STADIUM MARIUS NDIAYE
Marius Ndiaye, qui doit abriter en septembre prochain la Can de basket féminine, est poussiéreux. Il est vide. A première vue, la salle, dégarnie de ses panneaux qui supportaient les paniers, s’endort encore. Un tour à la tribune officielle et soudain un bruit lointain perturbe la tranquillité du temple du basket. Près du couloir menant aux vestiaires, les bruits s’entendent. De timides «Kan , Kan, Kan», signalent que les travaux ont bel et bien démarré, hier. Dans les vestiaires, les ouvriers s’activent à démonter les chaises. Sur les lieux…cinq personnes, marteaux sous le bras, s’attellent à la plomberie des toilettes en attendant de s’en prendre au carrelage.
Interpellé sur le nombre réduit de manœuvres trouvés sur place, l’entrepreneur Bachir Ndiaye justifie : «J’ai commencé ce matin les travaux. Et pour les premiers jours, c’est impossible qu’on mette dans un chantier une dizaine d’employés, de plus cela dépend du contenu», renseigne le chargé de la réfection du stadium Marius Ndiaye. Avant de révéler : «On m’a donné un délai de 3 mois pour la première phase (maçonnerie, plomberie, carrelage). Dans un premier temps, je vais positionner mes ouvriers et essayer de redoubler d’efforts pour finir avant la date échue», prie-t-il d’un brin philosophe.
Interpellé sur le nombre réduit de manœuvres trouvés sur place, l’entrepreneur Bachir Ndiaye justifie : «J’ai commencé ce matin les travaux. Et pour les premiers jours, c’est impossible qu’on mette dans un chantier une dizaine d’employés, de plus cela dépend du contenu», renseigne le chargé de la réfection du stadium Marius Ndiaye. Avant de révéler : «On m’a donné un délai de 3 mois pour la première phase (maçonnerie, plomberie, carrelage). Dans un premier temps, je vais positionner mes ouvriers et essayer de redoubler d’efforts pour finir avant la date échue», prie-t-il d’un brin philosophe.