Abdourahmane Ndiaye "ADIDAS"
''Je ne pouvais plus attendre le Sénégal qui n'a rien fait de concret pour ne serait-ce que me contacter'', a déclaré le désormais entraîneur de France des 20 ans et moins qui se dit dépité de n'avoir ''reçu aucun contact à part un coup de fil du ministre des Sports à sa nomination, mais depuis plus rien sinon des déclarations d'intention affichées dans la presse''.
''Adidas'' a ainsi indiqué avoir ''été à l'écoute de la sélection nationale du Sénégal depuis que le ministre a pris mon contact, mais après cela il n'y a rien eu d'officiel, ni un appel de la fédération, ni un coup de fil d'un quelconque dirigeant du basket sénégalais''.
Pourtant, l'ancien coach des Lions a multiplié les signes de sa bonne volonté en choisissant notamment de ne pas aller en procès contre l'Etat du Sénégal pour rupture abusive de contrat. En lieu et place, il a souligné avoir préféré ''plutôt faire une conciliation au cours de laquelle, j'ai laissé passé beaucoup de revendications légitimes pour laisser la porte entrouverte''.
D'ailleurs à propos de cette transaction au cours de laquelle de l'avis de son avocat maître Doudou Ndoye ''on a renoncé à beaucoup'', l'ex-entraîneur du Sénégal s'étonne que ''depuis le mois de mai 2007, le Sénégal ne soit pas en mesure de respecter ses engagements pris devant un juge'' de lui payer ses indemnités là où, a-t-il relevé ''Kasperczak, lui, on ne lui doit pas un rond''.
Cette situation qui ''n'inspire pas la confiance'' de l'avis de Abdourahmane Ndiaye ajoute au ''manque de considération'' dont il se sent victime de la part de son pays qu'il promet pourtant d'aider à travers ses nouvelles fonctions.
''Je suis fier de ce nouveau poste et je me sens toujours ambassadeur du Sénégal en l'occupant'', a-t-il déclaré, disant se mettre ''toujours à la disposition du Sénégal pour encore aider au développement de son basket, là où je suis''. A ce propos ''Adidas'' a assuré qu'il s'engagera dans ''toute action en mesure d'aider le basket sénégalais''.
L'ancien entraîneur des Lions a d'ailleurs fait convoyer un lot de 300 ballons de basket, récoltés durant son jubilé organisé par ses amis réunis en association, une manifestation au cours de laquelle il avait contracté une blessure exploitée par le ministère des Sports pour le limoger.
''Adidas'' a ainsi indiqué avoir ''été à l'écoute de la sélection nationale du Sénégal depuis que le ministre a pris mon contact, mais après cela il n'y a rien eu d'officiel, ni un appel de la fédération, ni un coup de fil d'un quelconque dirigeant du basket sénégalais''.
Pourtant, l'ancien coach des Lions a multiplié les signes de sa bonne volonté en choisissant notamment de ne pas aller en procès contre l'Etat du Sénégal pour rupture abusive de contrat. En lieu et place, il a souligné avoir préféré ''plutôt faire une conciliation au cours de laquelle, j'ai laissé passé beaucoup de revendications légitimes pour laisser la porte entrouverte''.
D'ailleurs à propos de cette transaction au cours de laquelle de l'avis de son avocat maître Doudou Ndoye ''on a renoncé à beaucoup'', l'ex-entraîneur du Sénégal s'étonne que ''depuis le mois de mai 2007, le Sénégal ne soit pas en mesure de respecter ses engagements pris devant un juge'' de lui payer ses indemnités là où, a-t-il relevé ''Kasperczak, lui, on ne lui doit pas un rond''.
Cette situation qui ''n'inspire pas la confiance'' de l'avis de Abdourahmane Ndiaye ajoute au ''manque de considération'' dont il se sent victime de la part de son pays qu'il promet pourtant d'aider à travers ses nouvelles fonctions.
''Je suis fier de ce nouveau poste et je me sens toujours ambassadeur du Sénégal en l'occupant'', a-t-il déclaré, disant se mettre ''toujours à la disposition du Sénégal pour encore aider au développement de son basket, là où je suis''. A ce propos ''Adidas'' a assuré qu'il s'engagera dans ''toute action en mesure d'aider le basket sénégalais''.
L'ancien entraîneur des Lions a d'ailleurs fait convoyer un lot de 300 ballons de basket, récoltés durant son jubilé organisé par ses amis réunis en association, une manifestation au cours de laquelle il avait contracté une blessure exploitée par le ministère des Sports pour le limoger.