Maleye Ndoye 23 pts, 6 rebonds -photo JDA
Ça n’a pas été facile, certes mais dès les premières minutes, et pour la première fois de la saison, la JDA prenait la mesure de son adversaire. Jason Rowe n’attendait pas plus de deux minutes pour marquer une première fois à 3 points : 7-2 (3ème). Mais les deux armes très attendues du PBR, Milisavlevic et Foster se réveillaient et propulsaient le PBR devant : 7-9 (5ème). A ceux là le duo N’Doye et M’Baye allait répondre sans complexe, 40 minutes durant. Et pendant que ceux là mitraillent, David Simon bien plus combattif que quelques autres soirs, provoque faute sur faute à Taj Gray (3 fautes en 7 minutes). Dijon passe un 6-0 puis un 15-6 avec encore l’apport de Jason Rowe méconnaissable (22-15). Golemac montre son adresse mais la Jeanne - toute en réussite - résiste assez bien : 26-19. Le trio m’Baye Simon N’Doye va porter l’avantage à +10 : 31-21 (13ème) avant que Foster ne passe le turbo : 35-35. Bradford sur le terrain apparaît toujours poussif et les efforts défensifs incontestables de Krupalija ne suffisent pas à stopper le Paris Levallois qui refait surface 35-35. Au final, les hommes de Zouros virent en tête : 39-40.
Malheureusement pour Dijon, Paris va sembler plus musclé en début de seconde période. La longueur de banc fait la différence et alors que Simon se fatigue Akpomedah monte en régime. Torbert aussi efficace que sobre apporte sa pierre et il faut toute une stratégie défensive élaborée par Randoald Dessarzin et semble t’il appliquée très correctement par les joueurs pour se maintenir à flots. Au programme, changements de défense fréquent oscillants entre zone, homme à homme et presse. A ce rythme, Dijon tient 27 minutes (57-56) avant de faiblir. Akpomedah est intenable ou mal tenu et fait très mal avant que Golevac au buzzer et à 3 points n’enfonce un clou bien profond : 62-70. A la reprise, Abdoulaye M’Baye va réveiller tout un peuple qui n’a qu’une envie : Y croire. Petit Abdou est incontestablement devenu grand, 7 points une interception en début de 3ème quart qui alimentent un 9-0 infligé d’entrée par la Jeanne aux Parisiens : 71-70 (33ème). Souleyman Diabaté argument sorti du chapeau par Dessarzin pour empêcher Milisavljevic de tourner trop rond fait un excellent passage, loin des stats certes (une interception) mais au combien positif. Monsieur M’Baye donc va réussir à tout réussir : 20 points à 100%. Dijon de 3 points devant (82-79) obtient une antisportive de Mouillard que Rowe ne convertit qu’à moitié si bien qu’à 36 secondes de la fin tout est jouable : 83-82. C’est là que le généreux et auteur d’un bon match mais un peu pataud Krupalija sort le 3 points qui tue. Dijon mène 88-84, le 3 points de Foster à 2 secondes de la fin ne changera plus rien. Dijon gagne, Dijon respire, Dijon vit encore !
Malheureusement pour Dijon, Paris va sembler plus musclé en début de seconde période. La longueur de banc fait la différence et alors que Simon se fatigue Akpomedah monte en régime. Torbert aussi efficace que sobre apporte sa pierre et il faut toute une stratégie défensive élaborée par Randoald Dessarzin et semble t’il appliquée très correctement par les joueurs pour se maintenir à flots. Au programme, changements de défense fréquent oscillants entre zone, homme à homme et presse. A ce rythme, Dijon tient 27 minutes (57-56) avant de faiblir. Akpomedah est intenable ou mal tenu et fait très mal avant que Golevac au buzzer et à 3 points n’enfonce un clou bien profond : 62-70. A la reprise, Abdoulaye M’Baye va réveiller tout un peuple qui n’a qu’une envie : Y croire. Petit Abdou est incontestablement devenu grand, 7 points une interception en début de 3ème quart qui alimentent un 9-0 infligé d’entrée par la Jeanne aux Parisiens : 71-70 (33ème). Souleyman Diabaté argument sorti du chapeau par Dessarzin pour empêcher Milisavljevic de tourner trop rond fait un excellent passage, loin des stats certes (une interception) mais au combien positif. Monsieur M’Baye donc va réussir à tout réussir : 20 points à 100%. Dijon de 3 points devant (82-79) obtient une antisportive de Mouillard que Rowe ne convertit qu’à moitié si bien qu’à 36 secondes de la fin tout est jouable : 83-82. C’est là que le généreux et auteur d’un bon match mais un peu pataud Krupalija sort le 3 points qui tue. Dijon mène 88-84, le 3 points de Foster à 2 secondes de la fin ne changera plus rien. Dijon gagne, Dijon respire, Dijon vit encore !