et un layup de Raja Bell. Sensation, les Sixers remportent le Game 1, 107 à 101. La suite sera plus compliquée avec 4 victoires de suite des Lakers.

Il prolonge alors son contrat de 3 ans. A 35 ans, il tourne toujours à 11.5 points, 10.8 rebonds et 2.4 blocks par match. Il participe à son dernier All-Star Game en 2002 (8pts-10rbs en 21min)

La croix new-yorkaise

A l’intersaison suivante, son contrat est transféré aux Nets contre Keith Van Horn et Todd MacCulloch. Sa saison sera un relatif échec, la faute à des blessures tenaces qui vont le limiter à 24 matchs. Avec des moyennes de 5.8 points, 6.4 rebonds et 1.5 blocks, le déclin semble proche. Il n’est d’ailleurs plus cité parmi les DPY potentiels. Ben Wallace lui a volé la vedette. En playoffs, il ne joue que 11.5 minutes et perd une seconde finale NBA, contre les Spurs.

Laissé libre, il traverse l’Hudson le 9 octobre et s’engage avec les Knicks pour 2 ans. Sa saison est sans relief, même s’il a davantage joué que la précédente (65 matchs dont 56 dans le cinq, 5.6ppg, 6.7rpg, 1.9bpg en 23min)

En fin d’année, il fait partie d’un package (avec Othella Harrington, Frank Williams et Cezary Trybanski) qui permet aux Knicks de récupérer Jamal Crawford et Jerome Williams, en provenance de Chicago. Mais Mutombo ne jouera jamais aux Bulls. Il est transféré un mois plus tard à Houston contre Adrian Griffin, Eric Piatkowski et Mike Wilks.

Renaissance

Dikembe Mutombo a alors 38 ans et on l’attend plus dans un role de mentor auprès du géant chinois Yao Ming que sur le parquet. Yao est alors aussi impressionnant par sa taille et la qualité de son toucher que raillé pour son manque d’agressivité en défense. Avec Mutombo et Ewing (en tant qu’assistant) dans le vestiaire, sa progression va forcément s’accélerer.

Sa première saison est convaincante, 80 matchs, 4 points, 5.3 rebonds, 1.3 blocks et les Rockets décident de le prolonger. Yao Ming va alors commencer à connaitre des blessures régulières, et Mutombo va impressionner à chaque titularisation.

En 2005-06, il est titulaire à 23 reprises et tourne, dans le cinq, à 4.1 points (56.1%), 7.6 rebonds et 1.1 blocks. L’année suivante, il débute 33 matchs pour 4.9 points (58.2%), 10.4 rebonds et 1.5 blocks en 27 minutes. Chaque nouvelle titularisation est une nouvelle occasion de s’enflammer. Le 2 mars 2007, il gobe 22 rebonds contre les Nuggets! Faut-il rappeler qu’il a alors 40 ans? En 2007-08, Yao se fracture le tibia et Mutombo, économisé jusque là, reprend du service, 25 titularisations, 20 minutes de moyenne, 4.4 points (57.5%), 6.6 rebonds et 1.8 blocks.

Ces titularisations "bonus" lui permettent de monter dans la hiérarchie des rebondeurs et bloqueurs all-time. Dans la première catégorie, il est aujourd’hui 18e avec 12 359 rebonds en carrière. Dans la seconde, il échoue à la seconde position (3289 blocks) derrière The Dream, Hakeem Olajuwon (3830 blocks en carrière)

A l’intersaison, les Celtics le courtisent, comme la saison précédente, mais après quelques mois de repos, il décide d’effectuer une dernière pige à Houston et signe le 31 décembre 2008 jusqu’à la fin de l’année. Sa saison sera discrète. Il ne joue que 9 matchs mais le but est qu’il soit prêt à aider pour les playoffs. Cependant, il aura par deux fois les honneurs d’une titularisation, le 16 mars à la Nouvelle Orleans (1pt-6rbs-3blks) et le 10 avril à Oakland (10pts-15rbs-4blks, en 34min) A bientôt 43 ans, respect!

Les playoffs auraient dû être l’occasion d’une dernière fête. Le 18 avril 2009, il profite des fautes de Yao Ming pour jouer 18 minutes, gober 9 rebonds et bloquer 2 tirs. Le 21 avril, il rentre dans le premier quart-temps en rotation de Yao et joue 1’40 qui lui seront fatidiques...

On ne reverra donc plus Dikembe Mutombo, l’incarnation de la défense par sa combinaison de taille, puissance et la longueur de ses bras. Il a marqué les esprits par sa longévité. S’il a joué jusqu’à 42 ans, il fut surtout titulaire régulier jusqu’à 35 et apportait son double double de moyenne.

En outre, Mutombo est un joueur rugueux, connu pour avoir envoyé de nombreux joueurs (Jordan, Rodman, Oakley, Ewing...) à l’infirmerie avec ses coudes. Sa force était entre autre dûe à son investissement incontestable. Même à l’entrainement, c’était la guerre. En plaisantant, Yao Ming déclara à ce propos: "Je devrais dire au Coach d’éloigner Dikembe de l’entrainement, car s’il frappe quelqu’un, il ne faut pas oublier que c’est un coéquipier. Au moins, en match, c’est du 50/50."

Un homme de coeur

Joueur dur sur le parquet, Mutombo n’en reste pas moins un philanthrope. Père de six enfants, dont 4 adoptés, il a énormément investi dans l’humanitaire, pour la République Démocratique du Congo, notamment.

La Mutombo Foundation a permis d’ouvrir un hopital à Kinshasa où il a lui-même fait don de 15M$ lors de la cérémonie d’ouverture, le 2 septembre 2006. Cet Hopital porte le nom de sa mère, Biamba Marie Mutombo.

En 2004, il a silloné l’Afrique avec, entre autre, Shawn Bradley, Malik Rose et DeSagana Diop lors du Basketball Without Borders. Ce programme a permis de promouvoir le basketball et de développer les infrastructures sur son continent natal.

Autre exemple de sa générosité, en 1996, lors des JO d’Atlanta, il a lui-même payé tous les frais de l’équipe féminine de basket du Zaire.

Dikembe Mutombo, un homme de coeur et un formidable compétiteur, un destin incroyable qu’il s’est forgé "à la force du poignet" sans jamais oublier ses valeurs. Son héritage est énorme, en tant qu’homme comme en tant que basketteur. Voila peut-être la plus belle ligne de son palmarès... pourtant long comme ses bras.

Article rédigé par Herzeleid / Jérôme
 adja
Vendredi 8 Mai 2009

[Ignorer]
juste pour souhaiter une tres bonne chance aux lions,suis de tout coeur avec vous les gars et je sais que avec l'arrivée de mon papa matar mbaye et de alpha traoré ça risque de sauter mais gravement,adja depuis maroc

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