Louga plane sur la D2. Le Ndiambour a décroché deux places dans l’élite. Le verbe monter se conjugue désormais au masculin et au féminin, chez les Nordistes qui enregistrent un record, pour avoir placé leurs deux équipes en D1 en moins d’un mois. Avec en prime, l’entrée dans l’histoire du basket-ball féminin Lougatois. Champion de la D2 au féminin comme au masculin, le Ndiambour a fini de recevoir le trophée de la révélation de la saison 2007. Une saison qui a brillé par son inconstance et ses errances de calendrier au sommet, tandis que l’étage d’en-bas qui ne se prive point de râler, n’a joué que 8 jours sur 365. Soit une semaine sur les 52 que compte l’année.
N’empêche, cela n’altère point la bonne humeur du «vieux», Mor Issa Sall, l’ «homme providence» du Ndiambour qui a certainement des mains de fée. Présent dans le milieu de la balle orange depuis 1967, le technicien lougatois ne cesse d’inscrire en lettres d’or son nom dans les annales du basket-ball lougatois. En 1992, il hisse les garçons en D1 et en 2007, il conjugue le verbe monter en D1 au féminin. Ce héros ne veut point lâcher l’affaire. Le coach des «Noir-blanc» piste ses objectifs : «Nous cherchons les moyens pour nous maintenir en D1. Au niveau des intérieurs, ça va, mais il nous faut renforcer les arrières pour concurrencer les autres équipes.» L’homme qui a pour credo le travail, a réussi son pari de rentrer dignement à Louga avec son titre honorifique de champion de la D2 féminine.
Juste consent-il à révéler la feuille de route des «Ndiambour-Ndiambour» qui auront trois représentants dans l’élite. Deux clubs masculins dont l’Us Louga et les deux équipes de Ndiambour en filles et en garçons.
Son secret : «Travailler, toujours travailler et encore travailler.» Ce slogan cher au Président de la République a réussi aux Lougatois qui voient la consécration des centres de basket qui ont pignon sur rue à Louga. «Il y a 5 centres de basket à Louga, on organise des tournois inter-centres et nous choisissons les meilleures joueuses pour l’élite», renseigne le coach Mor Sall. Cette crème de l’orange lougatoise a de quoi rendre fier le technicien. Normal que les filles se déchaînent sur le parquet de Marius en brisant du rêve de la Ville de Dakar, et de sa ligue, qui nourrissaient le rêve de respecter la loi géographique du tournoi de montée en D1.
En bouclant leur championnat par le sommet, les Lougatoises, vainqueur (45-38) des Dakaroises, lavent ainsi l’affront des Saltigués, vainqueur en poule. Les Rufisquoises avaient brisé l’élan victorieux des filles du Nord lors de la dernière journée de la poule A. Mais pour se maintenir dans l’élite, le Ndiambour compte sur ses propres ressources humaines avant de miser sur l’extérieur. Rendez-vous en janvier 2008, pour le premier bal lougatois dans l’élite.
N’empêche, cela n’altère point la bonne humeur du «vieux», Mor Issa Sall, l’ «homme providence» du Ndiambour qui a certainement des mains de fée. Présent dans le milieu de la balle orange depuis 1967, le technicien lougatois ne cesse d’inscrire en lettres d’or son nom dans les annales du basket-ball lougatois. En 1992, il hisse les garçons en D1 et en 2007, il conjugue le verbe monter en D1 au féminin. Ce héros ne veut point lâcher l’affaire. Le coach des «Noir-blanc» piste ses objectifs : «Nous cherchons les moyens pour nous maintenir en D1. Au niveau des intérieurs, ça va, mais il nous faut renforcer les arrières pour concurrencer les autres équipes.» L’homme qui a pour credo le travail, a réussi son pari de rentrer dignement à Louga avec son titre honorifique de champion de la D2 féminine.
Juste consent-il à révéler la feuille de route des «Ndiambour-Ndiambour» qui auront trois représentants dans l’élite. Deux clubs masculins dont l’Us Louga et les deux équipes de Ndiambour en filles et en garçons.
Son secret : «Travailler, toujours travailler et encore travailler.» Ce slogan cher au Président de la République a réussi aux Lougatois qui voient la consécration des centres de basket qui ont pignon sur rue à Louga. «Il y a 5 centres de basket à Louga, on organise des tournois inter-centres et nous choisissons les meilleures joueuses pour l’élite», renseigne le coach Mor Sall. Cette crème de l’orange lougatoise a de quoi rendre fier le technicien. Normal que les filles se déchaînent sur le parquet de Marius en brisant du rêve de la Ville de Dakar, et de sa ligue, qui nourrissaient le rêve de respecter la loi géographique du tournoi de montée en D1.
En bouclant leur championnat par le sommet, les Lougatoises, vainqueur (45-38) des Dakaroises, lavent ainsi l’affront des Saltigués, vainqueur en poule. Les Rufisquoises avaient brisé l’élan victorieux des filles du Nord lors de la dernière journée de la poule A. Mais pour se maintenir dans l’élite, le Ndiambour compte sur ses propres ressources humaines avant de miser sur l’extérieur. Rendez-vous en janvier 2008, pour le premier bal lougatois dans l’élite.